Oh c'est vrai ! *___________* Merci Gally ! Ca me fait plaisir et oui je pensais être rouillée ! Ravie d'apprendre que je ne le suis pas trop alors

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Sinon j'adore le RP d'amour comme toujours

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Fictifs, il est super ton premier RP ! Tu es très douée !

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*Le ventre rempli, Sam décida d’explorer les alentours de sa terre d’accueil. Il erra dans la ville pendant des heures tout en pensant à sa situation. Il se demandait où était Dean, comment les choses avaient pu évoluer de cette manière, il ne pouvait pas voir la fin de ce combat. Il culpabilisait aussi, comme si la déconvenue du monde était uniquement de son ressort. Il n’était plus en mesure de lutter là-bas, aux USA mais il acceptait difficilement son échec. Il ne pouvait plus rien y faire, voilà ce qu’il se disait.

Il errait depuis tellement longtemps qu’il se rendit compte qu’il ne connaissait absolument rien de la ville. Il observa les alentours, il semblait être arrivé dans un quartier plus chic avec des maisons qui lui semblaient être des châteaux, lui l’habitué des motels miteux.
Il tourna au coin de la rue et une présence se fit sentir, il n’y fit, en premier lieu pas attention. Bizarrement, depuis son arrivée à Montréal, il se sentait enfin en sécurité même si ce n’était pas forcément le cas. La vue de la jeune femme qui rentrait chez elle le réconforta, tout était parfaitement normal. Mais ce n’était pas le cas et l’instinct de chasseur de Sam ne lui faisait jamais défaut. Il tenta d’identifier la menace, il aperçut un homme, petit, prêt à bondir sur la jeune femme. Un démon de bas niveau assurément. Mais quelque chose lui indiquait que ce n’était pas la seule menace dans les environs… Avant de penser aux autres forces du mal, Sam se concentra et sortit son arme. Cela ne tuerait certes pas le démon mais cela lui permettrait de gagner du temps afin de mettre la jeune femme en sécurité et ensuite envisager un plan d’attaque.

Sam, toujours non repéré par le démon, trop concentré sur sa proie, visa et tira tout en accourant vers la jeune femme. Le démon disparut pour cette fois ci… Sam arriva à hauteur de la femme.*

Vous allez bien ? On ferait mieux de ne pas rester ici. Non seulement, on a affaire à un démon mais il n’a pas l’air d’être seul… Vous avez du sel chez vous ? Si on ne peut pas en trouver, on va devoir improviser. Une église dans les environs peut être sinon ?

*Sam savait que son discours était toujours déconcertant malgré la diffusion de l’existence des démons, les gens ne croyaient pas aux chasseurs…*

Ahah c'est pour ma réponse ca XD

Alyson s’apprêtait à quitter les nombreux gens qui s’étaient entourer entre elle et Jayden afin de finalement trouver de quoi ce mettre lors de la soirée d’halloween, et le tout en quatrième vitesse pour le pas faire attendre son mari et du fait même son fil qui allait se demander ce qu’ils fabriquaient encore.
La belle blonde avait donc choisie, plus vite que jamais deux robes qu’elle semblait apprécier suite à un minime coup d’œil de sa part. Vite-fait, mais bien fait, Lilas s’aventura dans la plus vaste cabine d’essayage pour ensuite retirer tout aussi rapidement ses vêtements qu’elle prit le soin de plier et qu’elle déposa ensuite sur le petit banc prévue à cet effet. Avec précaution elle attrapa la robe du dessus puis accrocha la seconde sur un crochet doré face à la porte bien verrouillée. Lentement afin de ne pas froisser le doux tissu qu’elle tenait entre ses doigts, Walker enfila la robe pour finalement entendre un bruit sourd raisonner dans la salle d’essayage. Croyant premièrement à une égratignure sur le morceau hors de prix, la blonde se retourna, examinant son dos dans le miroir, mais ni vit aucun trait… étrange. Se dit-elle tout en tentant de ferme la fermeture éclair de la robe noire lorsqu’un second bruit, suivit de deux autres identiques firent éruption ; là elle en était certaine; quelque chose se tramait.
Interrogative, Aly ouvrit lentement la porte pour y jeter un coup d’œil bref…seulement ses yeux restèrent accrochés à ce qui se tramait tout atour. Jayden semblait mettre tout le monde en garde ; baisant les deux femmes, dont Holly au sol. Qu’est-ce… commença en vint la blonde alors qu’elle fixait la vitrine du magasin, donnant directement sur le supermarché, là où se trouvait justement Jayson, son mari. En une fraction de seconde ses yeux changèrent. En un quart de tour ses mains se mirent à trembler. Non, elle ne pouvait perde son amour pour une deuxième fois ! Furibonde, mais chagrinée, Aly claqua la porte de la cabine avant de se diriger vers la porte du magasin de vêtements. JAYSON ! Cria-t-elle, voyant plus ou moins quatre personnes sur le sol, baignant dans une mare de sang ; pitié seigneur, ne me prenez pas ce que j’ai de plus cher une seconde fois…que sera Xander sans mère, sans père ? Chuchota, comme pour tenter de raisonner les dieux de lui accorder une chance, la douce blondinette affolée.
Je ne peux me résoudre à rester là. Dit-elle, retournant sa tête en direction de son cousin toujours accroupi, il devait se douter que la belle Alyson ne resterait pas sage en un moment de crise de ce genre ; et puis de toute manière elle faisait partie du monde magique parallèle, non ?
Je ne crains rien de toute évidence, n’essaie pas de me retenir Jayden.

