- Que veux-tu là maintenant ?
Amaranth (Nightwish)

- Comment te décrirais-tu ?
Never (The Vampire Lestat)

- Qu'aimes-tu chez un mec/une fille ?
Brand New Day (Neil Patrick Harris)

Jorge

- Quel ton plus grand secret ?
Smells Like Teen Spirit (Nirvana)

Sara Canning

Quel est le but de ta vie ?
Elegy (Leaves Eyes)

Tous ces cris, que j’avais pu pousser, enfermé dans cette cellule ridicule, provoquaient un immense écho dans ma tête, car je me rappelais de cette souffrance, que j’avais pu subir en étant seul. J’avais été pétrifié par une douleur horrible, et je ne demandais qu’une seule chose : à l’oublier. Je voulais éclipser ces analyses horribles, toutes ces fois où j’avais été drogué, et où j’avais eu souffert de son absence. J’étais éloignée de Rachel pendant trop longtemps, et mes émotions avaient eu du mal à tenir le coup. C’était comme si une partie de moi-même s’était enfuie pendant ma captivité, car l’amour n’était plus dans ma vie. Je réentendais tout, absolument tout, comme si c’était encore présent autour de moi…alors que j’étais libre. Je n’étais plus du tout enfermé, ni sous leur emprise, mais je m’en rappelais encore.

Mais j’étais là… J’étais si bien avec elle.

Ces terribles souvenirs, ces tortures, avaient besoin de s’enfuir. Pour disparaître de mes souvenirs, de mon âme, ils devaient être contrés par quelque chose de beaucoup plus puissant : cette amour que je ressentais pour Rachel. Elle était importante pour moi, beaucoup plus que cela même, et le fait de la retrouver m’aidait à revivre. J’étais de nouveau pleinement présent, autant dans ma conscience, mon âme et mon cœur. Tout était redevenu comme avant. Mon humanité avait retrouvé le goût à la vie, et n’avait guère envie de le revoir s’en aller.

Pour cela, je devais profiter de chaque instant que j’avais avec elle, la femme que j’aimais, et vivre pleinement ce bonheur si inestimable. Je pouvais être humain, exprimer mes émotions sans le regretter, et ceci me faisait un grand bien. Cela m’aidait à aller mieux, et à croire que j’avais toujours une chance de pouvoir me remettre de ce qui m’était arrivé, pour éventuellement l’oublier si jamais c’était encore possible de le faire.

Mais j’y croyais. Il fallait que je puisse continuer à y croire. Bien que j’avais encore peur, l’espoir demeurait encore présent. Cette peur était dirigée sur deux axes, elle et moi. Je ne voulais pas la voir souffrir…je ne le voulais pas…ni d’être forcé à repartir, en étant retenu contre mon gré

Sentir sa main, enfermée dans la mienne, était un immense réconfort, car je savais qu’elle était non loin de moi, et que tous ces problèmes étaient enfin achevés, pour me laisser penser à autre chose. J’étais libre. Une bonne fois pour toutes, j’étais libre.

- S’il y a bien une notion d’éternité, si elle existe, j’aimerais tant la passer avec toi. Je ne veux pas qu’il y ait une quelconque fin à ce que l’on peut vivre entre nous. C’est un si bon sentiment, que je n’ai pas envie de le voir s’enfuir…jamais...

Mais que m’arrivait-il ?

Encore un trou dans cette phrase…mais il était mince, cela ne devait pas une importance majeure…

J‘observais Rachel, ce sourire qui m‘avait tant manqué. Il ranimait tant de choses en moi…j‘étais si fort de nouveau.

- S’il y a une chose, qui m’a manqué pendant cette semaine, c’est bien ton sourire. lui disais-je en montrant le mien également. Cela m’aide énormément à oublier ce qui as pu se passer.

*la terreur de l’enlèvement, que je ne t’ai même pas raconté, mais pas la peur de revivre le pire…qui ne partira pas.*

- Quand tu es là, je revis. C’est magique.

