♫ JE SUIS : ♫ J'AI : 34 ♫ ACTEUR DEPUIS : 09/08/2011 ♫ NOMBRE D'ÉPISODES : 3633 ♫ JE SUIS NÉ LE : 20/01/1990
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Sujet: Re: Copier / Coller Sam 29 Oct - 19:16
Bonjour, Merci d'avoir actualisé ta pub ! Bonne continuation et à bientôt !
Gallifrey's Madness
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Sujet: Re: Copier / Coller Sam 29 Oct - 20:31
3 heures après mon dernier texte, en voilà un autre :
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Les larmes de Rachel avait cessé de tomber, mais les miennes étaient toujours là, simplement parce que j’en avais assez. Je ne supportais plus la situation qui était la mienne, alors que j’avais enfin la chance de connaître le bonheur. Tout ceci était injuste. À chaque fois que j’avais l’occasion de bouleverser ma vie, dans un sens positif, et enfin vivre heureux, avec le sourire, et la présence de quelqu’un que j’aimais sincèrement, quelque chose me faisait comprendre que c’était impossible. Il s’agissait d’un obstacle, un fait ou une action suffisamment intense pour empêcher mon bonheur.
Cette fois-ci, il s’agissait de cette chasse, de ces scientifiques qui voulaient réellement me capturer, me torturer, me tester comme un vulgaire rat de laboratoire, mais je n’allais pas me laisser faire…jamais. Maintenant, Rachel était entrée dans ma vie, et jamais elle n’allait sortir. Il était temps que tout puisse changer, même si tout allait devenir suicidaire, mais il était hors de question que je me sépare d’elle…hors de question que je quitte Rachel alors que je l’aimais, et qu’elle me rendait heureux. Il ne fallait pas que cela s’arrête. C’était cette chasse qui devait s’arrêter, et non cette relation. Les deux mains de Rachel contre mes joues, était une preuve que je pouvais compter sur elle, qu’elle était là et qu’elle allait toujours être là, et ceci était censé me calmer, du moins être moyen plutôt fiable pour me calmer, mais cela ne fonctionnait pas. Mon visage était toujours dévasté par les larmes, dans leur présence incessante, et cela n’était pas près de s’arrêter malheureusement. Le fait d’être piégé dans cette tourmente immense ne m’arrangeait pas.
- Je ne veux pas te mettre en danger, mais je ne veux pas non plus voir cette relation cesser, alors que j’y tiens énormément.
Je relevais les yeux vers Rachel, bien que mes larmes étaient toujours présentes, avant de continuer à lui parler.
- Je sais qu’il n’y a pas le choix et qu’il faudrait que je m’en aille, mais je ne pourrais pas supporter cela, pas constamment en tout cas. Je n’ai pas envie de voir ces monstres détruire ta vie, et endommager encore la mienne. Je ne vais pas les laisser faire. Il est hors de question que cela continue et qu‘ils m‘éloignent davantage de toi. Je ne veux pas te perdre.
Ma mine était affreuse, à force de pleurer, mais mes larmes exprimaient pleinement une peur, qui était encore enfermée en moi : cette peur de perdre Rachel. Le fait d’être obligé de m’enfuir agrandissait cette peur, et mes larmes par effet domino. Cette succession était terrible…
- Ma mine doit être affreuse à regarder excuse-moi.disais-je en tentant d’éponger des larmes, qui tombaient toujours…
En seulement quelques instants, je ne pensais pas pleurer autant. Mes larmes étaient nombreuses, et montraient ma peine à voix haute, pour une fois. À chaque fois, je me retenais, pour tenter d’être fort, mais je ne le pouvais pas cette fois-ci.
Ma peur de la perdre était plus puissante que moi.
Iracebeth
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D’accord, d’accord. Répéta la rouquine à son interlocuteur qui jurait que par dieu que son petit ami n’était pas cinglé…en tout cas ce ne serait pas ce qui ferait changer d’avis le belle rouquine qui porta sa tasse de café à sa bouche pour en prendre une bonne gorgée. Évidemment elle n’en croyait pas un traitre mot, ce ‘’chic’’ type lui donnait des frissons dans le dos, il ne semblait pas du tout normal, tout comme son frère d’ailleurs qu’elle trouvait tout aussi louche; elle n’imaginait pas les parents rendu à un tel point ce devait être de famille… Holly prit finalement une seconde gorgée du liquide chaud et onctueux pour ensuite déposer son thermos entre ses deux cuises, le tenant toujours d’une main. Et t’es pas un peu jeune pour fréquenter un homme de s’genre ? Questionna enfin la rousse tout en fronçant un sourcil ; il était évident que Jared frôlait la quarantaine alors que la brunette qui se trouvait à ses côtés ne dépassait pas la trentaine…d’apparences du moins, il était vrai que sur Skyline les apparences étaient réellement trompeuses avec l’arrêt du développement du corps humains… tout de même, elle ne comprenait pas comment une aussi jolie fille pouvait ‘’flasher’’ sur un homme qui pourrait incarner sans problème son paternel, c’était carrément dégueulasse!