Bonjour,
merci d'avoir actualisé ta pub !
Bonne continuation et à bientôt ! ^^

Le ton que j’adoptais ressemblait à celui de n’importe quel voleur. En même temps, dans un sens, j’en étais un. Pour quelle raison ? Simplement parce qu’il s’agissait de l’objet de ma mission.

Ces fioles, que je devais récupérer, étaient planquées dans cette banque, et non dans une autre. Ce n’était guère ma faute malheureusement. Il s’agissait juste d’un mauvais coup du sort, quelque chose qui n’aurait pas du tomber sur ma tête, mais ce fut le cas. Par chance, bien sûr, j’avais pu les récupérer, et les remettre au substitut d’Amaranth, mais la chance avait connu un revers de bâton, dans le fait de m’être retrouvé coincé ici, par mégarde et à cause d’une sublime envie, de la preneuse d’otage, de condamner les issues. J’étais prisonnier, et mon seul moyen de m’échapper d’ici pour, peut-être, sauver les otages et me sauver moi-même si jamais c’était encore possible.

Bien sûr, la preneuse d’otage n’était pas très réceptive à mes paroles. Lui parler de la mission qu’Amaranth m’avait confiée, n’était pas une bonne idée, mais je pouvais très bien lui parler d’autre chose : de cette autre raison qui m’avait amené à me trouver ici.

Il y a un moment, avec l’aide de deux membres du Serenity, j’avais eu l’occasion de mettre la main sur les fondations d’un groupe de rebelles, qui ne pensaient qu’à causer des problèmes, mais ceux-ci ne l’avaient pas apprécié. Leur butin, dont certaines choses qui avaient été dérobé au sein du Serenity, à savoir une autre fiole, quelques liasses de billets, mais aussi une cassette, qui renfermait au passage un message plutôt important, s’était retrouvé enfermé dans cette banque. La mission d’Amaranth avait été pour moi l’occasion de récupérer ceci.

En gros, j’allais jouer le rôle du cambrioleur entre guillemets…c’était étrange mais c’était ainsi.

- S’il y a bien une chose dont vous pouvez être certaine, c’est que je n’ai rien à voir avec la police ni avec aucune autre organisme liée au gouvernement. Jamais je ne pourrais faire affaire avec eux.

*ça c’est sûr…*

- Si je suis venu ici, ce n’est pas pour une prise d’otage, mais pour une affaire plus personnelle. Certaines choses importantes ont disparu. Elles ont été volé à plusieurs personnes, non seulement à moi mais aussi à quelques amis proches. Ces choses ont une réelle importance, et l’ordure responsable de ce vol avait planqué son butin ici. Ce plan était né de telle sorte à ce que je ne puisse pas récupérer les biens disparus. Mais, j’ai pu retrouver cette ordure et lui soutirer l’information. C’était pour cela que j’étais venu ici : pour ouvrir plusieurs coffres en douce et récupérer ce qui avait été volé.

*une vérité large…*

- Si j’étais un négociateur, envoyé par la police, je n’aurais pas agi de cette manière. J’aurais été beaucoup plus officiel, ne cessant jamais de vous demander de relâcher les otages en échange de vos exigences. J’aurais même pointé une arme vers vous histoire de marquer mon autorité. Honnêtement, avez-vous vu ne serait-ce qu’un seul de ces agissements dans ce que j’ai dit ? Croyez-vous franchement que je suis une de ces ordures de flics ?

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Je pollue #sbaff#

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La nuit était la partie de la journée qu'Elijah préférait, peut être était-ce tout simplement du à son statut de vampire mais il s'y sentait à l'aise. Libre de réfléchir, sans se soucier des hommes et des êtres surnaturels qui peuplaient le monde et dont malgré lui il faisait partie.
Toujours en réflexion quant à son potentiel projet de vengeance, il décida qu'il était temps d'étancher sa soif. Pas de sang bien sur, s'il le pouvait, il évitait de s'abreuver directement des hommes quand bien même il refusait également de se nourrir de ses semblables contrairement à son père. Un verre d'alcool lui ferait nul doute du bien. Après cette première rencontre, Elijah fomentait un nouveau projet, il pouvait démarrer son enquête mais il lui fallait taire ses envies pour mieux se centrer sur ses pensées, l'odeur du sang lui avait rappelé son régime forcé.
Son pas rapide et léger le menait alors vers un petit bar. Le Blackjack. Le nom le fit sourire, les hommes avaient parfois de drôles d'idées. Il y entra, jetant un oeil rapide à l'intérieur. L'endroit était sombre, presque glauque, peut être était-il tenu par des créatures de son monde. Peu lui importait pour le moment. Il s’avança vers le bar et y prit place. Il commanda discrètement un verre de bourbon qui lui fit apporter rapidement. Le bourbon. Pas le meilleur qu'il eut goûté, seuls les premiers possédaient un vrai saveur mais il s'en contentait tout comme le temps qui passe. Il s'aperçut qu'il n'était pas seul au bar et observa alors l'homme avec intérêt. Quelque chose de surnaturel s'en dégageait sans qu'il sache à quel univers il appartenait. Peut être un sorcier, ils étaient les plus difficiles à cerner pour un vampire. Il s'en détourna. Le jeune homme se tourna pourtant vers lui et Elijah ne résista pas à la tentation d'un contact visuel. Il fut pourtant surpris quand il le vît lever son verre dans sa direction en souriant déclarant
"A la gloire de l’ancien monde ! "
Il l'entendit rire avant de baisser les yeux
"Ca vous manque pas vous votre vie d’avant ? Quand j’vois dans quoi on va, j’ai vraiment peur."
Il détourna le regard, fixant le mur d'en face.

