Olivia Wilde 95
Amanda Seyfried 7

Olivia Wilde 96
Amanda Seyfried 6

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Amanda Seyfried 5

Bonjour,
merci d'avoir actualisé ta pub !
Bonne continuation et à bientôt ! ^^

Skins 101
Charmed 01

L'histoire d'un personnage.

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Ce 17 Décembre, à l’extérieur du domicile de la famille Thompson, la température n’était guère digne d’un été. Le froid était terrible, hivernal, et la neige tombait, ce qui était historique pour la ville . Pourtant, un bébé devait naître ce jour-là : un certain Richard. Vers 10 heures du matin, les premières contractions arrivaient à l’intérieur du ventre de Jenna, la mère de Richard, mais le constat fut alarmant, car la voiture ne pouvait guère bouger. Un accouchement à domicile était alors obligatoire, bien que difficile. L’enfant put quand même naître, mais la mère fut terriblement affaiblie par l’accouchement.

Par la suite, la vie devint plus joyeuse, et ceci suivait l’emménagement des Thompson dans la ville de Los Angeles.

La vie de famille des Thompson fut normale, avec des parents heureux en présence de leur fils, et obligés de travailler pour subvenir à leurs besoins. Le père, James, travaillait dans un cabinet comptable, en tant que secrétaire. Seul lui travaillait, car Jenna ne le pouvait plus. Suite à des problèmes de santé, qui avaient suivi son accouchement, celle-ci devait le plus souvent rester au lit, ou au minimum tranquille pour éviter tout stress. Ceci n’était pas simple, mais sa famille s’occupait bien d’elle, surtout son fils, qui était la plupart du temps seul avec elle.

Cette situation n’était pas simple à gérer, surtout pour l’enfant. Au départ, Jenna pouvait avoir un accompagnement venant de lui, mais ceci ne dura que jusqu’au moment où Richard devait commencer à fréquenter l’école. À ce moment-là, la famille Thompson devait engager une aide à domicile, dans le but de remplacer la présence du jeune Richard, mais les moyens financiers commençaient à s’épuiser, suite au licenciement de James, qui avait perdu son emploi suite à une délocalisation de l’entreprise. James pouvait rester auprès de sa femme afin de l’aider à aller mieux, mais plus aucun revenu n’entrait dans le cocon familial à présent.

La succession des événements devint mauvaise dès ce moment-là. La famille Thompson essuyait ennui sur ennui, et tout débutait par une mort, celle de Jenna. Son état avait commencé à empirer lors du 16ème anniversaire de Richard, pour devenir préoccupant. Elle fut admise à l’hôpital dans l’heure, où les médecins diagnostiquaient quelque chose de terrible. Jenna était atteinte d’une insuffisance rénale aigüe, et il fallait la mettre sous dialyse pour tenter de la sauver. Malheureusement, elle ne tint qu’une semaine dans cet état. Richard avait assisté à cela, et aux derniers mots de sa mère, qui lui demandait de prendre soin de son père, car elle était consciente de la future force du chagrin, qu’il allait avoir.

Et elle n’avait pas tort. Sans le vouloir, sa mère venait de prédire, sur son lit de mort, l’effondrement émotionnel futur que son père allait subir. James, perdu et triste sans la présence de sa femme, avait changé. Il n’était plus l’honnête homme qu’il était auparavant, mais plutôt quelqu’un de méchant, une maltraitance étrange. James devenait violent, également envers son fils, uniquement pour dissimuler sa peine, mais cela ne faisait qu’aider la colère de ce dernier à grossir, jusqu’à un point de non-retour. Une seule baffe supplémentaire venant de son père suffisait à lui faire prendre la fuite, et à quitter le domicile familial. La première ville qui lui vint à l’esprit fut celle de San Francisco, sans comprendre pour quelle raison…mais il y allait.