Évidemment elle s’attendait à une réponse plus ou moins brute et négative de la part de son interlocutrice, mais elle n’en avait rien à faire, si elle n’appréciait pas leur conversation la jeune brunette n’aurait qu’à se lever et à s’accrocher à un de ces poteaux pleins de germes, comme tout le monde. Un immense sourire se dessina sur les lèvres de la jeune mère ; ahh que cela faisait du bien de se défouler un peu, il s’était écroulé combien d’année avant qu’elle n’ose dire réellement ce qu’elle pense depuis son décès? Bon d’accord pas beaucoup, mais pour chercher les ennuies comme elle le faisait présentement, trop longtemps! En tout cas j’serais pas surprise si un jour tu disparais de la surface de Skyline… un bon côté pour tous ces tueurs ; ça ne laisse aucune traces ! C’était plutôt effrayant, mais vrai. Si quelqu’un avait le malin plaisir de tuer, il pouvait le faire en toute liberté, personne ne chercherait à le stopper puisque les corps s’envolaient comme de la poussière ; pas de preuves, pas de meurtres, non ? En tout cas c’était de cette façon qu’Holly, qui porta à nouveau sa grande tasse en Stainless, voyait les choses… un parfait petit paradis pour les futurs Dexter en série.
Iracebeth
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RP *_______________________________* (Non je n'aime pas le RP ! Je suis complément folle ce soir --")
Vanessa Hudgens a intêret de parler de Neil dans des termes plus qu'élogieux, Il l'a tellement défendu :')
Gallifrey's Madness
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Sujet: Re: Copier / Coller Dim 30 Oct - 0:14
L’erreur que j’avais commise, n’était guère anodine, car j’avais failli par commettre l’irréparable.
Enfin, en quelque sorte, je l’avais commis, mais cela n’avait pas eu cette issue dramatique, prévue dès le départ, parce que Rachel m’avait sauvé la vie, et permis de continuer de vivre, mais je ne savais pas encore où était ma place. J’étais encore pétrifié par ma peine, et limite à pleurer à chaque fois que je parlais. Au fond, je ne parvenais pas encore à croire que j’étais toujours en vie, et à me faire à l’idée que c’était ce qui était le mieux pour moi, car la mort n’aurait au contraire rien arrangé. Il s’agissait d’une erreur, et je devais en prendre conscience. Malheureusement, je n’y parvenais pas encore, et je ne savais pas si j’allais pouvoir le faire un jour. Mon esprit était encore trop perturbé par les événements passés.
Peu à peu, je vis Gabrielle se rapprocher de moi, et essuyer l’embryon de mes larmes, avant qu’elles ne puissent tomber sur mon visage. Ses mains restaient ensuite sur mon visage. Elle déposait par la suite un baiser sur mon front, geste qui me surprit sur le coup. Je ne savais pas trop quoi dire sur ce coup-là. Elle le fit deux fois.
Par la suite, elle me parlait, d’une voix réellement douce. Son discours me montrait que je pouvais compter sur elle, et ceci me soulageait réellement. Pour une rare fois dans ma vie, j’étais tranquille, même si je restais au bord des larmes.
- Merci. Merci d’être là.
Mais comment lui parler de ma tentative de suicide ? Ce n’était en rien un sujet de conversation très gai. Je ne pouvais pas l’aborder aussi facilement. Je ne le pouvais pas… Pourtant, si je ne disais rien, j’allais rester enfermé dans ma peine, et pleurer de réelles larmes à la longue.
Cette issue n‘était guère la meilleure et j‘en avais conscience. Je devais parler. Je ne savais pas encore de quelle manière, mais je devais parler.
- Ce n’est pas qu’une simple erreur ce que j’ai fait.
Je baissais les yeux vers le lac avant de continuer.
- Je me suis senti très mal, de jours en jours, et ceci ne cessait d’empirer, au point que je ne puisse plus supporter ce qui m’arriver. Je n’arrêtais pas de pleurer, de souffrir, et cette succession de douleur a failli par avoir raison de moi.
