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Deux jours. Depuis deux jours je n’avais pas pu revoir celle que j’aimais, et ce temps avait été pénible pour moi.

Ces deux jours, dans leur intégralité, avaient été une représentation terrible de la chasse dont j’étais la victime. Durant tout ce temps-là, j’avais du courir sans m’arrêter, ne jamais dormir, et même demeurer blesser par des coups de feu, ou bien d’autres armes. Rachel était restée dans mes pensées pendant tout ce temps, car je ne souhaitais qu’être avec elle, et redevenir ce que j’étais en sa présence : un homme amoureux, et souriant aussi. Cette partie de moi me manquait, et me faisait également comprendre que cette chasse m’exaspérait. Je ne souhaitais qu’une seule chose : que tout puisse s’arrêter, afin que je puisse vivre pleinement ma relation avec elle.

Cette fuite m’avait amené jusqu’à Odessa, où j’avais pu les semer. J’étais de nouveau seul, et le fait de ne plus voir ces types me courir après me soulageait énormément. Dans les rues, il n’y avait pas un chat, et l’heure tardive justifiait largement cela. Pour faire bref, j’étais l’un des rares courageux à me trouver ici cette nuit-là. Aucun plan ne se trouvait dans ma tête. Je ne faisais que rester ici, à attendre le moment où j’allais découvrir la cachette idéale. Je pensais en avoir trouvé une, dans une sorte de local abandonné, dont la porte pouvait facilement être forcée par mes soins. J’allais y entrer, quand autre chose attirait mon attention, et il s’agissait d’un cri. Ce cri venait d’un peu plus loin, d’un manoir beaucoup trop ancien pour se trouver là. Au départ, je restais devant l’entrée, sans la franchir. Je ne le fis qu’au deuxième cri, qui me faisait bien comprendre quelque chose n’allait pas.

Je me trouvais désormais à l’intérieur, et j’avais laissé la porte ouverte, juste au cas où.

- Y a quelqu’un ici ?! Vous avez besoin d’aide ?! demandais-je.

« Tu as eu tort de venir ici. »

- Mais qui parle ?

« Ton pire cauchemar »

La porte d’entrée se fermait à elle seule. J’avais beau essayer, par tous les moyens, de l’ouvrir, mais rien ne fonctionnait. Même avec mon feu, cette porte restait close.

- D’accord, elle est vachement drôle votre blague. Si vous croyez que le fait de m’emprisonner ici va me faire peur, vous avez tort. Je suis loin d’être claustrophobe !

Les lumières s’éteignaient désormais, plongeant l’entrée dans le noir.

- À force d’être plongé dans le noir, enfermé dans des cages, ou bien dans le coma, je suis devenu noctambule alors tu me laisses dans mon élément naturel, peu importe qui tu es ! Si tu crois me connaître là, tu te goures complètement. Rallume la lumière…arrête de faire comme si tu étais une ordure ça te changera.

« Je ne suis pas ce que tu dis que je suis, bien que l’insulte ordure m’est étrangère, mais je sais une chose. Le noir plonge facilement la peur dans le présent. »

- Je n’ai pas peur alors ton principe est infondé…

Une force inconnue m’éjectait alors de là où je me trouvais pour me plaquer contre le mur, et m’empêchait de descendre. J’étais coincé, fixé dans une position de croix.

« Et là, qu’en penses-tu ? Ta peur ne grandit toujours pas ? »

- Non, je n’ai toujours pas peur, vu que je me suis retrouvé dans cette position pas plus tard que la semaine dernière.

« Mais tu as été effrayé la semaine dernière ! »

- Mais là une semaine s’est écoulée… alors la peur s’est enfuie également.

La force inconnue commençait alors à avoir une pression plus importante sur mon corps, au point de me blesser au visage, et de griffer certaines parties de mon corps : près de ma gorge, mes bras, et un peu partout. Certaines griffures étaient superficielles, mais d’autres amenaient des pertes sanguines.

« Et là ? Comment te sens-tu ? »

- Comme tout à l’heure, sauf que du sang coule maintenant, je ne vois pas ce que cela peut changer…

« Mais tu ne peux pas avoir peur comme tout ceux qui ont eu le malheur de rentrer ici ?! »

- Alors bonne chance…

Je me mis à crier, mais ce n’était pas un cri de frayeur, mais un cri de douleur. C’était comme si je venais de recevoir un coup de poignard invisible en plein dans mon estomac.

« Sans peur…au moins il y aura de la douleur ! »

- Je ne sais pas qui tu es mais au moins tu es un sadique !

« Un peu comme Duncan, ton cher ami…ou plutôt ex-ami, n’est-ce pas ? »

- Je ne vois pas quel est le rapport là…

« Il a voulu te corrompre pour t’amener vers le côté obscur…contre ta volonté, et en plus il a failli te tuer dans sa manœuvre, quoique…Nathan est pas mal sur ce plan-là lui aussi, non ? En l’interrompant, il aurait pu te plonger dans le noir pendant encore plus longtemps que ton plus long coma, celui le plus lourd de ta vie. Alors je me trompe ? »

- Comment sais-tu cela ? Et ne me fais pas le coup classique du « parce que je sais tout », « je t’espionne depuis longtemps » ou bien « je te connais, mais tu ne me connais pas ».