Elijah sourit. Il approuvait ses mots. Sa vie à travers le temps ne pouvait que le faire approuver. La société actuelle lui déplaisait, bon nombre d'autres temps lui avaient paru tellement plus simples et en dépit de temps, il conservait en lui le souvenir intact de ses années humaines, auxquelles il était bien plus attaché qu'à ses années de vampire. Alors oui, sa vie d'avant lui manquait. Celle où ils étaient tous humains et vivants.
"Je ne puis que vous approuver"
Il but une gorgée, posa lentement son verre puis se tourna vers lui.
" Les temps actuels ne sont que le reflet du désespoir des hommes et les évènements semblent aller de pis en pis. Reste que les circonstances font que j'ignore encore exactement pour quelle raison. Quelle ironie !"
Il sourit du coin des lèvres et observa la réaction de son interlocuteur

bonne pollution

à mon tour ^^

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Une odeur de brulé et un sentiment de peur : voici le cocktail que je ressentais de plus en plus ces temps-ci. Ce mélange me dérangeait de plus en plus, surtout que je n’étais désormais plus le seul à être enfermé là-dedans.

Pensant que tout pourrait s’achever, en mettant fin aux sphères électriques de l’autre type, j’avais été obligé de dégager une forte vague de chaleur. Cette extrémité était terrible, car je n’avais pas eu le choix. Je tenais à Rexia, car elle était devenue importante pour moi. Ce miracle, qui m’avait sauvé la vie alors que je pensais avoir définitivement perdu espoir, n’était autre qu’elle. La voir en danger était une raison suffisante pour me donner une motivation pour intervenir, même si cette intervention ne pouvait être, au final, que dangereuse.

Malheureusement, Rexia avait des ennuis, par ma faute, car la foule était là

Même si Rexia allait mieux, et que mes entailles provoquaient des pertes sanguines pour ma part, le problème de la foule demeurait encore présent.

Un coup de feu secouait en effet l’atmosphère.

Une giclée de sang atterrissait sur mes mains, mais ce n’était pas le mien. Quelqu’un venait de tirer sur Rexia, de sang froid.

- Non… avais-je dit en silence.

Le coup de feu était venu d’un large fusil, porté par un homme habillé d’un pyjama aux couleurs de l’armée, en complet désaccord avec des pantoufles roses, portant plus l’image d’un lapin, l’aspect affectueux qu’une femme porterait. Probablement une erreur, comme celle qu’il venait de commettre en tirant sur celle, qui m’avait probablement le plus surpris dans ce monde. Un autre coup vint un peu plus tard, mais le type avait raté sa cible. La balle avait failli par m’atteindre, à quelques millimètres près, mais ce ne fut pas le cas. À la place, elle traversait une fenêtre de la maison d’Arthur. Ce dernier avait d’ailleurs crié, et je l’avais entendu. Il devait s’être caché non loin de la scène.

Si je m’écoutais, ma colère serait déjà en place, et j’aurais déjà voulu venger Rexia en faisant bien comprendre à ce type l’erreur qu’il venait de commettre. Mais je fis une toute autre chose à la place. Quand Rexia avait dit de faire comme si je ne la connaissais pas, au lieu de crier, je me taisais, ce qui me surprenait moi-même d’ailleurs.

Rexia dépliait ses ailes peu après afin de prendre son envol au loin. Elle quitta mon champ de vision quand elle atteignait la forêt. L’homme, ce monstre, venait de recharger son fusil de deux cartouches, et incitait tout le monde à suivre Rexia. Arthur était en train de revenir, et il me voyait au beau milieu de ces pourris qui écoutaient le discours de ce monstre. Il était choqué, et il me fonçait dessus, pour siéger dans mes bras.

Quand le type parlait de récupérer la carcasse de Rexia, en groupe, Arthur se mit à parler, avec son vocabulaire à lui.

- Mais vous êtes des sauvages carnivores ! C’est pas juste ! Vous n’avez pas le droit de la suivre d’abord ! Vous n’êtes pas…

Je mis ma main devant lui, comme un signal pour l’arrêter.

- Non…ce sera sans moi. Vous êtes les réels fous dans l’histoire.

- Tant pis pour vous alors ! dit ce type que je détestais sincèrement.

La foule s’éloignait, rapidement. Je savais que ma lumière bleue allait se déclencher pour guérir mes entailles, durant leur absence, mais je stoppais son fonctionnement.