Ma main glissait sur l’eau, et c’était de manière volontaire.
- Une nuit, j’ai voulu mettre fin à mes jours. Voilà mon erreur. Mon erreur a été de vouloir mourir. Je dois ma vie au fait que Rachel m’ait retrouvé sur le sol. C’est pour cette raison que mon bras est bandé. Cette blessure, je me la suis moi-même infligée. C’est aussi pour cette raison que je suis encore triste aujourd’hui. C’est parce que je n’arrive pas encore à me remettre de ce qui s’est passé.
*tout est dit…*
Iracebeth
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D’accord, d’accord. Répéta la rouquine à son interlocuteur qui jurait que par dieu que son petit ami n’était pas cinglé…en tout cas ce ne serait pas ce qui ferait changer d’avis le belle rouquine qui porta sa tasse de café à sa bouche pour en prendre une bonne gorgée. Évidemment elle n’en croyait pas un traitre mot, ce ‘’chic’’ type lui donnait des frissons dans le dos, il ne semblait pas du tout normal, tout comme son frère d’ailleurs qu’elle trouvait tout aussi louche; elle n’imaginait pas les parents rendu à un tel point ce devait être de famille… Holly prit finalement une seconde gorgée du liquide chaud et onctueux pour ensuite déposer son thermos entre ses deux cuises, le tenant toujours d’une main. Et t’es pas un peu jeune pour fréquenter un homme de s’genre ? Questionna enfin la rousse tout en fronçant un sourcil ; il était évident que Jared frôlait la quarantaine alors que la brunette qui se trouvait à ses côtés ne dépassait pas la trentaine…d’apparences du moins, il était vrai que sur Skyline les apparences étaient réellement trompeuses avec l’arrêt du développement du corps humains… tout de même, elle ne comprenait pas comment une aussi jolie fille pouvait ‘’flasher’’ sur un homme qui pourrait incarner sans problème son paternel, c’était carrément dégueulasse!
Évidemment elle s’attendait à une réponse plus ou moins brute et négative de la part de son interlocutrice, mais elle n’en avait rien à faire, si elle n’appréciait pas leur conversation la jeune brunette n’aurait qu’à se lever et à s’accrocher à un de ces poteaux pleins de germes, comme tout le monde. Un immense sourire se dessina sur les lèvres de la jeune mère ; ahh que cela faisait du bien de se défouler un peu, il s’était écroulé combien d’année avant qu’elle n’ose dire réellement ce qu’elle pense depuis son décès? Bon d’accord pas beaucoup, mais pour chercher les ennuies comme elle le faisait présentement, trop longtemps! En tout cas j’serais pas surprise si un jour tu disparais de la surface de Skyline… un bon côté pour tous ces tueurs ; ça ne laisse aucune traces ! C’était plutôt effrayant, mais vrai. Si quelqu’un avait le malin plaisir de tuer, il pouvait le faire en toute liberté, personne ne chercherait à le stopper puisque les corps s’envolaient comme de la poussière ; pas de preuves, pas de meurtres, non ? En tout cas c’était de cette façon qu’Holly, qui porta à nouveau sa grande tasse en Stainless, voyait les choses… un parfait petit paradis pour les futurs Dexter en série.
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Sujet: Re: Copier / Coller Dim 30 Oct - 2:44
Pas ma bouteille ! Mais pourtant tant de haine bon sang ?