« Je sais que tu as eu peur ce jour-là, et que tu n’as pas encore oublié ce qui t’es arrivé. Je me trompe encore ? »

La vision de ce qui m’était arrivé dans le passé apparaissait alors, dans un miroir situé dans le coin droit de la pièce, mais parfaitement accessible pour mes yeux. Je voyais Duncan, les mains situaient sur les deux extrémités de mon visage, en train de me faire voir des visions d’horreur. Et ces visions d’horreur, je les revoyais également. L’effroi était alors né, et je ne pouvais plus me retenir.

Cette force inconnue, peu importe qui elle était, connaissait ce que j’avais pu ressentir ce jour-là, et ceci commençait à me faire flipper, surtout que la vision se répétait encore et encore…alors que je ne pouvais toujours pas bouger, pour tenter de briser la glace, et ainsi ne plus voir ce que j’avais pu subir dans le passé. Je voulais bouger, tout explosait, mais on me retenait, et tout ceci me frustrait, à la longue…

- Cela suffit maintenant, arrête tes conneries !

« Je t’ai eu là, non ? Tu as une peur à affronter. »

- Tu n’as rien eu du tout oui ! Tu me frustres plus qu’autre chose, et la frustration n’est pas de la peur !

« C’est déjà pas mal ! »

- Arrête ça maintenant ! criais-je à présent, tout en tentant de bouger pour me défaire de ma position de croix.

À force de bouger, ma détermination me fit tomber de ma position, et enfin je pouvais sortir de ma position. Amorçant mes flammes, je les dirigeais sans attendre contre le miroir, qui explosait alors. Les bris de verre rajoutait quelques entailles sur mon corps, mais la vision était partie à présent.

- Et là, ça t’en bouche un coin non ?!? commençais-je à dire en montrant ma colère envers cette force qui gérait cet endroit. Je vais te trouver et là tu vas comprendre ta douleur ! Je suis armé je te rappelle, et je ne te raterai pas !

« Oh de la colère ! Je t’aime de plus en plus toi ! »

- Et moi je hais !

« Derrière la haine, il y a toujours de l’amour. Ouvre la porte de droite tu comprendras. De toute façon, tu ne peux pas refuser. Tu es obligé d’avancer car je bloque toute issue ! »

J’étais contraint d’avancer, et d’ouvrir sa saloperie de porte. Ce lieu était entouré de miroirs, de part en part… et je voyais quelque chose de pire que la vision de Duncan. Je revivais mon cauchemar, le premier que j’avais pu faire lorsque j’avais commencé à être proche d’elle. J’avais peur de la perdre, et ce cauchemar me hantait.

Dans ce rêve, j’étais coincé, enfermé quelque part, et je la voyais se faire torturer sous mes yeux. Je ne pouvais m’empêcher de reculer, de tenter d’ouvrir la porte, mais elle restait désespérément fermée…elle aussi, alors que la scène se déroulait sous mes yeux. Mais il fallait que je sorte ! Je devais sortir !

- Laisse-moi sortir bon sang !! criais-je.

« Jamais. Tant que tu n’affrontes pas ta peur, tu ne sortiras pas. Le seul moyen de sortir de ce manoir et de me battre à mon propre jeu. Tu ne dois plus avoir peur, ce qui est impossible, alors tu resteras enfermé dans ce manoir ! Toujours ! »

- Arrête !! criais-je toujours.

« Toi seul peut m’arrêter. Moi je n’arrête jamais… »

- Arrête ça…ça suffit !!

Je commençais à craquer malheureusement…car la scène était trop dure à supporter. C’était le pire…enfin une notion du pire…

- Arrête !!

« Sache que pendant que tu es coincé ici, Rachel est également dans ce manoir, et elle a peur, ça je peux te le dire oui ! »

- Quoi ?!?

« Elle est ici, et je m’amuse avec elle. Je m’amuse réellement avec elle ! »

- Ça suffit !!

Sous la colère, et les flammes, les miroirs de la pièce explosaient, et la porte s’ouvrait. Je pouvais sortir de cette pièce.

- Là, peu importe qui tu es, je peux t’avouer une chose. Tu vas crever, ça je peux te le garantir !

« Mais alors ? Trouve-moi ! »

- Je te trouverai !

Je commençais alors à partir un peu partout. Il m’arrivait de traverser des pièces, sans miroirs, alors inoffensives, mais je ne le trouvais toujours pas. Aucun signe de Rachel non plus, et ceci m’inquiétait.

Malheureusement, j’entrais dans une nouvelle pièce à miroirs, et me retrouvais de nouveau coincé à l’intérieur.

- Oh non, ça va être quoi cette fois-ci ?

Et là, cette scène, qui m’avait tant fait pleurer, réapparaissait sous mes yeux. Je la revoyais étendue sur le sol, et également ces scientifiques monstrueux en train d’assassiner mon fils sous mes yeux.

- Arrête !!! Là j’en ai assez…

J’étais en train de craquer car cette scène se répétait, et je me rappelais de tout ce que j’avais subi pour tenter de l’oublier. Tout revenait dans ma tête, comme si je n’avais rien fait. Cet événement était redevenu une réalité : une réalité qui me faisait littéralement craquer.