- Mais papa, tu dois guérir ! cria Arthur

- Il est temps que je lui rende la pareille. Si elle a tous ces ennuis, c’est à cause de moi. Elle mérite également d’être sauvé pour tout ce qu’elle a fait pour moi, et non de subir la furie de cette foule stupide. Je vais l’aider. Avec mon aide, elle pourra fuir ces personnes.

- Mais c’est de la folie. Je n’ai pas envie de te perdre.

- Et moi je n’ai pas envie de la perdre.

Je fermais les yeux et me concentrais alors qu’Arthur me disait qu’il allait rester avec moi, et me tenir la main.

Je devais atteindre un niveau de calme, en moi, suffisamment fort pour qu’il puisse traverser Rexia et la guérir. Il fallait, en gros, que j’atteigne le même stade de force que lorsque j’avais guéri le virus, sans réfléchir.

- Tu seras guérie Rexia...je te le promets… disais-je avant de commencer à m’agiter sur place. Mon pouvoir était en fonctionnement, et il pompait beaucoup de mes forces. Ce n’était pas simple mais je devais y parvenir, pour elle.

Je ne voulais pas l’abandonner, et jamais je ne l’abandonnerai.

Quand je ressortais, un peu plus tard, de l‘influence de mon pouvoir, mon corps chuta sur le sol. Je n‘étais pas inconscient, mais j‘avais eu de la chance, car c‘était moins une…

- Papa ! Tu vas bien ?!? me demanda Arthur en se précipitant vers moi.

- Je vais bien…je vais bien… disais-je en étant un peu essouflé. Je me suis juste un peu fatigué, mais je vais bien, je te le promers.

Mais au fond je priais dans mon cœur pour qu’il en soit de même pour Rexia.

S’en était-elle sortie sans dommage avec l’aide de mon pouvoir ?

Encore de l'amour !
Ca doit être ton domaine de prédilection XD
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Merci ^^
Je continue à polluer
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L'ouïe d'Elijah s'était toujours révélée très utile et par chance ce soir elle le fut encore. C'était l'un des avantages qu'il appréciait retirer de sa condition. Pour l'instant, les hypothèses avaient tendance à divaguer mais heureusement pas dans le bon sens. Elijah sourit. C'était surement mieux ainsi, il n'aimait pas usé de son pouvoir sur les humains s'il pouvait l'éviter. Les vampires étaient amorals et ils représentaient, il le savait, des erreurs dans le cycle naturel des choses, Elijah l'avait accepté depuis longtemps maintenant mais rien n'empêchait réellement son sens moral de prendre le dessus. Il aperçut un homme prenant des échantillons de sang, probablement les derniers de la victime au vu de la situation et quittait la scène. Cela l'intrigua. Jusqu'à présent, il avait toujours évité d'avoir à faire aux forces de l'ordre, aussi certaines pratiques actuelles avaient tendance à le désorienter.
Elijah s'approcha de l'homme. Les mots ne dépassent pas forcément la pensée après tout. Qui sait si les hypothèses formulées jusque là n'étaient telles pas que pure prudence ? Il valait toujours mieux être certain, et puis qui sait peut être obtiendrait-il ainsi des pistes qui le mèneraient à son but. Cette pensée le réjouit. Son objectif ne devait connaître de limites et toutes les occasions étaient bonnes.
L'homme semblait se diriger vers une voiture et la conclusion d'Elijah s’avéra juste bien qu'étrange à ses yeux. La police de nos jours était décidément bien perturbante. Probablement était-ce une histoire de modernité ? Il sourit et s'arrêta à quelques pas de l'homme en question. Il adopta une posture décontractée mais sérieuse. Il tenait à faire savoir à son interlocuteur qu'il n'était pas homme à apprécier les fuites en avant surtout par le biais d'une conversation.

"Je vous prie de me pardonner, cher monsieur. Mais peut être pourriez-vous m'éclairer sur ce qu'il s'est produit ici ? A-t-on déjà des pistes ?"

Elijah avait un ton on ne peut plus courtois, sa voix avait d'ailleurs une teneur agréable, presque chaleureuse. Il sourit aimablement à son interlocuteur, espérant qu'il ne devrait pas user d'autres stratagèmes. L'odeur du sang était encore plus présente, mais il en faisait abstraction. Il sourit d'autant plus largement tout en conservant une certaine distance.

"J'espère ne pas déranger."

euuuuh t'appelles ça de l'amour ce que je viens de faire ?

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http://timeofapocalypse.forumgratuit.org/t374-a-week-through-the-hell-rexiasam-intrigue-the-day-they-all-died

Je trouve que certains éléments oui mais pas de l'amour comme ton RP de n'amour hein !
Après je reconnais que c'est pas joyeux, loin de là ! C'est même triste. Mais y a de très beaux passages

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http://wantmore.forumactif.com/f4-biographie

avec un dragon et un humain, un rp d'amour serait étrange non ?

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Et là, la porte de chez elle s’ouvrait enfin, et je la vis.

Rachel était là, juste devant moi, et elle forgeait la preuve parfaite que toute cette torture n’était qu’une histoire ancienne.

Je n’étais plus enfermé dans cette cellule de malheur, torturé par des scientifiques inconnus qui ne voulaient que mon cerveau. Je me trouvais bien ici juste devant elle, comme une sorte de miracle que je croyais impossible depuis le début de ma semaine de calvaire.