Ma bouteille ne me rendait pas dingue. Je n’étais pas saoul ! J’allais bien, mais on voulait me l’enlever. On voulait m’enlever mon divin Midori, tout bêtement parce que j’allais mal, mais ce n’était pas de sa faute. Ce n’était qu’une bouteille. Quel genre d’effet néfaste pourrait avoir une bouteille sur ma personne, surtout depuis mon accident ? Depuis ce jour, je ne parvenais même plus à être bourré correctement, comme si le fameux élément de mon cerveau, qui s’était désaxé, concernait mes effets sous l’alcool. C’était fort possible, avec le bol que j’avais. C’était peut-être l’inconvénient de mon don. Genre, Dieu aurait décidé, en sortant par hasard de ses toilettes mystiques, en regardant mon corps allongé sur ce lit d‘hôpital, de prédire ceci sur mon compte: Alan Cooper, tu peux voir l’avenir, mais tu ne peux plus te saouler avec une tonne d’alcool ! C’était une sorte de particularité à ne pas sortir lors d’un diner sérieux, quoique cela pourrait être utile de temps en temps, lors de défis d’alcool sous pari. Pour gagner quelque chose, cela pourrait toujours servir. Bon c’était du profit et alors ? N’avais-je donc pas le droit de me faire plaisir de temps en temps, surtout si je ne pouvais même plus être bourré !? Non mais, laissez-moi en paix bon sang ! Je n’avais rien demandé en plus…
J‘étais un membre parfait de la génération : boire pour oublier. À défaut d‘être capable d‘autre chose, pour oublier ma peine, l‘alcool m‘avait sauvé d‘un bon nombre de tristesse, même s‘il ne s‘agissait pas réellement d‘une méthode conventionnelle, mais elle me convenait. Elle était simple d‘utilisation, rapide, et parfois efficace, mais bon cela pourrait comporter de sacrés risques, du moins pour ceux qui pouvaient être bourrés, mais je n‘étais quand même pas exclu. Sans être bourré, mon organisme pouvait quand même être mis en danger, sans que je ne m‘en rende compte, et c‘était beaucoup plus dangereux que quelqu‘un qui se laissait abattre par l‘emprise de l‘alcool.
Je n’étais pas sous l’emprise de l’alcool…non…si un peu…mais pas au point d’être bourré ! Non je n’étais pas bourré ! J’étais lucide, bien qu’accro à l’alcool, mais ma lucidité était encore là. Si l’alcool avait un complet pouvoir sur ma tête, Olivia ne m’aurait pas vu dans le même état, et ça j’en étais certain. À la longue, je me connaissais. En même temps, c’était logique, vu que la meilleure personne capable de se connaître soi-même n’était autre que cette même personne. Alors j’étais le mieux placé pour comprendre comment je pouvais être quand j’étais bourré, et je savais que j’étais ingérable, largement ingérable, et c’était le cas de le dire. J’avais encore en mémoire le carnage que j’avais pu faire dans une boite de nuit en étant complètement saoul. J’en avais eu six, oui six en une soirée. Le lendemain, logique, j’étais fatigué, et je n’avais plus envie de le faire, quoi que j’aurais pu, si j’avais encore bu.
- Je ne suis pas bourré. De toute façon, je n’y arrive plus.
Je relevais les yeux, une bonne fois pour toutes, même si j’étais tenté par le fait de me reposer sur ce bon fauteuil, sur lequel j’aimais cramer devant les feux de cheminée. C’était une bonne sensation parfois, surtout en hiver, quand les températures baissaient énormément à l’extérieur. Le corps congelé appréciait réellement la chaleur du feu, quand il pouvait en profiter. Au fond, voilà le pouvoir que j’aurais aimé avoir. Du feu, cela aurait été génial ! Non ? Enfin bref, plus besoin de raconter sa vie.
- Je ne sais pas. Honnêtement, Olivia, je ne sais pas en quoi vous pourrez m’aider.
*je ne suis pas digne d’intérêt…*
- Je réagis très mal aux mauvaises nouvelles, c’est en quelque sorte mon défaut. C’est comme si cela pouvait me poignarder en plein cœur, et cela l’a fait aujourd’hui. Je n’ai juste pas de chance, c’est tout…
Je tentais de me lever, mais je n’étais pas très stable. Ce n’était pas le fait d’être bourré qui jouait en ma défaveur, mais plutôt le fait d’avoir tenté de fermer les yeux sur ce fauteuil, à plusieurs reprises. Je n’avais pas de bol…à la longue.
- Je vais peut-être tenté de faire une bonne grosse dose de café, histoire de pouvoir laisser passer l‘alcool d‘une manière plus saine que l‘overdose intentionnelle.
J’avançais, peu à peu, pensant avoir mes chances d’arriver au bout de mon idée, mais j’avais tort.
À un moment donné, mon instabilité était telle que mon corps se déséquilibrait à lui seul. Je me cognais contre un mur, d’une manière plutôt violente, avant m’écrouler sur le sol. J’avais encore les yeux ouverts, mais la violence du coup m’avait fait saigner. Je pouvais le voir sur ma main droite, celle que j’avais posé sur l’endroit ciblé par le coup.
.theperfect'cupcake.