Voilà pour mon avis ^^

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En plus c'est bien écrit, et t'as un putain de bon vocabulaire dès fois Pff
J'suis trop jalouse :p

Acabo de perder la final, para el año que viene falta mucho

J'adore la neige ! Les bus ne roulent pas, les écoles sont fermées, tout est calme puisqu'aucune voiture ne roulent non plus, et c'est super joli !!!

J'espère qu'on en aura cette année en Bretagne ! ^^

Ü J'aime la neige... jusqu'à noël, après je ne l'aime plus ahah !
lorsqu'il fait -40 pendant 3 mois un moment donner tu as hâte que la neige fonde et que le printemps se montre enfin ^^ mais oui oui je l'aime bien ma belle petite neige bien blanche !

♥ WWW . Looney's Pub

S’il y avait bien une chose, que j’avais pu comprendre sur ce pouvoir de guérison, que je possédais à cause de l’expérience de James Flanagan, c’est qu’il fonctionnait, mais que mon esprit ne le supportait pas forcément. Il souffrait parfois de sa mise en exécution, et pouvait être mis en danger de mort. Cette peur me faisait beaucoup de mal, et ce moment, que j’avais vécu avec Gabrielle, en était un parfait exemple. Ce sang, que j’avais pu perdre, avait été une extrémité horrible, qui m’avait fait sombrer dans le coma, contre ma volonté. Cette souffrance aurait pu me tuer, mais j’y avais survécu, avec des souvenirs terribles enfermés dans mon esprit. Depuis ce jour, je ne voulais plus replonger dans cet état. Plonger dans le noir, et être incapable de dire à qui que ce soit, que je souffrais et que j’avais besoin d’aide. Ce second plan, terrible, était insupportable à subir.

Et, quand je pensais guérir, mon épuisement était là. Ces blessures étaient énormes, trop intenses pour mon cerveau, et le fait de les guérir ne m’aidait pas à sortir indemne de toute cette histoire. Là, en cet instant, mon corps subissait un épuisement général, qui m’empêchait de me lever sous peine d’un étourdissement, un malaise qui pourrait me faire atterrir sur le sol. C’était pour cela que je devais éviter de bouger, pour l’instant.

Mais l’endroit, où nous nous trouvions, n’avait pas l’air de rassurer Gabrielle…cela s’entendait…

- Oh…désolé. J’ai pris l’habitude de me trouver ici, alors la peur m’a quitté. Mais j’étais un peu comme vous quand je suis arrivé. L’ambiance de l’endroit ne m’a jamais plu, mais sa sécurité m’a incité à y rester.

Il était vrai, qu’avec le temps, je m’étais fait à cet endroit.

Il faisait peur à beaucoup de monde, mais pas à moi, et c’était pour cela que je pouvais y rester, sans penser me faire enlever, torturer, ou bien autre chose de bien pire.

C’était une chose que d’autres personnes ne pouvaient pas comprendre à part moi-même.

- Si cet endroit ne vous rassure pas tant que cela, on va partir d’ici… disais-je alors que je n’avais même pas la garantie de parvenir à bouger et à sortir d’ici

Je n’avais pas envie de la forcer à rester dans un endroit qui ne lui plaisait pas. Ce n’était pas dans mes principes… et cela ne pourrait jamais en être un.

http://wantmore.forumactif.com/t273-premiere-rencontre-elijah

Euphémia

Une alliance. Elena avait compris bien plus vite qu'il ne l'aurait pensé. Il n'avait osé formuler immédiatement la demande même si elle pesait dans chacun de ses mots. Elle acceptait donc, au prix de sa vie. C'était évident ! Mais qu'était donc sa vie quand on sait qu'elle ne peut être réduite. La lui promettre paraîtrait quelque peu inadaptée mais il est vrai qu'il n'a guère d'autre monnaie d'échange. L'accord était donc lancé. Les négociateurs faisaient leur retour mais il allait falloir jouer de prudence, bien plus qu'Elena, c'était son entourage actuelle qui l'inquiétait. Stefan était hors d'atteinte pour l'heure puisqu'aux ordres de Klaus mais qu'en était-il de Damon ou même d'Alaric ? Eux lui pardonneraient-il sa dernière action à leur encontre ? Non pas que leurs relations eussent été toujours cordiales, le premier l'ayant haï quoi qu'il arrive. Il lui rappelait son frère Erik, insolent. Il avait été un des premiers à mourir de la main de Klaus.