La vie qu’il mena là-bas pouvait se résumer en un seul mot : liberté. Il ne travaillait pas, et ne pensait qu’à s’amuser, au point de vivre chaque moment comme si c’était le dernier. Il prenait du plaisir à être en vie, et pensait à ses loisirs plutôt qu’à se prendre la tête. Le travail, il détestait cela comme personne, car cela le conduisait à une réflexion beaucoup trop longue et lui, il n’aimait pas prendre des aspirines, ni d’autres médicaments. Mais il aimait boire, oh oui ! Prendre des cuites, être bourré, et voir la terre comme une ligne instable était quelque chose qui lui plaisait vraiment. Il finissait dans cet état chaque soir à vrai dire…mais vraiment chaque soir. Ce n’était guère quelque chose de bon, ni de légal, mais Richard adorait cela. Au moins, à cause d’un coma éthylique, et d’une semaine de sommeil forcé, Richard passa à côté de la catastrophe médicale du virus, et il n’avait pas le temps d’être triste.

Quelques temps avant aujourd’hui, Richard découvrit la présence d’un pouvoir en lui, alors qu’il sortait avec la seule relation stable qu’il avait pu avoir dans sa vie : Julian Hardwick.

Pendant des ébats que l’on classerait dans des films X, Richard fit une erreur. Le corps de Julian commençait à s’illuminer d’une lumière rouge, et à s’affaiblir. Richard commençait alors à avoir peur…et cette peur était plus que justifiée, car quatre heures suffirent au pouvoir pour mettre fin aux jours de Julian. Richard s’en sentit terriblement responsable, au point de plonger dans quelque chose de plus grave encore. Il partit dans une dérive incontrôlable, en buvant encore plus qu’avant, et en se mettant à détruire, oui détruire beaucoup de choses. Dans sa période de colère, il tua beaucoup de personnes, et ceci confirmait la présence d’un pouvoir en lui, une sorte de poison. Sa période de débauche ne lui provoquait que le rire, un plaisir immense. Il se fichait du reste…

Une ou deux semaines après la première manifestation de son pouvoir, Richard découvrit la présence d’un pouvoir qualifié comme étant opposable au sien. Il serait possédé par un certain Samuel Langster, qui vivrait dans la même ville que lui. Voir qu’il existait un contraire, manifesté à peu près au même moment que son propre pouvoir, lui redonnait espoir. Peut-être allait-il découvrir des explications au sujet de son pouvoir si jamais il le rencontrait.

Il n’en savait rien mais il allait quand même tenter sa chance

Olivia Wilde 99
Amanda Seyfried 3

pas vu ???

Evana : 1 bonbon
Logan : 2 bonbons
Alastiel : 3 bonbons
Isatys : 2 bonbons

**Le soupire que lança Jayden Michael Wellington avait sans doute été entendu dans la ruelle voisine, par nul autre que sa voisine Cassie Williams. Il était enfin soulager de pouvoir régler cette histoire une bonne fois pour toute. Il était complètement énervé par la présence d’un autre policier à son domicile pour recevoir encore une fois les mêmes questions qu’il avait déjà répondu à mainte reprises depuis l’incendie du Devil’s Tail. Au moins, selon la fin du rapport, aucuns des invités à la fête pour le spectacle du groupe The flamme n’avait rapport avec la cause de cette incendie, ce qui le soulagea grandement. Jay se leva aussitôt avec un grand sourire. Il était heureux de pouvoir finalement escorter l’homme jusqu’à la porte. Le brunet n’avait pas douté une seconde du statut de Holly ou même de Amy dans cette histoire et encore là, Cassie Williams pourrait être une potentielle criminelle, mais elle était trop bête et stupide pour provoquer le feu dans son lieu de travail. Le brunet l’avait mise en garde pour la drogue, mais ça n’approuvait pas une certaine rancune qui aurait pu la pousser à commettre un tel acte.**

Parfait Monsieur l’agent !