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Gallifrey's Madness
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Sujet: Re: Copier / Coller Dim 30 Oct - 15:59
À l’idée de faire goûter ma cuisine à un ange tel qu’Ariel, je souriais, notamment à cause du côté exceptionnel de la chose. Il m’arrivait de cuisiner, souvent à vrai dire, mais les occasions de faire goûter mes plats à quelqu’un d’autre étaient rares extrêmement rares. La plupart du temps, Rachel avait ce privilège, mais elle était la seule et l’unique, car la majorité de mon temps était passée en sa compagnie. J’avais déjà fait goûter mes pancakes à Michael, mais juste cela, alors que Rachel avait pu avoir des diners entiers confectionnés de mes mains, des plats entiers à manger avec plaisir.
Pour Ariel, il s’agissait d’un petit déjeuner. J’aurais très bien pu préparer autre chose que les pancakes, mais je n’avais malheureusement pas le nécessaire. Le deuxième plat, que j’aurais pu faire, était impossible en l’absence de l’arôme spécial qui me manquait, le petit ingrédient secret qui donnait tout le goût. Sans lui, ce n’était pas la même chose. Pour les pancakes, je possédais tous les ingrédients nécessaires, alors à l’attaque !
- Et moi je serais ravi de t’en servir, en espérant que cela te plaise. On peut dire que les pancakes sont des sortes de petites crêpes, mais l’épaisseur et la taille les différencient c’est tout. Ma manière de les faire est un peu spéciale aussi, mais j’espère que cela te plaira.
Debout dans ma cuisine, je commençais à faire la pâte, alors qu’Ariel me posait une question. Elle voulait savoir si cela m’arrivait souvent de faire la cuisine pour Rachel. Et bien, sans me retenir, j’allais lui répondre.
- Cela m’arrive oui de faire la cuisine pour elle, bien qu’elle le fasse également de son côté aussi. On partage l’amour de la cuisine car on n’aime pas trop les plats tout faits. On aime bien y mettre nos mains. Souvent, je peux me lancer dans des diners entiers rien que pour cuisiner. C’est un peu comme une seconde peau après celle de professeur, enfin troisième si on compte le loup-garou. J‘aime assez la cuisine, et je pense que j‘aurais pu devenir cuisinier à plein temps si je n‘avais pas obtenu ce travail de professeur d‘anglais.
Je continuais peu à peu les étapes de la préparation, en enfermant la pate dans la poêle de taille suffisante à les faire cuire. Une odeur s’en dégageait peu à peu, ce qui me prouvait que je n’avais pas loupé mon plat, encore heureux. Je n’aurais pas vraiment aimé raté la préparation des pancakes alors qu’il s’agissait de les faire goûter à quelqu’un : Ariel.
- Non, ça va aller. Il suffit juste d’enfermer la pate dans une poêle, alors je peux m’en sortir. Eventuellement, ce que tu pourrais faire, c’est attraper des accompagnements, afin que ce ne soit pas des pancakes natures. On peut les manger avec un peu n’importe quoi, comme du sucre ou bien des fruits. Je range tout dans l’armoire qui est juste à côté de toi. Tu peux attraper ce que tu veux.
Ariel posait alors les assiettes couverts nécessaires pour déguster le petit déjeuner, avant de s’installer ensuite à table, tandis que moi je continuais ma période de cuisine.
Quelques minutes plus tard, quelques pancakes étaient chauds. J’éteignais la plaque de cuisson avant de m’approcher de la table pour les déposer. Ariel était souriante et j’appréciais de la voir ainsi.
- J’espère que cela te plaira.disais-je en la voyant prendre un pancake avec l’aide d’une fourchette.
Gallifrey's Madness
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Sujet: Re: Copier / Coller Dim 30 Oct - 17:43
(j'aime pas trop celui-là...)
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À peine arrivé à un hôtel de la ville de New-York, et réservé ma chambre en bonne et due forme, mon premier réflexe ne fut pas de me la couler douce, pour profiter de tout le confort, loin de là. Aussi idiot que cela puisse paraître, je me retrouvais assis, sur une des chaises de l’entrée, à potasser un livre, et pas n’importe lequel. Il s’agissait du livre, dont vous n’imaginerez jamais la présence sur moi : l’annuaire. Oui, je me retrouvais avec un pavé sur les jambes, en train de tourner toutes les pages.
Que recherchais-je avec tant de courage ? Un numéro de téléphone, et pas n’importe lequel. Je cherchais celui de Samuel Langster, celui qui était considéré comme mon contraire au niveau du pouvoir, mon Némésis en tout point. Au lieu de ce genre de pouvoir qui tuait les gens qui m’entouraient, Samuel possédait un pouvoir de guérison, une lumière bleue opposable à la mienne, de couleur rouge. C’était pour cette raison que je souhaitais le rencontrer, non pas pour le tuer, mais pour comprendre. Pour qu’un contraire de mon pouvoir puisse exister dans le monde, il y avait bien quelque chose qui devait nous lier, et il fallait que je découvre de quoi il s’agissait.