"Je vous donne ma parole et si elle possède vraiment une valeur, ma vie. La trahison n'était quelque chose que je pratique aisément, les circonstances sont parfois celles qui ont le plus raisons. Mais elles ne devraient pas venir mettre en cause mes principes ici"

Il espérait toutefois que sa parole entraînerait la sienne. L'accord ne devait pas aller à sens unique, après tout, elle aussi avait prouvé qu'elle pouvait le trahir, bien avant lui. Les choses avaient peut être changé mais la situation conservée quelque chose d'antan et ça n'était pas nécessairement rassurant au vu de ce que se tramait une fois encore

"Mais ma parole n'a de valeur que si vous me donnez la vôtre"

Elle avait raison sur un point. L'université n'était pas le meilleur endroit pour en venir à une telle discussion. Il était bien connu que toutes les oreilles étaient suspectes et indiscrètes. Il doutait qu'un membre de l'entourage de Klaus puisse se trouver dans les parages mais la prudence était de mise, comme toujours.
Il observa Elena se lever et en fit de même. Il ignorait où elle souhaitait aller mais il n'avait guère d'endroit à lui proposer en ce qui le concernait. Il faudrait peut être qu'il y pense par ailleurs.
Le manoir ? Il ignorait si c'était ici une expression ou la véritable nature de sa nouvelle maison mais l'idée lui déplût presque instantanément. Elena n'avait jamais eu des goûts luxueux ni même les moyens de se le permettre. Cela ne pouvait signifier qu'une chose, elle ne vivait pas seule et qui d'autre que Damon pour posséder un manoir à Montréal. Alaric non plus n'avait pas les moyens, ça n'était pas le cas de l'aîné des Salvatore. L'idée n'était pas particulièrement plaisante. Il l'avait déjà pensé et cela se confirma. Damon ne lui faisait pas confiance et les choses n'avaient pas du s'arranger. Autant se jeter dans la gueule du loup en considérant bien sur que Damon représente en lui-même un quelconque danger mais il pouvait se révéler surprenant par ses armes et il n'avait guère envie d'en faire les frais à nouveau à cause d'une erreur de jugement.

"Le manoir ? Je suppose que vous n'y vivez pas seule ?"

Dark Angel 52
Criminal Minds 20
Supernatural 27

Rexia, la majestueuse et impressionnante Rexia…comme ce que Samuel avait pu me dire.

Comment ne pas la considérer ainsi en même temps ? Elle était si…indescriptible, mais également si incroyable à rencontrer, qu‘elle nous surpassait. Samuel avait raison sur toute la ligne : les humains fuyaient la différence, quelque chose qui pourrait pourtant les améliorer, les rendre bien meilleurs que ce qu‘ils étaient au départ. Ils avaient tort car, en observant plus en profondeur les personnes, ou même ce qui surpassait les personnes, on pouvait se rendre compte de l’intensité de la beauté intérieure qu’elle renfermait, mais aussi de son intelligence. Elle était bien meilleure que nous. Il suffisait d’avoir suffisamment de force et de conscience humaine pour se rendre compte de ce qui se passait. Samuel s’en était rendu compte en apprenant à connaître Rexia, et je m’en étais rendu compte à présent. Quelque chose dans ses yeux, prouvait qu’elle était importante. J’ignorais encore comment l’expliquer, mais je savais que cela existait.