La voir en train de sauter dans mes bras fut le sursaut de bonheur dont j’avais besoin, même si j‘avais une maigre pincée de douleur, qui me piquait les yeux. À cause de cela, je pouvais remercier ma captivité. Ironie… Tellement heureux de la revoir, j’appréciais sa présence comme jamais, mais je pleurais. Toute cette absence d’espoir, qui avait pu rester dans mon esprit pendant toute ma période de captivité, s’exprimait à voix haute. Rachel m’avait tellement manqué, que je ne pouvais pas m’empêcher de l’exprimer. Je ne pouvais pas cacher ce genre de sentiment…non je ne pouvais pas. À cette absence d’espoir se mélangeait la joie de cet instant, ce qui me fit penser, enfin, à un côté positif, le plus grand des côtés positifs.

Je n’étais pas le seul à pleurer, car elle aussi elle le faisait, et je me rendais compte de ce que j’avais pu lui faire subir.

Je lui avais promis de ne jamais partir trop longtemps, de ne jamais l’abandonner sans revenir auprès d’elle dans l’immédiat, mais j’avais échoué. Je n’avais pas réussi à tenir ma promesse envers elle, et je m’en voulais. Malheureusement, les circonstances étaient exceptionnelles à ce moment-là, bien que terribles.

Avec Rachel, je pouvais tout oublier, mais je ne pouvais pas omettre le fait que j’avais trahi ma promesse.

- Tu m’as réellement manqué toi aussi, ça a été très dur à vivre.

*trop dur de vivre enfermé dans cette cellule alors que je t’aime…*

J’essuyais mes larmes, du moins une maigre parcelle, avant de me remettre à parler.

Le ton de ma voix montrait bien que je préférais largement voir Rachel que de subir ces souffrances. C’était évident.

- Je suis désolé…je n’aurais pas du trahir ma promesse. Je t’aime tellement, je ne pensais qu’à revenir…mais ils m’en empêchaient…

J'espère que Afterlife tiendra les stats... .
Grrr --'

Je reconnais que là tu marques un point !
J'ai bien fait d'attendre !!!

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biographie

Alors comme cela elle se croyait drôle… hm simplement Jared n’appréciait pas du tout ce que cette dernière venait d’accomplir ; alors que sa cigarette prenait feu, malignement la rouquine décida de souffler à vivacité en sa direction, éteignant de fait le bâton blanc que s’apprêtait à aspirer le faucheur morose. Sans sentiment, il replongea sa grosse main bâtie dans ses jeans clair pour y sortir à nouveau le briquet qu’il venait à peine de serrer ; Quelle gamine… souffla finalement le brunet, serrant les dents afin de tenir en place sa cigarette qui tenta à nouveau d’allumer entre la paume de sa main. Évidemment la situation semblait plus cocasse qu’à l’ordinaire ; peut-être allait-il finalement apprécier cette journée maussade ? Seul le temps en déciderait, seulement pour le moment il aimait bien combattre et partager son terrain avec la plus vulgaire des femmes ( Même Holly passait pour un ange à côté de cette lesbienne furieuse. )
Mwai, c’est ce que j’avais pu comprendre. Dit-il, repensant au bout de papier qu’il avait vu quelques pas en arrière, aux côtés d’une tombe de jeunette. Dire qu’il avait osé lui rapporter l’écriteau en lui tapotant l’épaule, il en riait encore intérieurement tellement il en était fier.
Puis, soudain alors qu’il s’en attendait forcément, la jeune rousse se mit à blatérer ingratement ; apparemment elle y était avant lui, chose qu’il ne pouvait nier puisqu’elle était occupée à engueuler les ptites bonnes-femmes lorsqu’il entrait dans le cimetière, simplement il préféra se taire et réfléchir un moment, la laissant du coup continuer son baratin dans le vide, alors qu’il affichait un sourire en coin, baissant les yeux vers le sol pour regarder ses chaussures bien trop usés. Simplement au moment où il leva les yeux en direction de son interlocutrice tout sauf poli, une exclamation prit le dessus sur la conversation ; non j’le crois pas ! Grogna Jared tout en s’approchant de quelques mètres, jetant un coup d’œil confiant vers cette JJ qui semblait atrocement le défier. Évidemment Red ne se laisserait pas marcher sur les pieds, jamais de la vie. Calculant son coup, il continua de s’approcher à un pas de course, fouillant dans son pantalon au rythme de ses pas, puis en ressortit son paquet entier de cigarette. Tiens bergère ! S’exclama le faucheur, lançant énergétiquement son boitier de nicotine dans le sens inverse de la foule en délire ; ça l’occuperait pour un moment et pendant ce temps il gagnerait du terrain, sans aucun doute.