- Langster…Langster…mais il doit être dans l’annuaire téléphonique quand même ! Où es-tu bon sang ?
Tourner les pages devenait lassant à la longue, j’en avais assez.
J’étais tombé sur la bonne ville, la bonne page, mais il n’y était pas. Samuel Langster n’était pas inscrit dans ce fichu bouquin.
- Mais bon sang ! J‘ai juste besoin de te retrouver et toi tu te caches ! J‘en ai assez !
Je jetais le pavé littéraire sur le sol, sans hésitation, provoquant la colère du réceptionniste.
Réceptionniste : Monsieur ? Mais vous avez perdu la tête ?!? Ramassez ce livre tout de suite et calmez-vous. Si vous ne parvenez pas à vous calmer, je serais obligé de vous demander de quitter cet endroit.
- D’accord, d’accord, je vous le ramasse votre truc…disais-je un peu en colère.
Je déposais ce machin sur la table de la réceptionniste.
- Voilà, satisfaite ?
J’étais en colère, au fond de moi, car je ne retrouvais toujours pas Samuel Langster. Je ne savais pas où il était.
Dernière édition par Gallifrey's Madness le Dim 30 Oct - 19:19, édité 1 fois
Iracebeth
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Ah oui ? C'est qui qui présentait l'an dernier déjà ?
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Sujet: Re: Copier / Coller Dim 30 Oct - 20:33
Entendre ce type de conversation ne me plaisait pas réellement. J’avais conscience, au fond de moi, que tout ceci allait arriver un jour, mais je ne pensais réellement pas que tout ceci pourrait avoir lieu aussi vite.
Même si la relation qui existait entre Logan et moi, demeurait largement consentie, le biais de la loi ne pensait pas la même chose. J’étais encore mineure, et Logan s’exposait à des peines lourdes en restant avec moi. Mais bon, les juges ne pourraient jamais avoir conscience du fait qu’une fille comme moi pourrait aimer un homme bien plus vieux qu’elle.
Pour moi, l’âge n’avait aucune importance, car je me fiais à la personnalité de chacun, et non à l’intensité de leur vieillesse. J’aimais Logan parce que sa personnalité m’avait percuté. Le fait qu’il soit âgé d’une trentaine d’années n’était en aucun cas important pour moi, tant qu’il était là. Je me fiais à qui il était, et je n’avais fait que réaliser un principe essentiel de l’amour avec un grand A. Souvent, on disait que la plupart des gens tombait amoureux d’un genre humain se rapprochant de leur paternel, et c’était le cas de le dire, vu que j’étais tombée amoureuse d’un loup-garou, comme ce que mon père était, depuis le départ. J’étais amoureuse d’un sosie intérieur de mon père, et ce n’était pas rien.
- Merci Michael de comprendre ce que je pense et de bien prendre conscience que je n’ai pas envie que Logan ait de quelconques ennuis, et que je n’ai pas envie de le quitter. D’une part ou d’une autre, je sais qu’il pourrait en souffrir, et que moi aussi. Je n’ai pas envie de voir ce genre d’issue se produire. Je te remercie de le couvrir, sincèrement.
Après son signe, qui me prouvait que je pouvais m’en aller, je me dirigeais vers la chambre de Logan, où je cherchais la petite place de la boite de Scrabble mais, cruche comme j’étais, je me cognais sans arrêt.
- Aiiiieuuuuuuh….espèce de planche de…mais tu vas me laisser tranquille oui !
Espèce de planche ! Elle m’avait endolorie. J’étais cruche d’accord, mais elle n’avait pas le droit de me faire mal…
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Sujet: Re: Copier / Coller Dim 30 Oct - 21:14
La conversation, qui se déroulait entre nous, prenait une apparence étrange. Je m’attendais à ceci depuis le départ, depuis le jour où la relation entre Rachel et moi avait débuté, à cause d’une seule et unique question, qui siégeait dans ma tête. Je savais que Michael allait forcément découvrir ce qui se passait, si jamais je ne lui disais pas avant, et je m’étais toujours demandé comment il réagirait face à cela. Bien entendu, le point de vue personnel et professionnel avait divisé ses paroles, et avait rendu son discours bien étrange à entendre. Pendant que Michael parlait à Rachel, je me taisais. Je n’avais pas envie d’ajouter mon grain de sel à quelque chose qui ne pourrait que s’aggraver.