Je le saurais probablement plus tard.

Nous continuions alors à parler, ensemble.

- Honnêtement, je pense qu’il s’agit surtout d’une ouverture d’esprit. Pour rester avec vous, je ne pense pas qu’il faut du courage, il faut surtout être suffisamment capable de comprendre que des belles choses peuvent être présentes, dans des endroits que nous ne connaissions pas forcément. Voir les bonnes choses dans l’inconnu n’est pas une chose très simple, mais il faut le faire, de peur de rater des merveilles, un peu comme ce que je vois devant moi. C‘est comme ça que je vous perçois, comme quelque chose de bon qu’il ne faut pas rater dans une vie. Je n’aurais pas peur, et surtout que je ne vois pas pourquoi je le devrais. J’espère que d’autres personnes que Samuel ou bien moi-même pourront voir cette chose qu’ils ratent sans cesse. Mais il est vrai que ce corps est quand même majestueux de vue extérieur. disais-je en souriant

Un peu plus tard, j’ajoutais les paroles suivantes :

Mais ce serait mieux s’ils parvenaient à tout observer en un seul coup. Ils pourraient connaître qui tu es, et non pas ce qu‘ils pensent que tu es.

J‘avais le sourire avec elle.

Cette sensation c‘était…reposant…étrangement reposant, mais cela faisait du bien.

- Malheureusement, comme tu le dis on n’a pas le choix, mais il y a bien une chose que nous contrôlons, c’est le fond de notre personnalité, ce que l’on est dans notre esprit, et en apparence extérieure. Ce genre de situation n’a pas du être simple à vivre, surtout qu’au final il s’agit d’un mal pour un bien…quelque chose d’inégal en soi, je le sais. Mais vous n’êtes pas une destructrice en regard de cela…il y a juste des fois où nous n’avons pas le choix. Depuis que le monde a changé, la vie a pris ce goût sans saveur, et cela me dégoute un peu. C’est pour cela que j’essaye de changer les choses, de mon côté, même si c’est un peu de manière clandestine, un groupe indépendant…en quelque sorte.

J'aime toujours autant !!

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Les derniers jours avaient été plutôt mouvementés pour Elijah. Il avait depuis son arrivée fait de nombreuses rencontres qui avaient toutes étaient enrichissantes à leur manière. Par chance son esprit était bien assez grand pour intégrer toutes les informations que cela impliquait. Il avançait lentement mais surement vers sa quête et c'était la chose la plus plaisante pour l'heure. Il n'avait pas encore atteint le point clé mais les évènements allaient dans son sens. Il était satisfait. En attendant donc, il devait remplir ses fonctions officielles, celles pour lesquelles il avait passé ce fameux entretien. Les apparences devaient toujours être protégées. Elles pouvaient se révéler particulièrement utiles.
Comme ce fut le cas à Mystic Falls avec les habitants humains. Tous avaient cru à son histoire et sa couverture lui avait ouvert des portes. Dans tous les sens du terme. C'était là, un des derniers défauts qu'ils avaient conservé vis à vis des novices comme il les appelait. La tante d'Elena avait été l'une des plus simples à convaincre dans l'histoire. Il sourit à ce souvenir. Sa rencontre avec Elena lui avait rappelé les actes de Klaus et il était évident que la pauvre Jenna n'avait pas mérité son sort. Elle avait été un outil comme un autre, comme lui.
Il avait cru en Klaus cette nuit, comme il y avait cru toute sa vie. Toujours et à jamais. Tel avait été l'accord passé il y a un millénaire. Qu'en restait-il aujourd'hui ? Rebekah était au fond de l'océan et Klaus un hybride fou furieux dans la nature que le côté loup garou sans doute rendait pire que les autres lâches de la famille.
Il se vida soudain l'esprit. Il trouvait qu'il pensait trop au passé ces derniers temps. Il était vrai qu'il n'avait que ça pour s'accrocher mais c'était une attitude qui ne lui convenait pas. Parfois pourtant il se demandait ce qu'il pourrait bien devenir en fin de compte. Vivre seul pour l'éternité à jouer des rôles. Il espérait que non. Mais avait-il un autre choix ? Son seul but était certes encore loin mais pas inatteignable. Il secoua légèrement la tête. Encore une question pour l'éternité.