Bonjour !
Merci d'avoir donné des nouvelles et bonne continuation !
A bientôt

*La réaction de la jeune femme n’était décidemment plus surprenante. Sam commençait vraiment à se demander quand les gens arrêteraient d’être choqués en apprenant l’existence des démons. Après tout, les créatures étaient quasiment devenues leurs voisins. Mais l’heure n’était pas aux plaisanteries pour Sam, temps de crise oblige. Il fallait agir vite.
Sam prit donc les choses en mains. Il attira la jeune femme à l’intérieur, non pas sans avoir détruit sa porte, après tout un Winchester reste un Winchester, pourquoi utiliser des clés quand l’heure est à la chasse ?! Il courut rapidement vers la cuisine. Il fouilla à la recherche du sel tant convoité. Il regarda furtivement son hôte pendant sa quête, qu’il avait laissé planté aux abords de la cuisine. Elle avait toujours ce regard choqué mais déterminé. Elle finit par agir et lui tendit le sel avec son air malicieux.
Il commença donc à tracer un très grand cercle de sel et en mit aussi au pas des portes sous l’air interloqué de la jeune femme.*

Très bien… Euh… Je ne connais même pas votre nom. Je vous présente le plan rapidement. Vous allez rentrer dans ce cercle et ne pas en sortir, je dis bien, ne pas bouger de ce cercle même si vous apercevez des démons dans votre maison, ignorez les, ils ne vous peuvent aucun mal tant qu’il y aura une barrière de sel entre eux et vous. Je suis désolé mais je vais être obligé d’encore salir votre maison.

*Il entreprit donc de dessiner un pentagramme amélioré, le meilleur moyen de capturer un démon, de l’interroger et bien sûr de le tuer… La femme n’avait toujours pas réagi. Sam continua néanmoins sa besogne, ignorant pour le moment le manque de réactivité de sa compagne… Après tout, une attaque pouvait survenir à tout moment et tant que le piège démons n’était pas installé, il ne pourrait que se défendre…*

Bonjour !
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Bonne continuation et à bientôt ! ^^

Que du bon RP ! J'aime vous lire !!!

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Elijah sourit d'autant plus. L'homme qu'il avait en face de lui semblait être suffisamment courtois pour accepter ses questions. A moins qu'il n'est une autre motivation. Mais peu importe pour le moment, un analyste donc. Quelle étrange profession que celle d'étudier le sang des hommes ! L'hypothèse vînt à Elijah que les hommes avaient peut être percé la barrière qui séparait les mondes par ce biais mais il s'égarait.
Son interlocuteur était poli et paraissait avoir le sens de l'humour. C'était un aspect intéressant, en un millénaire il avait rencontré toutes sortes de gens fascinants et il fut intrigué par cet homme bien qu'il ne s'agisse ici que de courtoise curiosité.
Vidé de son sang. Cela signifie qu'Elijah avait bel et bien vu juste. Il sourit encore. L'homme paraissait mal à l'aise, il n'est pas mentir que dire qu'Elijah peut être à cause de son passé voire même de sa nature pouvait parfois en imposer bien qu'inconsciemment n'étant pas d'une carrure si imposante que l'on aurait pu l'imaginer pour un viking de naissance.
Dexter. L'homme avait décidément le sens de la politesse, Elijah apprécia ce trait de caractère et ne le fit donc pas attendre plus longtemps quant au respect des règles de la courtoisie élémentaire.

"Veuillez me pardonner, j'aurais probablement du commencer par ça. Je me nomme Elijah. Et je suis historien"

Il hésitait à en ajouter plus quant à son identité. Il n'était pas encore temps de se faire ficher par les forces de l'ordre. Son ton fut donc des plus courtois de manière à faire comprendre qu'il ne s'agissait pas là d'un manque de respect. Il poursuivit toutefois profitant de l'occasion pour justifier sa présence et établir donc sa position.

"Ces derniers temps, je travaille sur un document et je m'intéresse plus particulièrement pour l'heure à la criminalité. Au vu de la situation j'ai pensé que l'occasion bien que tragique pourrait se révéler une instruction. Mais dites-moi si cela ne vous dérange guère, est-ce la première fois que vous avez à faire un cas de cette sorte ?"

Elijah devait savoir si la situation devait mener son enquête à rechercher le meurtrier pour qui sait lui soutirer des informations qui pourrait se révéler utile par son plan contre Klaus. Même s'il est vrai que cette affaire paraissait encore éloignée d'un éventuel rapprochement avec Klaus, les éléments recueillis pourront au moins permettre de visualiser plus clairement la situation actuelle.
Elijah avait soigneusement choisi ses mots mais il n'était pas sur de ne pas être aller trop loin. Il espérait que l'homme comprendrait auquel cas, il y aurait toujours moyen de renverser la chance.

Après avoir rempli cette présentation, vous pouvez bien sur rajouter un ou deux clips !

On continue !
Je pollue !

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Elijah était intrigué. Son interlocuteur possédait bel et bien quelque chose d'hors du commun. Il sourit. Ses mots faisaient toutefois preuve d'une certaine naïveté pour Elijah même s'il est vrai, il était heureux de ne pas pouvoir le lui reprocher. Les hommes devaient conserver en eux une part de questions qui signifiait alors qu'ils ignoraient encore la vérité, qu'ils pouvaient donc vivre en paix. Mais cet homme n'était pas réellement humain, l'idée qu'il puisse être un sorcier se confirma pour lui, même s'il apparaissait encore comme débutant dans le domaine des créatures surnaturelles quant à la relation qu'il citait avec ce vampire, elle appuyait clairement cet avis. Une chose dont Elijah se réjouissait pour l'heure du fait de sa propre nature.