Fascinant *___*

The Secret Circle 19
Supernatural 59
Dawson 22

**Jane Julia Hansley, aussi appelée JJ n’avait pas peur du ridicule. Bien pire que cela, dès qu’on lui proposait un défi, elle se lançait dans la gueule du loup et même sans réfléchir, ce qui l’amenait à être dans des situations plutôt délicates, mais à chaque coup, la belle brune avait réussis à s’en sortir sans trop de difficulté. Peut-être sauf le matin où elle avait été tué, électrocuté par son propre grille-pain. Pour dire qu’elle n’avait même pas eue envie de manger des toasts. Elle avait fait le choix de manger des céréales à la base, mais sa pinte de lait était vide. Sa paresse et sa gueule de bois lui avait couter la vie, mais en ce moment même, Jane s’en fichait complètement. Elle adorait être morte. Elle se sentait beaucoup plus libre de faire ce qu’elle souhaitait. Elle pouvait errer chez les vivants ou bien participer à des soirées directement dans le Skyline. Les gens semblaient beaucoup moins bornés, bien qu’elle avait eu la malchance de côtoyer divers personnes étranges. Après tout, ce genre de cas, on en trouvait partout. La seule chose qui lui manquait dans ce monde de mort s’était sans doute ses amis et aussi son père, mais elle pouvait quand même reposée en paix sans trop de déprime. De toute manière, ce vocabulaire ne faisait pas partie d’elle. Ce matin-là, JJ avait quitté son lit dans l’espoir d’avoir quelque chose à ramener vers le Skyline. Elle était considérée comme une faucheuse depuis peu de temps, mais ce travail lui plaisait plus que tout autre qu’elle aurait pu exercer. Bien sur, elle se devait d’avoir un second emploi, mais ce n’était qu’une question financière. C’est alors dans l’espoir de travail qu’elle quitta son appartement pour se diriger directement jusqu’au tunnel. La lesbienne salua une employée du tunnel avant de se rendre directement dans un petit village du Texas. La brunette ne savait pas ce qui l’attendait, mais elle avait entendu dire d’une amie qui avait entendu dire de son amie qu’il y aurait des funérailles en soirée. Une vieille dame était morte dans son sommeil, mais évidemment, ce n’était pas le cas qu’elle devait s’occuper, mais elle savait très bien qu’il y avait beaucoup de chance que l’une de ses vieilles copines claquent avant la fin de la cérémonie. On lui avait dit que trois de ses bonnes copines sortaient de l’hôpital que pour cette occasion. Donc, la jeune femme se rendit là-bas dans l’espoir à se mettre quelque chose entre les mains. Elle entra dans le cimetière où le prêtre était en train de réciter une prière en l’honneur de la défunte Brigitte Peterson. Jane leva le main droite dans les airs et avec son autre main elle la porta près de sa bouche comme pour faire propulser ses paroles encore plus loin.**

Foutaise ! C’est que des putains de foutaises vos paroles ! Il existe pas ton dieu...

**Dit la femme en hurlant tel un loup dans les bois. La brunette fit quelques pas toute en restant bien derrière le groupe rassembler près de la pierre tombale. Elle s’appuya contre une tombe. C’est là qu’elle se mit à lire l’écriteau gravé. Elle arqua un sourcil et afficha un sourire en coin. Il écrit inscrit : Belle Wilkinson. Selon son année de mort et de naissance, elle aurait à peu près son âge physiquement à l’heure qu’il était. Elle sortit alors son rouge à lèvre de sa poche et y inscrit son numéro de téléphone ainsi que les initiales JJ. Les vivants ne le verraient pas, mais peut-être que cette belle oui ? Qui sait ! En se relevant, elle entendit une vieille commère dire à une de ses amies desséchés “ Au moins, cette mégère ne pourra plus nous énervé avec ces histoires, dieu qu’elle m’exaspérait “. Jane arqua un sourcil de dégout. C’est surtout lorsque quelques minutes plus tard elle s’avança pour dire un petit discours en l’honneur de la défunte et qu’elle dit que les histoires de Brigitte lui faisait toujours rire qu’elle dit, plutôt insultée par la situation et cela, d’un ton très haut.**

J’y crois pas, la grosse vache !

**Fut les derniers mots qu’elle prononça avant de se laisser tomber sur la pierre tombale. JJ n’était pas hypocrite du tout, elle était toujours franche et cela avec tout le monde, donc lorsqu’elle tombait face à des gens comme ça, elle ne pouvait pas laisser ses commentaires de coté et même si personne ne pouvait l’entendre. Elle aurait espéré que cette Brigitte Peterson puisse voir ce que ses amis pensent d’elle une bonne fois pour tous, au moins, dès que ces vieilles connes crèveront, ce qui ne devrait pas être bien loin, bien, elle pourrait facilement les renier et se faire de nouvelles amies, beaucoup plus sympa que celles-ci.**

The Secret Circle 17
Supernatural 65
Dawson 18

XD RP againnn !

Alyson resta sur ses gardes un instant, n’étant pas certaine de réellement comprendre ce qui se passait ; en théorie Jayden n’avait pas si mal réagit, en vérité il semblait bien plus intéressé par la bière que venait de lui offrir sa cousine que par son récit surnaturel, du moins Aly jugea qu’il en était préférable ainsi… Puis un sourire s’anima à nouveau sur les lèvres douces de Lilas alors qu’elle se mettait en marche pour se diriger vers les cuisines, s’attendant à être suivit par l’homme à ses côtés.

Pour être franche, il me semble bien que ce mystérieux don fort sympathique me fut transmis par la lignée Leigh, du moins je n’en suis pas à cent-pour-cent sûr et certaine. S’expliqua la belle blonde, continuant d’avancer. Cependant une chose est certaine, je ne m’attendais pas du tout à cela, encore moins à ce que mon mari et mon fil se retrouvent quant à eux transformés en fantômes, je remercie en quelque sorte les dieux de m’avoir offert ce privilège, grâce à cela je peux rester en contact avec les gens qui me sont chères et qui ont péris, des gens comme toi. Ajouta finalement Lilas avec sourire, voulant attirer l’approbation de son cousin ‘’fraternel’’.