Avec encore cette boite de scrabble en main, Rachel s’en allait finalement après le signal de Michael, l’autorisant, en quelque sorte, à la ranger dans ma chambre. Je l’entendais par la suite se cogner, comme d’habitude. Je ne la critiquais pas sur ce point, car j’étais pareil. Je me cognais sans arrêt, et c’était pour cela que j’avais des tonnes de produits pour soulager les chocs, et aussi des pansements pour couvrir les éventuels saignements.
- Si tu cherches les produits pour les coups et blessures, ils sont toujours dans la boite blanche de la salle de bain.disais-je assez fort pour qu’elle puisse entendre mes paroles
Michael se retournait vers moi pour me parler. Il avait l’impression d’avoir tout gâché et d’avoir effrayé Rachel au passage. Il me conseillait d’aller la rejoindre pendant qu’il attendrait ici.
Selon ce que j’entendais, je pouvais comprendre qu’il se sentait responsable de ce qui s’était passé.
- Non, ne te sens pas responsable de ce qui s’est passé Michael. Au fond je savais que cela arriverait. Si je ne t’ai rien dit, c’est parce que j’avais peur de ce type de conversation, mais j’étais conscient qu’il était impossible de l’éviter. La preuve, voilà où nous en sommes à présent.
C’était bien ce que je pensais…
- Tu n’as pas tout gâché Michael. Je devais juste m’y attendre voilà tout. Mais si tu as des problèmes parle-moi, dis-moi ce qui ne va pas. Tu sais que je peux t’écouter. Je n‘aime pas te voir ainsi Michael, et tu sais que je peux être là pour toi.
J’entendais encore Rachel se cogner…
- Là il ne vaut mieux pas que j’aille la rejoindre, sinon elle va pester contre moi. Je la connais. Elle n’aime pas que je puisse vouloir essayer de l’aider quand elle se sent capable de s’en sortir seule.
Je reparlais à Michael.
- Parle-moi. S’il te plait, dis-moi ce qui ne va pas. J’ai envie de t’aider.
Iracebeth
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Ah oui, Anne Hathaway ! x) Ah ouais ? J'avais pas entendu ^^
Gallifrey's Madness
♫ JE SUIS : ♫ J'AI : 31 ♫ ACTEUR DEPUIS : 18/08/2011 ♫ NOMBRE D'ÉPISODES : 1321 ♫ JE SUIS NÉ LE : 03/01/1993
Sujet: Re: Copier / Coller Lun 31 Oct - 3:36
Apprendre à ma meilleure amie, la nature du malheur qui avait pu me frapper, n’était pas une tâche bien facile, surtout pour quelqu’un qui avait à chaque fois peur de faire souffrir ses proches, en leur apprenant une terrible nouvelle. Elle était au courant de tout, enfin de presque tout pour être honnête. Si j’allais dans une profondeur de détail encore pire, je savais que je n’aurais même pas supporté mes propres paroles. Mes larmes seraient probablement déjà tombées, et je n’aurais rien pu faire pour empêcher cela. J’aurais été soumis face à la puissance de ma tristesse, et ma mine aurait été affreuse. Malheureusement, je m’en voulais. La hauteur de ce que je venais de dire n’était pas anodine, car c’était le récit de mon horreur, quelque chose que j’avais subi, et qui m’avait procuré beaucoup de peine et de souffrance. Je n’allais probablement jamais oublié cela, oh non.
Soudainement, un sursaut de douleur réapparaissait, et mes yeux se crispaient. J‘aurais très bien pu crier, mais j‘avais réussi à me maintenir, sans savoir par quel miracle, mais j‘y étais parvenu.
Maintenant, je devais répondre aux inquiétudes de Taylor…bien que j‘avais encore mal, et que ma culpabilité gagnait du terrain.
- Taylor, je suis désolé. Le fait de raconter ce genre de calvaire, alors que je tente de l’oublier n’est pas réellement simple, et maintenant je t’ai fait souffrir, excuse-moi.
Les yeux sur le sol, je continuais tout de même à parler.
- Je n’ai pas envie de te mêler à mes ennuis. Déjà que ces scientifiques s’intéressent à moi à cause de ma tête, je n’ai pas envie qu’ils viennent à s’intéresser à toi, uniquement parce que tu souhaites me protéger. J’ai déjà vu des gens mourir parce qu’ils souhaitaient m’aider à éviter ces scientifiques, et je n’ai plus envie de revoir ces scènes d’horreur, surtout pour toi alors que tu es ma meilleure amie. Je n’ai pas envie de te perdre toi aussi. J’en ai déjà trop perdu.