" Il y a une part de vrai dans vos paroles. L'émergence de ses êtres est bel et bien la véritable conséquence mais pour ce qui est de la cause, je pense que l'affaire est bien plus complexe. Les hommes ignorent bien souvent que les créatures surnaturelles qu'ils craignent aujourd'hui ne sont que des hommes qui ont touché de trop près au pouvoir qu'offre la nature. Tous ou presque furent ainsi humains un jour et s'ils n'en conservent pour l'heure plus grand souvenir, il s'agit de leur choix, délibéré ou non. Les hommes ont brisé l'équilibre et ils en payent les conséquences. Pourtant il se trouve qu'il est bien regrettable que tous doivent le faire."

Oui ils avaient tous été des hommes, ou presque. Les seuls véritables êtres du monde magique avaient eux aussi une part d'humanité et c'était leurs erreurs qui avaient engendrés les autres. De faux choix, de fausses décisions mais de vrais problèmes qui traversaient les siècles. En plus d'un millénaire d'existence, Elijah avait vu bon nombre de ses erreurs se produire, lui-même en réalité en était une.

"Pour ce qui est des raisons qui ont pu mené à la révélation de leur existence, elles me sont encore obscures. Les circonstances font que ce sujet m'est encore inconnu quand bien même je pus formuler des hypothèses, elles me paraissent toutes invraisemblables voire folles. Mais j'ai l'espoir d'un jour pouvoir les connaître."

Il but une longue gorgée de bourbon, se demandant s'il n'en donnait pas trop. Mais après tout, si cet homme appartenait à son monde, l'exposition était moindre. Et puis ce soir, il avait envie de s'exprimer. Certes il veillerait à conserver pour lui le plus important mais l'homme à ses côtés lui inspirait une certaine confiance dont il savait pouvoir profiter.

"Vos paroles m'intriguent cependant. Si j'en suis le fil, vous appartenez donc au monde surnaturel, serait-il inopportun de vous demander quelle en est la nature exacte ?
Et par ailleurs, je le suis d'autant plus concernant vos propos sur les vampires. Il est vrai qu'ils ne sont pas bien différents des hommes mais il est rare qu'ils aient l'occasion de s'en apercevoir, de fait l'identité de cet individu m'intrigue assez mais je suppose qu'il serait inapproprié de vous demander de m'en dire davantage"

Intrigué. Oui c'était bien le mot. Les réponses arriveraient peut être mais amèneraient probablement de nouvelles questions. Sa dernière conversation de ce genre remontait avec des humains, même si les deux cas étaient en soi assez différents et les sujets plus encore. Elijah reprit du bourdon et patienta, laissant partir sa curiosité vers une envie plus précise et plus claire.

Après avoir rempli cette présentation, vous pouvez bien sur rajouter un ou deux clips !

Enfin seul avec elle, dans son appartement, je pouvais penser à autre chose, et me dire que tout était terminé.

Durant cette si longue semaine, cris et douleurs n’avaient cessé de se succéder pour le plaisir de mes tortionnaires. Ils avaient apprécié me torturer, me tester, et de mettre à l’épreuve mon pouvoir d’auto-guérison. Leur but était terrible : il voulait connaître le fondement de ma différence, et l’utiliser pour leur sombre projet. Je ne pouvais pas encore en oublier sa dénomination, car ils me l’avaient trop répétée. Ils disaient tout le temps que j’étais leur projet Bahamut, sans que je ne comprenne exactement ce que cela voulait signifier. Tout ce que je savais, c’est que c’était malsain, et très dangereux. Ils tenaient à moi, d’une façon obsessionnelle. Il suffisait de voir leurs tortures. Leur niveau de douleur était inestimable, et le supporter était très compliqué, surtout si mon organisme était mis sous dose importante de drogue, rien que pour mettre mon pouvoir de guérison.

Mais Rexia m’avait délivré de ce calvaire, et j’avais délivré le monde du sien. Une overdose de pouvoir avait étendu la guérison à échelle mondiale, pour faire disparaître le virus. Sans le savoir, ma torture avait été le remède du monde, ce que je ne comprenais pas encore. Être un messie mondial était encore une image qui m’échappait.

Désormais, l’amour était présent juste devant moi. Le bonheur pouvait renaître dans mon regard, mais aussi mes lèvres. Il s’agissait d’un sentiment bien plus que positif, et il ne fallait pas l’ignorer. Rachel était la meilleure chose qui avait pu m’arriver, dans toute ma vie, et je l’aimais…plus que tout. Pour elle, j’avais eu le plus beau coup de foudre de toute ma vie, et jamais je ne pourrais supporter de le voir s’enfuir, et se terminer d’une douloureuse manière, comme toutes les chances que j’avais pu avoir de vivre heureux. En parlant de fin douloureuse, je repensais à ce fils, qui m’avait rendu si heureux, le plus heureux des hommes, mais que ces chiens n’avaient pas hésité à tuer, juste sous mes yeux. Ils avaient commis la plus immense des cruautés pour une vie humaine : perdre la chair de sa chair. Mais, ils s’en fichaient pas mal. Tant que je souffrais, leur plaisir était entier.