Puis Alyson Walker pénétra dans la vaste cuisine de la salle de réception, qui servait aussi de salle de restaurant, lorsqu’il n’y avait pas d’activité de prévue, se dirigea vers le réfrigérateur, ouvrit la porte et en admira le contenu. L’électro en stainless était bondé à craquer ; une panoplie de végétaux s’y trouvaient, des tonnes de sauces préparés maison, sans parler des crustacés et autres aliments servant à la fine préparation des menues de la maison. Enfin elle trouva une bouteille brunâtre, tout au fond de la dernière tablette ; il fallait l’avouer, les Walker n’était pas tellement du genre à boire sur leur lieux de travail et rares étaient les clients qui demandaient une telle consommation, mais il était toujours de mise d’en avoir quelques-unes sous la main. Voilà! Dit-elle après avoir décapsulé la bouteille de vitre et jeter le bouchon dans la petite fente qui jonchait le panneau de travail des cuistots.

Mon Kid? Mais qui t’as appris à parler toi? S’indigna avec sourire la jeune femme perfectionniste ; elle n’avait pas du tout l’habitude d’entendre des mots en ce genre, elle reformula posément ; Mon garçon se porte à merveille ; il grandit rapidement…il me semble qu’encore hier je pouvais le bercer des heures, aujourd’hui je peux à peine le soulever de terre tellement il est grand ! Raconta la jeune mère, se souvenant qu’au tout début rien au monde ne lui donnait envie de procréer… elle aurait visiblement passé à coter de quelque chose de magique…

Aly secoua lentement sa tête, chassant ces pensées de son esprits puis retourna se concentrer sur son interlocuteur. Il te ressemble tu sais, aussi tannant que tu l’étais, je me demande bien de qui il peut tenir ce gêne ! Fit remarquer la propriétaire des lieux tout en s’appuyant contre l’ilot de bois brut, petite merveille qu’elle avait eue à 50% de rabais, un an plus tôt.

En fait c’est Jayson qui m’a fait apprécier ce domaine, auparavant il travaillait dans un petit hôtel de Rainforest, un endroit plutôt chic et il voulait tenter de faire de même en construisant son propre bâtiment, je n’y voyais pas d’inconvénients pour tout dire. Dit-elle, marquant ensuite une légère pause, regardant ce qu’était devenu son tendre copain d’enfance. Oh, un bar, vraiment… S’étonna la jeune Leigh. Elle n’était pas affriolante de ce genre d’endroits, néanmoins elle respectait les choix que commettait sa famille, en particulier ceux de Jayden Wellington. Tu ne risques pas de m’y voir bien souvent j’en ai peur… s’excusa ensuite la blondinette, certaine qu’il comprendrait son point de vue, après tout, ils étaient peut-être de famille, seulement leurs goûts divergeaient totalement, le Vintage était un bel exemple à comparer. J’espère au moins qu’il n’y a pas eu de blessés grave ? S’inquiéta la femme, regardant son cousin avec intérêt ; il ne semblait pas avoir touché personnellement, ne restait plus qu’à souhaiter que personne de bien important à ses yeux ou bien que pas trop de gens étaient présents lors de ce malheureux accident… hoo ! Prends un sous-verre je te pris! S’exclama la grande blonde alors qu’elle eue une vision de Jayden déposant sa boisson alcoolisé contre le bois foncé des comptoirs de la vaste cuisine.

J'ai plus besoin d'acheter de bouquins avec tous vos RP **________________**

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https://www.youtube.com/watch?v=GjBwoxLad3I
(Assez énorme au passage)

como un aire de muerte

quel chance !

Je suis inspirée en ce moment avec toutes vos RP alors j'avance dans mes histoires
On a sauté quelques chapitres mais en voilà un autre


On croit parfois à certaines choses. Même si nos sources sont fausses ou erronées, on peut s'entêter dans des idées qui, au final, sont différentes voire contraires. Par exemple, j'ai personnellement longtemps pensé que l'homme dont j'étais tombée amoureuse était un imposteur. Mais j'ai bien vite appris qu'il avait autre chose et qu'au final je m'étais trompée du tout au tout. Pour ceux qui se demandent ce qui s'est passé ensuite, sachez que cet homme est aujourd'hui mon mari. Dans le cas de Charity Brown, je dirais qu'il faut regarder au-delà des apparences.