Ce matin-là, il avait donc pris la direction de la bibliothèque de l'université. Il n'avait encore jamais eu l'occasion de consulter les ouvrages de ce pays qu'il avait pourtant vu il y a bien longtemps maintenant. Peut être de nouvelles informations quant aux mythes pourraient l'intéresser. Il pensa brièvement aux légendes qui avaient du arriver jusqu'ici après qu'il les eut écrite avec Klaus, il y a plusieurs siècles. Il sourit. Après tout en attendant la fin, il était libre. Certes au fait de toutes les actions de son frère et de son plan mais libre tout de même d'agir comme bon l'entendait. Le temps le rendait parfois nostalgique, il pensa avec ironie que c'était peut être l'âge. Il parcourut des doigts les ouvrages qui se présentaient à lui. La sensation du livre lui plaisait. Il était toujours agréable de voir que tout ne changeait pas.
Il continua ainsi à travers les rayons, sans distinction de domaine à la recherche d'un titre qui attirait son attention et piquerait sa curiosité.

Aussi fut-il surpris de se faire bousculer par une jeune femme. Il était tellement habitué à la distance que cette impression lui était parfaitement étrange. Cette dernière s'arrêta et leva les yeux vers lui. Elle s'excusa, timide serrant son livre près d'elle.
Il se figea. Ça n'était pas les faits qui la dérangeaient tant que ça. Il s'accoutumait vite même des désagréments. Non ce furent ces traits. Les traits de la jeune femme. Il ignorait si son esprit lui jouait alors des tours du fait de ses pensées précédentes, s'amusant de la ressemblance. Mais il s’avéra que non. Elijah n'oubliait jamais un visage et les derniers évènements avaient contribué à graver celui-ci dans sa mémoire comme preuve de sa culpabilité. Mais cette dernière était-elle bien justifiée ?
Etait-ce elle ? Etait-ce Jenna ? Celle-là même que pleure Elena, celle dont la mort a transformé son revirement comme une trahison pire que la rupture d'un pacte ? Elijah n'avait pas nécessairement été affecté personnellement de la mort de Jenna, elle était certes une bonne personne et de charmante compagnie mais les humains étaient éphémères et même s'il les respectait, il ne s'y attachait pas, s'il pouvait l'éviter.
Une autre surprise lui vînt alors. Pourquoi cette dernière si elle était Jenna semblait ne pas le reconnaître ? Il est vrai qu'ils s'étaient peu vu mais les évènements étaient encore assez récents. Qu'était-elle vraiment ? Etait -elle encore humaine ou Klaus avait réussi sa transformation ? Dans ce cas comment Jenna avait-elle survécu ? De la même manière qu'Elena ? Les questions ne cessèrent d'aller et venir et Elijah prit rapidement consistance. Seule la formulation pourrait lui être utile ici. Mais par où commencer ?

"Ce n'est rien."

Il cligna des yeux et sourit légèrement prenant ainsi un air agréable mais teintée d'autorité.
Son expression changea quelque peu laissant apparaître une forme de surprise.

"Excusez-moi. Seriez-vous Jenna ? Jenna Sommers ? Nous, nous sommes déjà rencontrés par le passage. J'ai fait des recherches à Mystic Falls. J'ignore si vous vous souvenez de moi ?"

Il s'agissait là d'une première solution. Jenna ignorait qui il était, il devait donc user de stratagèmes. Si les choses étaient restées normales, il n'avait donné de nouvelles depuis le fameux dîner. Il pouvait donc prétendre ignorer sa mort, en tout cas jusqu'à un certain point.