Quand je pensais à ce moment de mon passé, et que je pensais à l’amour que je ressentais pour Rachel, je voyais ma nouvelle vie comme une seconde chance, que je ne devais surtout pas gâcher. Il fallait vivre sa vie, profiter de chaque instant, et jamais je n’allais aller contre cela. Je l’aimais, j’étais heureux avec elle, et ce bonheur illuminait ma vie. Jamais je ne pourrais oublier ceci et repartir dans cette tristesse si morose. La tristesse comme un état de vie constant était quelque chose de terrible, et je disais cela pour l’avoir souvent vécu. L’horreur était de tenter de ne pas la montrer, mais je ne pouvais pas éternellement la cacher. Cela se voyait quand même sur mon visage, même si je mettais toute la volonté du monde pour prouver le contraire. Ma conscience mentait, mais mon visage disait la vérité.

- Cela a été terrible de ne pas être avec toi, ni pouvoir te contacter. Ils n‘ont pas cessé de m‘en empêcher pendant toute une semaine…et je n’en pouvais plus…

La revoir était comme un miracle.

Ce miracle m‘avait en quelque sorte sauvé.

Rexia m‘avait sauvé sur un plan physique, mais Rachel avait sauvé mon âme. Durant tout ce temps, je n‘avais pensé qu‘à la revoir, et réaliser ce souhait était une délivrance inestimable : le plus beau cadeau qui soit.

Je l’aimais…elle était mon cadeau du ciel…et je ne voulais pas la perdre, car jamais je ne pourrais le supporter. Non, pas deux fois… M’ôter un bonheur sincère une seconde fois serait beaucoup trop dur à vivre. J’en étais conscient, car je me connaissais à la longue. En même temps, j‘étais le mieux placé pour savoir comment je pourrais réagir face à une telle souffrance.

Je voulais rester avec elle, mais non pas pour l‘espace d‘une seule soirée. J‘avais besoin d‘un long moment avec elle, pour oublier toute cette semaine d‘horreur. Être avec elle me permettrait d‘oublier ma douleur, ces tortures et tout ce que ces scientifiques avaient bien pu me faire subir.

Cet amour ressuscitait mon âme, et j‘avais bien besoin de cela en ce moment. J‘oubliais cette semaine d‘enfer rien qu‘en étant avec elle. C‘était comme si rien ne s‘était passé, et c‘était mieux ainsi. Je préférais sourire plutôt que pleurer…aimer plutôt que détester…rester avec Rachel plutôt que demeurer seul, sans amour et avec une unique tristesse.

Elle était ma vie.

- Rien ne saurait égaler le soulagement que je peux ressentir en étant avec toi. J’ai attendu cela depuis si longtemps que cela me fait du bien.

*hors de question que je m’en aille…*

- Je t’aime Rachel, plus que tout. Il est hors de question que je m’en aille…plus jamais. Je vais rester ici avec toi. On ne sera ici que toi et moi, ensemble, et rien ni personne ne nous dérangera. Un simple moment ici avec toi me fait sourire.

*même si ce que ces scientifiques m’ont fait reste encore dans ma tête…une semaine dans cet enfer…mais maintenant je suis avec elle…*

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t'as aimé mon mamour ?

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Une seule chose était dans mon esprit : Trouver Samuel Langster, mon Némésis entier et donc la seule possibilité de réponse à mes questions. Le contraire complet de mon pouvoir était la seule chance, pour moi, de comprendre ce qui m’arrivait et, peut-être, mieux cerner mon pouvoir ainsi que ce que j’étais. Je ne savais pas qui il était, ni quelle personnalité il pouvait bien posséder, mais je prenais tout de même le risque. Je voulais tout de même tenter ma chance. Lui parler pourrait peut-être me faire comprendre le but que je devais atteindre dans ma vie. En tout cas, je le voyais comme ça. J’étais capable de tout pour arriver à mes fins, et mon unique objectif se résumer à cela : le trouver, lui parler, et comprendre qui j’étais en fin de compte, notamment sur les raisons qui ont amené mon organisme à se doter de ce pouvoir de mort sur quiconque. J’étais un ange de la mort, et je ne savais même pas pourquoi. C’était pour cela que je le recherchai, pour me débloquer.

Cette Gabrielle était une policière, et donc un agent d’autorité capable de consulter n’importe quel fichier, pour retrouver qui que ce soit. Mais le cas de Samuel était spécial. Il savait très bien se fondre dans le décor, disparaître et ne pas être retrouvé. Même dans les renseignements de base, à savoir l’annuaire ou bien Internet, il n’y figurait pas, alors qu’il était en vie ! C’était étrange comme histoire quand même, non ? S’il avait disparu de cette manière, une policière et surtout humaine ne le trouverait pas si facilement, j’en étais certain.

Et là, elle me disait qu‘elle en connaissait un, avec deux dons. Bon sang, j‘étais tombé sur la bonne personne.

- Vous avez rencontré un Samuel, avec deux dons ? Bon sang c’est peut-être lui… Son pouvoir principal…enfin l’autre pouvoir, c’est quoi exactement ? Est-ce que vous vous en rappelez ? S‘il vous plait, dites-le moi…

*si c’est lui, cette humaine m’aura sauvé…rho là c’est bizarre…*

- Je possède un pouvoir, mais je ne vais pas m’en servir contre vous, soyez sans crainte. Mais…je ne le comprend pas vraiment. Je sais à quoi il sert, mais sans plus. J’aimerais en savoir plus et je pense que ce Samuel pourrait m’aider. Il possède le pouvoir contraire au mien.