" J'aurais du lui parler, les mots refusaient de sortir de ma bouche. Il était fait pour vivre la nuit. Ma présence ne parut pas le déranger, ni même le surprendre. Les lumières semblaient parfaitement s'harmoniser avec les formes de la nuit et lui aussi. Je ne fis pas un mouvement, hypnotisée par la pénombre et les artifices de la lumière de New York. Je le vis rire légèrement puis commencer à s'approcher de moi.
- Tu n'as pas froid ?
Je ne sus que lui répondre. Mais à bien y réfléchir, oui, j'avais froid. Avant même que je ne lui réponde, il se débarrassait déjà de sa veste pour me la tendre. Comme la dernière fois. Je la pris et m'enveloppais à l'intérieur. Elle était chaude. Je lui rendis son sourire. Il me regarda doucement. Je mis un temps pour me souvenir pourquoi j'aurais du être gênée.
- Merci ! Mais je ne pense que ta femme apprécierait !
Il me regarda, surpris puis se mit à éclater de rire. C'était incompréhensible ! Qu'y avait-il de si drôle ? C'était la vérité après tout ...Non ?
- Pour ça, il faudrait déjà que je sois marié !
Je ne comprenais pas. N'était-ce pas pourtant ce qu'il avait déjà quelques instants plutôt ? Je le regardais, réticente.
- Tu y as cru ?
Oui, j'y avais cru. Pourquoi, je n'aurais pas du ?
- Oui ...
Il se remit à rire.
- Carrie, je ne suis pas marié
- Vraiment ?
- Oui !
Mon étrange inquisition et mes doutes parurent l'amuser.
- Et toi ?
C'était la question à laquelle, je n'étais pas attendue. Aussi, je lui répondis comme je l'avais fait avec Ethan. La même réponse désespérante.
- Non, je ne suis pas mariée.
Il acquiesça. Je continua toutefois, sans pouvoir m'en empêcher.
- Pour ça, il faudrait déjà que l'on veuille bien de moi !
Il rît, de nouveau.
- Pourquoi ne voudrait-on pas de toi ?
Cela semblait lui paraître absurde. Ça me plaisait.
- Parce que je ne suis pas intéressante. Qui voudrait d'une simple petite serveuse de Boston dont la vie sans intérêt se résume au boulot et son logement, où elle se contente, soit dit en passant, de dormir ?
- Ta vie n'est peut être pas intéressante, certes. Mais, je ne crois pas que toi, tu sois sans intérêt.
J'en vins à le regarder dans les yeux. Ils ne reflétaient nul mensonge. Je souris, j'en étais heureuse.
- Tu pars trop vite en besogne !
- Pourquoi donc ?
Je ne sus que lui répondre. Je baissais les yeux.
- Carrie ?
Je relevais instinctivement la tête.
- Suis-moi !
Ce que je fis. Il m'amena là où il s'était trouvé, à l'instant précédent, lorsque j'étais arrivée. La vue était encore plus impressionnante. Tout semblait se mouvoir, la ville était incroyable. Les immeubles se rejoignaient dans une mouvance de couleurs, de formes et de lumières. Je doutais que New York fusse comme ça à mon époque. Je ne me rappelais que trop les récits que j'avais de la métropole du temps où j'étais serveuse. La ville était souvent objet de fascination, de folie. Mais je doutais que ces gens-là continueraient à parler d'elle de cette manière, si ils la voyaient telle que je la voyais. Quel sentiment approuverais-je, lorsqu'en rentrant chez moi, que je devrais reprendre mon travail ? Je sentis le regard de Roy sur moi. Aussi, je me tournais vers lui. Il me regardait inquiet mais serein. Comme simplement intrigué. Connaissait-il tellement cette vue pour en venir à m'observer ? Hésitant mais toujours serein, il me demanda :
- Et si tu me disais un peu ce qui te préoccupe ?

Je plongeais mon regard dans le sien. En quoi mes préoccupations pouvaient bien l'intéresser ? Pourtant, je sentais au fond de moi qu'il était tant que je parle. Pas forcément que je dise tout, juste que je dise quelque chose, que j'abatte ne serait-ce qu'une barrière. Pourquoi lui ? Peut être parce que je savais au fond de moi,qu'il est de ceux à qui l'on peut faire confiance, qu'il y avait peut être une chance qu'il comprenne le fond de ma pensée.
Le cœur poignant dans ma poitrine, je m'assis sur le rebord du toit, le regard dans le vide. Il suivit le mouvement et attendit patiemment. Je lui jetais un bref regard et commença mon récit :

- Je suis fille unique. Je n'ai jamais vraiment eu d'amis et je n'ai pas tenté d'en avoir. Comme je te l'ai dit précédemment ma vie se résume à mon travail. Je suis serveuse dans un petit pub de Boston. Mon patron, Arthur est plutôt quelqu'un de gentil, il est sévère mais il respecte ses employés. Je le connais depuis une éternité. Peut être même est-il la personne à laquelle j'ai le plus de lien aujourd'hui. Et ils sont strictement professionnels. A une époque, j'ai eu plus, mais c'est terminé. Alors désormais les seuls que je possède sont ceux avec les clients. Le reflet du monde. Je rencontre toutes les couches de la société. Les riches, les pauvres, les moins pauvres. Les hommes d'affaires qui viennent tous les jours à heure fixe pour leur café. Les étudiants qui viennent le soir avant leur soirée ou après les cours. Les intellos comme les marginaux. Les gens qui n'ont rien à faire et qui restent au comptoir toute la journée. Ceux qui préfèrent une table; Ceux qui terminent leur nuit, ceux qui commencent leur vie. Les habitués que je vois tous les jours, qui me remarquent un peu. Dont je connais les habitudes par cœur et pour lequel les mots ne sont pas nécessaires. Les Dom Juan que j'envoie promener à longueur de journée. Ceux qui ne daignent même pas lever un regard. Ceux qui lisent le journal et commentent les nouvelles. Ceux qui viennent suivre le dernier match pour revenir le commenter le lendemain. La mère de famille débordée, l'artiste déprimée, l'écrivain en manque d'inspiration, la vieille concierge du quartier, les vieux sages et autres philosophes. Certains parfois sont intéressants et particulièrement instructifs. Des gens de toutes les nationalités, de tous les revenus. Tous ces gens, vois-tu, je le connais tous, mieux qu'eux même parfois. Je connais leurs gestes, leurs habitudes, leurs demandes, parfois même avant qu'ils ne les formulent. Mais moi, nul ne me connaît, nul ne connaît ma vie, mon histoire. Nul ne vient se poser de questions. Je ne demande pas à attirer l'attention, loin de là !!! La seule chose, que je pourrais demander c'est qu'il est quelqu'un, ne serait-ce qu'une personne, qui un jour en vienne à se demander comment je vais. Juste ça, rien de plus, qu'il y ait un jour, une personne sur cette Terre que mon existence ne laisse pas de marbre. Je ne dis pas que je suis malheureuse, que je suis forcément insignifiante, non je n'ai pas une opinion particulièrement piètre de moi (je ris légèrement) C'est juste que jusqu'à présent, c'est la seule description de moi qui m'ait apparu. Est-ce vraiment trop demander ? (je marquais une pause et repris) Quand je vous ai vu, ce matin, tous à m'attendre, inquiets. Je n'ai pas vraiment compris. C'était tellement inhabituel ! Je me demande, parfois, si ce n'est pas simple courtoisie, parce que j'ai sauvé Mac. J'espère me tromper, bien sur. L'espoir n'est jamais vraiment mort. Je ne pouvais faire autrement de toute manière. C'était instinctif ... Je connais le monde, mais lui ignore tout de moi. Rares sont les personnes qui possèdent encore aujourd'hui des pièces du puzzle, et je doute qu'il y en ait encore que l'histoire intéresse. Voilà, ce que je suis Reykjavik, juste une serveuse de Boston sans attaches.