**Jayden hocha la tête, mais évidemment, ce petit signe était plutôt humoristique que poli. Le brunet n’avait jamais été proche et ami avec l’autorité. Il les avait longtemps fuit, ce qui était normal après tout. Il souhaitait seulement que ce flic n’aille pas trop fouiner dans son passé de vivant, ce qui n’était pas correct vu que tous les morts avaient le droit à une nouvelle chance. Les meurtriers du monde des vivants, bien qu’ils aillent tué ou violer plus d’une centaine de personnes ne pouvaient pas être recondamné jusqu’à ce qu’ils aillent de nouvelles victimes à leurs charges. C’était stupide pensait l’homme, mais que pouvait-il faire. Le brunet afficha un sourire et dit sur un ton direct.**

En tous cas, j’espère sincèrement que cette histoire se termine une bonne fois pour tout et qu’aucun de vos collègues ne repassent chez moi pour me questionner à moi qu’ils découvrent un élément suspect dans cette histoire. Je reconstruis et je ne veux pas que ça ruine ma réputation ! Déjà que le feu, ça pas trop aidé.. Donc bonne soirée mec et pas grave pour le dérangement, je ne pouvais pas faire grand chose de plus de toute manière !

**Le brunet ne laissa même pas le temps à l’homme de répondre à sa phrase qu’il ferma la porte au nez, sauta sur le sofa et écouta les informations sur le match de la veille, il songeait à appeler Holly pour lui dire qu’il venait encore d’être interroger par un flic.**

Olivia Wilde 100
Amanda Seyfried 2

Argh oui pas vu !!
Désolée !!!!!!!!!!!!
C'est pour un nouveau RP ?
Ca me plaît bien !!

Olivia Wilde 101
Amanda Seyfried 1

Olivia Wilde 101
Amanda Seyfried 1

c'est pour un nouveau perso ^^ une idée qui m'a traversé l'esprit x)

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Evana : 1 bonbon
Logan : 2 bonbons
Alastiel : 3 bonbons
Isatys : 3 bonbons

Oki ^^

- Mange Prie Aime
- Killing Bono
- Beastly
- L'Homme qui voulait vivre sa vie
- Au delà
- Highlander
- The Dark Knight
- Cher John

Ma famille…il s’agissait d’un discours que je ne débutais jamais, de peur de m’enfermer dans des sentiments négatifs. Comment parler d’elle sans penser à un malheur ? Malheureusement, c’était impossible. Quand Michael m’avait annoncé que j’étais son frère, mais également la seule famille qui lui restait, cette annonce avait eu un double effet sur moi. D’une part, j’avais pu trouver un frère avec qui je pouvais bien m’entendre et sur qui je pouvais compter, mais au fond autre chose découlait de cette révélation : il s’agissait de la preuve que ma vie n’était autre qu’un immense champ de mensonge. Ma famille n’était pas ma famille, mais il s’agissait de Michael. Ce n’était pas très simple à accepter. J’avais réussi à accepter Michael, mais accepter l’intégralité des mensonges n’était guère simple, loin de là…

Cette famille était peut-être la mienne, mais je n’arrivais pas encore à l’ancrer dans ma tête.

- Quand Michael m’a retrouvé pour m’annoncer que j’étais son frère, il m’a bien précisé que j’étais la seule famille qui lui restait. C’est pour cela que je ne peux pas voir mes parents, enfin mes véritables parents pour être exact. J‘aurais bien aimé pouvoir les rencontrer, juste une fois, afin de savoir quel genre de personne ils pouvaient être. Mais bon…le vent n‘a pas tourné en ma faveur cette fois-ci.

Je marquais une pause dans ce que je disais, avant de continuer, et de réagir à ce qu’Ariel avait pu me dire au sujet des familles qui pouvaient exister dans ce monde.