Le ton de ma voix paraissait triste, parce que les pertes auxquelles je songeais n’étaient guères joyeuses. Je repensais à mon fils, mais aussi à Genevieve. Ils étaient morts par ma faute et devant moi. Cette histoire avait marqué ma vie, et c’était beaucoup trop dur de ne pas y songer.
- Nathan était présent, mais il n’a rien à voir avec eux, en tout cas je ne le pense pas. Ces personnes-là sont dignes d’une cruauté sans faille, mais cela n’a rien à voir avec la sienne. Il ne peut pas être avec eux.
*encore un sursaut de douleur…j’ai peur…*
- Honnêtement, dans ma tête, je garde toujours espoir de pouvoir revoir le Nathan d’avant, celui qui n’était pas président, mais y croire devient compliqué, de jour en jour. Je peux comprendre que tu ais des doutes, et que tu tiennes encore à lui, car je suis dans la même situation que toi. Malgré tout, je continue à penser que les choses peuvent encore changer. Il doit encore y avoir une chance.
Taylor montrait qu’elle tenait encore à Nathan, et je la comprenais, car je me trouvais dans la même situation. Au fond, je gardais encore espoir. Il pouvait peut-être encore changer, redevenir meilleur. La manière me demeurait encore inconnue, mais j’y croyais encore. L’espoir faisait vivre, comme on disait si bien !
- Personne ne m’a attaqué…personne. Je sais que tout ceci est arrivé parce que je me suis surmené, quand je me suis cru capable de tenir le coup. Tu n’y es pour rien… et personne n’y est pour quoi que ce soit.
Iracebeth
♫ JE SUIS : ♫ J'AI : 34 ♫ ACTEUR DEPUIS : 17/08/2011 ♫ NOMBRE D'ÉPISODES : 6829 ♫ JE SUIS NÉ LE : 15/10/1990
Heuu wow… j’peu repasser si tu veux, mais t’emportes pas comme ça sur moi ! S’étonna sans réel mouvement le grand Jared qui venait justement chercher l’âme errante de la jeune femme qui se trouvait à sa droite, ainsi qu’à sa gauche, seulement la seconde paraissaient légèrement moins blessée et mourante que la première. Ça t’étonnes, hein ? Questionna finalement l’homme tout en se relevant pour approcher la brunette qui venait de se laisser choir sur le sol de bois; attrister et totalement anéantie; simplement Jared n’était pas du tout la bonne personne pour tenter de la réconforter, il se contenterait de faire dans la mesure du possible; de se débrouiller avec ses uniques talents de faucheur.
Il se rappela brutalement la mort de son père, sentiment de malaise qui prit le dessus, le plongeant dans ses pensées les plus noires; il lui fallait se ressaisir, Red était un homme fort, plein de courage et de caractère et pourtant… même Aaron, une femme dans le corps d’un mec, savait se contrôler vis-à-vis à peine qu’il pouvait porter en lui…c’était incroyable comment Lee lui-même ne se connaissait pas encore.
Puis un bruit vint le tirer de ses horribles pensées; il chassa rapidement l’idée de son père souffrant dans le lit de l’hôpital général qu’ils avaient dû fréquenter durant plus qu’une année, faux sourire planqué sur le visage…dire que c’était ensuite qu’il avait cessé d’illuminer son doux visage n’était pas étonnant pour deux sous. Maladroit que je suis, j’ai oublié les présentations ; Red, faucheur et fier de l’être. Se décrit-il tout en plongeant sa main moite dans les poches de son jeans claire à la recherche de son fameux paquet de cigarette teinté de rouge foncé. Et à qui ai-je l’honneur? Questionna finalement le brunet après avoir marqué une pause, laissant du coup le temps à la jeune femme de digérer la nouvelle et ainsi trouver son briquet qui accompagnait son pack de nicotine. En tout cas ton p’tit ami n’avait pas l’air content du tout, je n’imagine pas s’que tu lui as fait endurer pour te mériter une balle entre les deux yeux, ouf! Tenta d’approcher Jared alors qu’il faisait du mieux qu’il pouvait pour remonter le moral à la brunette toujours accroupie sur le sol, simplement son approche allait-elle être la bonne? Red en doutait affreusement.