Il m'avait regardé pendant tout mon récit. Je doutais qu'il eut à un moment donné détaché son regard de moi. Je le sentais encore intense sur ma peau. Je ne lui avais pour ma part, jeté que de brefs coups d'œil. Il ne dit rien, laissant le silence s'installer. J'en fus un peu gênée mais sereine. Je doutais avoir par le passé tenu discours aussi long. J'en fus heureuse, soulagée. J'eus un bref sourire d'extase et je me tournais vers lui. Sans m'y attendre, je plongeais mon regard dans le sien. Ce qui j'y vis me transporta. Nul ne m'avait jamais regardé de cette manière, jamais. Un homme pouvait-il réellement regardé de cette manière ? J'étais troublée mais heureuse. Pouvait-il être cette personne ? Il détacha son regard du mien, me rendit ainsi mes esprits. Lorsqu'il parla enfin, ce fut d'une voix douce et profonde, troublante.

- Charity ... Carrie ... Ton histoire, je dois dire, me trouble. Fut-il possible que nul être sur cette Terre n'eus-tu jamais remarqué ? N'eut jamais éprouver quelque intérêt à ton égard, ne serait-ce que celui de te protéger ? Tous les êtres de ton époque seraient-ils donc aveugles ?

Je le regardais, circonspecte. Put-il, lui, éprouver quelconque intérêt à mon égard ? Je sentis des larmes montées à mes yeux . Il me regarda alors, de nouveau.

- Carrie, sais-tu que parmi tous ceux que nous étions ce soir-là , tu fus la première à avoir attirer mon attention. Tu avais froid, tu étais perdue, et pourtant à ce moment-là, la seule chose qui t' importée était la petite Mackenzie. Que tu n'avais pourtant jamais vue. Crois-moi, rares sont les gens aptes à la générosité à ce point, comme hier ...
Il baissa les yeux, revoyant sans doute la scène qui m'avait amené à rencontrer une voiture d'un peu trop près. Il releva soudain le tête et plongea son regard, triste, bouleversé dans le mien. Je ne compris pas.

- Carrie ... J'ai eu peur ... Peur que les blessures que l'on t'ait infligé soient irrévocables. Tu t'es demandé si un jour il y aurait quelqu'un qui se soucierait de ton existence. Sache que j'aurais probablement du mal à supporter qu'il t'arrive quelque chose. Je sais, pour le peu que je te connais, que tu n'es pas du genre à faire des histoires. Voies-tu, c'est peut-être égoïste venant de ma part, mais je doute que je serais capable de m'occuper des autres, si tu n'étais pas là . Tu penses que tu n'es pas indispensable ? Tu te trompes. Tu l'es. L'équilibre de notre groupe, la raison pour laquelle aucun de nous n'est devenu fou, moi compris, c'est toi ! Crois-moi , je doute que l'inquiétude que tous ont manifesté tout à l'heure, soit seulement du à la courtoisie.

Son regard se calma, tandis que j'y restais complètement perdue. Ces mots pouvaient-ils être vrai ? Y avait il donc sur cette Terre une personne que j'intéressais bien sur, il y avait eu Heath et lui à une époque mais c'étaient bien les seuls et c'était tellement loin ? Je ne me faisais aucune illusion toutefois. Mais, il n'empêche que si j'avais su que je mettrais Roy dans cet état, j'aurais peut être été plus prudente. J'étais heureuse, confuse mais heureuse, qu'il éprouve un quelconque sentiment à mon égard. Qu'il puisse y avoir des gens que j'intéressais finalement. Plus que jamais je souhaitais que soit retarder notre retour dans le passé. Ce voyage déconcertant et inattendu avait donné un sens à ma vie. Son regard vint s'empreindre de douceur et il sourit légèrement. Il était magnifique.
- Tu te poses des questions sur moi , pas vrai ?
Son ton était curieux comme ses yeux désormais.
- Je dois reconnaître que oui
Comment ne pas l'admettre ? Il était tellement hors norme, tous les hommes de son époque étaient-ils ainsi ? Il me regarda, sembla réfléchir, puis prendre sa décision. Aussi ce fut avec un sourire sur ses lèvres magnifiques qu'il me dit :

- Tu m'as l'air d'être une personne de confiance. Tu t'es confié à moi. Une part de vérité ne devrait pas faire de mal ... Je pense pouvoir te dire qui je suis. "

autre personnage, donc autre rp et autre niveau alors ce n'est pas la même chose...