- Tu as raison au sujet des gens qui nous entourent. Dans un sens, j‘ai beaucoup de chance de ne pas être seul, et d‘avoir des gens à aimer. Chaque personne me grandit, même si j‘ai refusé de l‘admettre, et j‘ai eu tort de faire ça, je l’ai bien compris. Si je peux sourire, et être celui que je suis, c’est grâce à eux.

Grâce à Ariel, certains principes de la vie étaient devenus plus clairs à mes yeux. La présence des amis et des proches devait me grandir. Je ne devais jamais les oublier.

- Oui, je devrais peut-être penser à grignoter un petit quelque chose, car je reste quand même humain. disais-je avec le sourire Je n‘ai rien de prévu pour la matinée. J‘ai échangé mes heures de cours avec un collègue pour la journée, car ce dernier doit s‘absenter le lendemain

Je me dirigeais vers l’espace cuisine de mon petit chez-moi, quand Ariel me demandait s’il était possible de gouter de la nourriture humaine.

- Si tu le souhaites, tu peux gouter à mes pancakes, juste le temps d‘en faire chauffer quelques uns, qu‘en dis-tu ?

pollution encore là

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Sur le papier, petit à petit, prenait forme une sorte de dessin, que je ne contrôlais pas réellement. Cela ressemblait à un paysage que j’avais inventé de toute pièce, quand l’un de mes amis avait besoin d’une tranquillité d’esprit. On pouvait facilement assimiler ce genre de décor à l’enfance, car il renvoyait à la période des fées, du merveilleux, et des contes que l’on pouvait raconter à chaque enfant, avant qu’il puisse trouver le sommeil. Voir ce genre de paysage suffisait parfois à une âme humaine, afin de retrouver un semblant de sérénité dans son âme, même la mienne avait parfois besoin de retomber dans ce genre de sentiment, pour retrouver une combativité à l’avenir. Vu qui j’étais, je ne devais pas baisser les bras, ni abandonner les innocents. Ils avaient besoin d’aide, et je ne devais pas les laisser tomber. Je ne devais pas écarter des âmes innocentes alors que je pourrais les sauver, et les exclure d’un danger que le gouvernement leur procurait par plaisir. C’était injuste, et c’était pour cela que je souhaitais les aider, tout en gardant une sorte d’anonymat pour me protéger également. Le caractère freelance apparaissait dans cette petite pincée de secret. J’étais indépendant, secret, mais je les aidais. Je restais juste près de la terrasse, en train de boire un cappuccino, preuve que mes origines italiennes étaient toujours présentes, d‘une manière ou d‘une autre. Une fois le cappuccino vidé, j’en redemandé un autre avant de prendre quelques notes sur un calepin professionnel, où j’y inscris la date d’un rendez-vous, et le sujet, histoire de ne pas oublier :

 « Jeudi : 14H30 à San Franciso
M. Wilson -> Edition du roman « Bloody Angels »

Je le rangeais juste après avoir terminé de noter ce que je voulais. Le dessin restait toujours là, non loin de moi.

Et là, il apparaissait. Je voyais le président non loin de moi, et c’était très étrange.

Je n’arrivais pas vraiment à réagir lorsqu‘il me parlait la première. Je ne le fis qu‘au second coup, lorsque ce président s‘asseyait à ma table

- Il est vrai que c’est étrange de vous voir ici monsieur le président, et puis surtout que vous m’abordiez. Je ne suis pas réellement quelqu’un d’important, juste un écrivain freelance, dans les romans ou bien dans le journalisme, alors on peut dire que je suis très…libre…oui libre c’est le mot. Je ne suis ici que pour boire un cappuccino, et dessiner, juste pour être tranquille.

*en plus c’est réellement ce que je faisais*

- Vous n’avez pas besoin de vous excuser au sujet de la manière dont vous m’avez abordé. Tout le monde peut paraître un peu brutal ici alors vous n’êtes pas le seul. Moi je m‘appelle Vincent…Vincent Castelli.

C’était étrange de le voir ici, et un peu terrible également pour mon âme, car il me rappelait un peu ce crime que je ne pouvais pas oublier. Grâce à Dieu quand même, je parvenais à garder mon calme, et à rester à peu près normal face au président.

encore de la pollution

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Fondre en larmes n’était pas quelque chose qui m’arrivait souvent, mais quand cela m’arrivait, ce n’était jamais anodin, loin de là.

Devant Rachel, je pensais être capable de me retenir, montrer que j’étais suffisamment fort pour supporter toutes les épreuves, qui me frappaient. Malheureusement, j’avais tort, car je craquais encore plus qu’avant. Désormais, j’avais une raison de vivre, sincère, et je n’avais pas envie de la laisser tomber au profit d’une fuite constante, qui ne faisait que m’épuiser, de plus en plus. J’en avais assez. Ma seule envie était que tout puisse enfin changer, et que le bonheur puisse me frapper, sincèrement, sans obstacle. J’avais besoin de vivre l’amour que je ressentais pour Rachel ! Je voulais être heureux avec elle, mais aussi la rendre heureuse. N’était-ce pas le schéma normale d’une relation amoureuse, quelque chose à laquelle j’avais droit moi aussi ? Je l’espérais… je gardais toujours espoir, parce que je voulais être avec elle, en couple normal ! C’était tout ce que je voulais, depuis le départ, alors pourtant tant d’obstacles, d’épreuves, et de douleurs…je ne comprenais plus rien.

- Je crois que je n’aurais pas du me retenir aussi longtemps. Je me croyais fort, mais j’ai eu tort. Je ne voulais pas craquer, je n’avais pas envie que tu puisses me voir en larmes, mais je n’ai pas réussi. J‘ai juste envie que cela change, et cela changera.

Rachel pleurait toujours, et c’était ma faute.

Je n’aimais pas la voir ainsi, comme elle n’aimait pas non plus me voir en train de pleurer. Je ne voulais pas briser une relation qui venait de débuter, et qui était capable d’arracher un sourire venant de ma bouche. J’étais heureux avec elle, comme si elle était mon âme sœur, et je ne voulais pas la perdre.

Le changement devait se profiler de mon côté, car Rachel n’avait rien à se reprocher.

- Et moi non plus je ne veux pas m’en aller, justement pour ses raisons. Je suis extrêmement heureux avec toi, comme je n’ai jamais pu l’être avec qui que ce soit d’autre, et c’est pour cela que je ne veux absolument voir tout ceci s’arrêter. Je ferai tout pour que ceci puisse cesser, car j’en ai réellement assez. Après ce moment que l’on a pu vivre ensemble, il est hors de question que cette fuite se poursuive. Je ne l’accepterai pas, tout bêtement parce que je ne veux pas m’éloigner de toi, ni te perdre.

Tu as fait du court aujourd'hui ! Mais du bon court ^^

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enfin hier et tôt ce matin plutôt ^^

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Evana : 1 bonbon
Logan : 6 bonbons
Alastiel : 4 bonbons
Isatys : 6 bonbons

Je lis tout à la suite alors je fais pas forcément attention aux dates ^^

#-Mathilde a écrit:
Soirée TVD ce soir ! *-*. Je suis amoureuse de Jeremy !

je comprend


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Evana : 1 bonbon
Logan : 6 bonbons
Alastiel : 4 bonbons
Isatys : 6 bonbons

pollution is back ^^

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La rapidité des changements, que je pouvais percevoir dans la personnalité de ce James Flanagan, commençait réellement à m’intriguer. Il passait d’un être monstrueux, capable de m’enfermer dans un laboratoire et ainsi me torturer, à quelqu’un de gentil, capable de vouloir me protéger contre les mauvaises intentions de ces scientifiques. De rien à tout, la différence était flagrante, beaucoup trop flagrante. C’était comme si je n’avais plus affaire à la même personne.