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En une soirée, s’il y avait bien une chose, à laquelle je ne m’attendais absolument pas, c’était de rencontrer Rexia, alors que je n’étais plongé que dans un unique hasard en me trouvant ici.

Rexia représentait parfaitement l’image, que j’avais pu me faire d’elle grâce aux dires de Samuel. Il m’avait parlé d’elle en d’excellents termes, et l’avait décrite comme quelqu’un d’exceptionnel mais aussi comme une gentille dragonne. En regardant Rexia dans les yeux, je pouvais comprendre ce que Samuel avait cherché à me dire.

Rexia avait sauvé la vie de Samuel, et il était pour moi normal de la remercier après ce qu’elle avait fait. En théorie, j’aurais du le faire, parce que je lui avais promis de le protéger, mais j’avais échoué, car j’étais également dans de sales pétrins par moi-même à ce moment-là. Certaines personnes avaient souhaité me tuer, et lorsque j’avais découvert que Samuel avait été enlevé, il était beaucoup trop tard, car je ne pouvais pas m’échapper. J’avais beau avoir conscience qu’il avait de graves ennuis, les miens me retenaient prisonniers moi aussi…

- Il fait beaucoup de choses pour toutes les personnes qu’il connait, et je suis ravi d’entendre qu’il a pu t’aider et également t‘accepter tel que tu es. Pour ma part, je crois que je ne m‘en serais probablement jamais sorti sans son aide. Je l‘ai contacté le premier, mais il m‘a énormément aidé, et même sauvé la vie quatre fois. Je lui avais promis de le protéger quand j‘ai appris que des scientifiques souhaitaient le capturer, mais j‘ai échoué. Certaines personnes voulaient ma mort et il était impossible de m’enfuir, alors que j’avais appris qu’il avait des problèmes. Je suis heureux que quelqu’un ait pu l’aider à s’en sortir.

Rexia descendit tranquillement de son mur, pour se coucher sur le trottoir en béton, juste devant moi, pour se mettre à mon niveau.

Rexia me demandait alors si j‘étais un spécial moi aussi…mais comment lui prouver. Faire entrer un dragon dans l‘un de mes mondes cybernétiques était quelque chose que je n‘avais jamais tenter de faire, alors je ne savais pas si j‘allais pouvoir être capable de réussir un tel acte. Alors j‘allais le faire que si elle me demandait une preuve.

- J’en suis un moi aussi, mais mon pouvoir n’est pas vraiment simple à montrer. En fait, pour expliquer ce que je fais, je pourrais dire que mon pouvoir consiste à créer des mondes, à l‘intérieur de la nouvelle technologie, comme les ordinateurs par exemple. Je sais c‘est un peu bizarre à expliquer, alors je ne sais pas si tu as pu tout comprendre.

Ca me plaît quand même ^^

The Secret Circle 16
Supernatural 66
Dawson 18

Haha, j'ai trouvé quelqu'un pour un autre topic avec Jane !!

**Jane J. Hansley était morte depuis déjà six ans. Bien qu’elle n’aille pas eu de difficulté à accepter sa nouvelle vie, la jeune brunette se demanda ce qu’elle aurait bien pu vivre si elle n’aurait pas été tué par son propre grille-pain, mais bon, mise à part les fiestas et les amis qu’elle avait, elle ne qualifiait pas sa mort comme une grande perte. Elle se sentait plutôt à l’aise avec sa nouvelle situation surtout que la belle brunette était désormais une faucheuse. Elle n’avait pas été cherché beaucoup de gens jusqu’à présent vu qu’elle avait son statut depuis seulement quelques mois, mais elle s’y plaisait bien. JJ avait la concurrence dans le sang. Quand elle souhaitait avoir quelque chose, c’était très difficile de la dissuader. Elle fonçait dans tous les cas. Aujourd’hui, Jane devait travailler au Crashline. Elle se réveilla donc tôt, se prépara et partie au boulot. Lorsqu’elle eut terminée, elle se rendit directement chez elle. Elle entra dans son bloc appartement et se rendit jusqu’à sa porte. La brunette glissa sa main dans la poche de son jean. Elle portait une chemise à carreaux qu’elle avait glissé sous son jean, style qu’elle adoptait régulièrement. En réalité, le bloc appartement reliait une bonne dizaine d’appartement. La jeune femme vécut longtemps après la fac dans ce genre d’endroit et elle s’y sentait bien, malgré qu’elle s’énervait parfois quand on l’empêchait de dormir ou quand on organisait une petite fête et qu’elle n’était même pas invitée. La brune inséra sa clé dans la serrure, mais elle constata qu’il y avait quelque chose qui l’a bloquait. Elle força encore plus, mais impossible. JJ retira donc le bout de métal d’un geste brusque. Elle serrait les dents de colère, s’accroupissant sur ses genoux et regardant à l’intérieur de la fente. C’est alors qu’elle remarqua un bout de métal. Mais que ça pouvait bien faire là ? Un homme avait essayé de débarrer la porte de sa demeure et d’y voler des trucs. Cette situation sembla familière à JJ vu qu’elle avait découvert le corps de sa mère lorsqu’elle avait 13 ans tuée par des voleurs. En ce moment, la colère envahit l’esprit de la jeune lesbienne. Elle n’arrivait pas à croire qu’un salaud avait pu essayer de faire ça, surtout qu’elle vivait dans un endroit aussi peuplé. La brunette lança.**

Putain, fait chier !