Même s‘il devenait plus gentil, plus abordable, je restais tout de même hostile à sa présence, non pas par peur, mais par méfiance. Ce changement avait l‘air réel, mais je me méfiais toujours de lui, car je ne voulais pas revoir la même personne, que j‘avais pu voir dans ce laboratoire, et qui avait osé me changer en hybride, sans hésitation. Il avait souhaité me tuer à ce moment-là, et que souhaitait-il à présent ? Tout le contraire… Il souhaitait me protéger de cette chasse que je subissais.

- Heureusement que vous comprenez mon hostilité à votre égard, car je n’aurais pas aimé devoir refaire tout mon discours encore une fois.

C’était certain. Je n’aimais jamais me répéter, et jamais je n’aimais me répéter.

- Au sujet de ces scientifiques, je sais ce qu’ils veulent de moi, et ceci ne me rassure pas. Je n’aime pas cette histoire, car je sais qu’ils ne me lâcheront jamais, en tout cas pas tant qu’ils n’auront pas pu tester ma tête. Je ne cesse jamais de courir, de fuir, de me cacher, et je commence réellement à en avoir assez. J’aimerais que cela puisse cesser. Malheureusement, j’ignore qui ils sont. Je sais juste qu’ils tiennent à moi. C’est tout ce que je sais.

Ce que James pensait de mon cerveau ressemblait à un grand discours de scientifique, et je n’arrivais pas à ancrer dans mon esprit que je pourrais être important pour eux, au point de constituer l’objet unique d’une chasse à l’homme. Ils me considéraient comme un cobaye, mais pour quelle raison ? Je l’ignorais encore.

Les empêcher de me capturer ? Les intentions de ce scientifique devenaient nobles à mon égard, et cela commençait réellement à devenir étrange à mes yeux. Il tenait à moi, mais pas dans le même sens qu‘avant. Il paraissait plus…humain, et ceci bouleversait le jugement que j‘avais au départ sur sa personnalité.

J‘étais perdu, étrangement perdu.

- Je pense également que quelque chose doit les intéresser dans ma tête, au point de déclencher toute cette chasse. Ce n’est rien de bénéfique, et cela ne fait que m’épuiser. Je commence sérieusement à avoir peur, et aussi à en avoir assez. J’ai besoin que tout ceci puisse s’arrêter, car maintenant j’ai une bonne raison de vivre. Je ne sais pas si vous pouvez m’aider, et à vrai dire cela m’étonnerait.

Un immense ras-le-bol apparaissait dans mes yeux, et personne ne pouvait l’ignorer à la longue.

- Je sais qu’il faut se défendre, mais je commence sérieusement à être fatigué à force de combattre ces scientifiques seul. À force de m’épuiser, ils m’auront, et c’est bien ce qui me fait peur. Avec l’aide d’un ami, j’ai pu voir ce qu’ils étaient capables de me faire subir, et je n’ai pas envie de vivre cela, ni de m’éloigner de la seule chose qui est importante pour moi. Je ne sais pas quoi faire. Je sais qu’ils ne me lâcheront jamais, mais j’ai besoin que cette chasse puisse s’arrêter. Malheureusement, je ne sais plus quoi faire pour les éloigner. Je ne peux que m’enfuir et j’en ai assez. Je ne sais pas si vous comprenez ce que je ressens.

Je baissais les yeux avant de dire quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas.

- Il faut que je les évite, mais vous ne pourrez jamais m’aider. Vous n’êtes qu’un humain, et vous ne pouvez rien faire contre eux, surtout seul. Déjà, à moi seul, alors que j’ai deux pouvoirs, j’ai beaucoup de mal à y parvenir. Un mortel simple n’y parviendra pas à ma place. Ne vous mêler pas de cette histoire, ce n’est pas la peine.

De pire en pire…

Maintenant je pensais à écarter James de mes ennuis, mais qui étais-je devenu ? Quelqu‘un d‘étrangement compréhensible sans doute.

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https://www.youtube.com/watch?v=AdnYd2f3JSQ

S’il y avait bien une situation à laquelle je ne pouvais pas m’attendre, c’était bien celle-ci. Rencontrer un enfant, et lui expliquer la complexité de ce qui m’arrivait, cette chasse que je subissais, et le fait que j’avais été grièvement blessé, ressemblait un peu à une mission impossible, mais cela aurait été la même chose, pour n’importe qui d’autre. Même face à quelqu’un, dont je pouvais être proche, cela aurait été la même chose, et peut-être même pire, car une peur se serait ajoutée dans le lot : la peur de l’inquiétude de l’autre, et donc au passage une souffrance. C’était bien cela qui me dérangeait : faire souffrir les gens que j’aimais.

- Non, ce n’est pas eux. Il s’agit d’une autre catégorie de personnes. Un groupe de chercheurs…pour tenter de faire simple. Ils veulent voir à quoi ressemble l’intérieur de ma tête, mais pas pour faire le bien malheureusement. Ils m’ont fait du mal, c’est pour cette raison que je les fuis, afin de ne pas terminer encore une fois à l’hôpital.

À la longue, je commençais à détester les hôpitaux, au point de ne plus pouvoir rester là-bas.

Cette fois-ci, je me sentais incapable de rester allongé, que ce soit à l’hôpital, ou bien enfermé dans mon étage du Serenity, car j’étouffais. Je me sentais inutile…je ne faisais rien, et ne pas bouger me rendait malade. Incapable de tenir un jour de plus, je ne pouvais plus rester là-bas, et c’était pour cela que j’étais à l’extérieur, bien que ma tête me faisait encore un peu souffrir. Rester immobile aurait été impossible, surtout plus longtemps…

- Je ne sais pas ce que je vais faire, mais en tout cas je ne retournerai pas encore dans un lit. Je ne le supporterai pas. J’ai besoin de bouger, e changer d’air pendant un petit moment, juste bouger, peut-être pas au point de visiter le monde entier, mais bouger.

La jeune fille hésitait et je le voyais. Cette réaction était apparue au moment où je lui avais demandé pour quelle raison elle gardait ses mains enfermées dans ses poches. Elle les sortit tout de même de ses poches. Elle n’avait rien d’anormal, mais quelque chose devait se passer. Elle me l’apprit quelques instants après. Ses mains étaient chaudes parce que j’utilisais également le feu. C’était une sorte de copie, du moins à ce que je comprenais.

- Tu n’as pas besoin de t’excuser si cela arrive alors que tu ne le souhaites pas. En gros, tu copierais mon pouvoir de feu si je comprend bien. Ce serait plutôt à moi alors de m’excuser. Cela ne doit pas être agréable d’avoir les mains aussi chaudes que cela, surtout si on n’en a pas l’habitude.

La présence de cette enfant était quelque chose d’inattendu pour moi, mais cela me procurait une bouffée d’air frais, un changement bénéfique pour ma personne, surtout après avoir subi autant de douleur. Cela me faisait du bien de voir quelqu’un qui n’avait rien à voir avec la chasse de ces scientifiques, ou bien le gouvernement. Cela me montrait qu’il restait encore des innocents, et que je ne devais pas les oublier.

Une des jambes de l’enfant s’agitait toute seule, comme une sorte de pile électrique. Il s’agissait de l’énergie de la jeunesse, une sorte d’énergie que je n’avais pas souvent pu avoir, à cause de l’intensité dramatique de ce que j’avais vécu par le passé. C’était pour cela que le fait de la voir me faisait plaisir, bien que je ne le montrais pas suffisamment sur mon visage.

Par la suite, j’apprenais enfin le nom de cette enfant. Elle s’appelait Tyler, et elle voulait savoir comment je m’appelais en retour.

- Moi je m’appelle Samuel