**Elle lança directement sa clé sur le plancher et se dit que peut-être un voisin aurait pu voir quelque chose ou même entendre. Elle n’avait pas de portable sur elle, elle avait préféré le laisser chez elle ce matin, donc elle ne pouvait pas non plus appeler la police pour les aviser de cette essaie d’infraction. Elle allait devoir demander à un serrurier de changer sa poignée de porte en plus, à moins que ce soit payer par la propriétaire du bloc. En tous cas, elle ne débourserait pas un sous pour ça. Elle frappa aux deux premières portes à grand coup, mais aucune réponse.**

Non, mais c’est quoi leur problème... Il y a plus personne qui reste chez eux maintenant !

**Dit la brune entre ses dents. C’est alors qu’elle arriva à l’appartement numéro 802, celui de Julia. Elle ne connaissait aucun de ses voisins, mais ça n’allait pas tarder. Elle donna de bons coups pour qu’elle entende bien. Elle ne pouvait pas croire qu’il n’y avait vraiment personne ! **

et voilà mon rp de loup-garou ^^

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L‘inconvénient du fait d‘être un loup-garou, était une suppression de la parole, lors de chaque transformation. Un des sens essentielles de l‘humanité était alors inaccessible, et cela mettait un obstacle à toute expression venant de moi. Je ne pouvais absolument pas parler.

Les seules paroles que je pouvais tenir, étaient écrites sur le sol, grâce à mes griffes, même sous la douleur. Ma patte avant-droite me faisait souffrir de martyr, au point de couiner sans cesse, comme tout animal qui existait. C’était la seule chose que je pouvais faire pour être compris par Ariel. Cela me désolait de ne pas pouvoir lui parler. C’était tout ce que je souhaitais pourtant.

Malheureusement c’était impossible. Mon seul moyen de parler était de souffrir en même temps.

Par mon dernier message, j‘avais évoqué à Ariel le fait que je n‘avais pas pu avouer à mon propre frère, que j‘avais tenté de mettre fin à mes jours. Je ne lui avais rien dit, de peur de le faire souffrir, mais le fait de lui cacher quelque chose commençait à me déranger.

Mais l‘opinion d‘Ariel était logique. Selon elle, je devais tenter de révéler la vérité à mon frère, et ainsi lui avouer que j‘avais failli commettre l‘irréparable. Dans un sens, elle n‘avait pas tort. Lui cacher la vérité plus longtemps ne ferait que m‘endolorir davantage.

Il faudrait parler, et j‘allais le faire, enfin essayer de le faire.

Je griffonnais alors sur le sol ceci :

 « Tu as raison. Je lui dirai la vérité. »

Quand Ariel me disait qu’elle allait faire le chemin jusqu’à mon domicile avec moi, ceci me rassurait, car je n’allais pas être seul. Ma patte me faisait assez souffrir, et mes couinements ne cessaient pas. Au contraire, ils étaient encore plus forts.

« Merci » griffonnais-je.

Nous nous mettions alors en route, même s’il m’arrivait encore de boiter lorsque je marchais sur mes quatre pattes. J’aurais très bien pu prendre des béquilles mais existait-il un équivalent pour les loups ? Malheureusement, non…ma seule chance était de boiter et d’être prudent.

Heureusement mon domicile n’était pas trop loin, et nous étions devant la porte en une vingtaine de minutes. Je grattais le sol sous un vase non loin de la porte, afin d’y saisir une clé, que j’avais positionné ici la veille, au cas où justement un problème tel que celui de ce soir, venait à arriver. Je la saisissais entre mes griffes. Maintenant, je devais ouvrir la porte, et je le faisais en me positionnant comme un humain le ferait. Ma porte était maintenant ouverte, mais là il n’y avait plus de terre, alors comment pourrais-je parler à Ariel ? Je ne le pouvais pas.

Ma seule issue était d’attendre que la lune se couche. Pendant ce temps, m’allonger était une solution. Je devais aller dans mon lit.

Toujours sur deux pattes, j’ouvrais la porte de ma chambre, et sautais dans mon lit, en agrippant la couverture avec mes dents. Seule ma tête de loup dépassait à présent.

J'aime vos RP *______________________________*
The Secret Circle 08
Supernatural 75
Dawson 17

Alyson resta sur ses gardes un instant, n’étant pas certaine de réellement comprendre ce qui se passait ; en théorie Jayden n’avait pas si mal réagit, en vérité il semblait bien plus intéressé par la bière que venait de lui offrir sa cousine que par son récit surnaturel, du moins Aly jugea qu’il en était préférable ainsi… Puis un sourire s’anima à nouveau sur les lèvres douces de Lilas alors qu’elle se mettait en marche pour se diriger vers les cuisines, s’attendant à être suivit par l’homme à ses côtés.

Pour être franche, il me semble bien que ce mystérieux don fort sympathique me fut transmis par la lignée Leigh, du moins je n’en suis pas à cent-pour-cent sûr et certaine. S’expliqua la belle blonde, continuant d’avancer. Cependant une chose est certaine, je ne m’attendais pas du tout à cela, encore moins à ce que mon mari et mon fil se retrouvent quant à eux transformés en fantômes, je remercie en quelque sorte les dieux de m’avoir offert ce privilège, grâce à cela je peux rester en contact avec les gens qui me sont chères et qui ont péris, des gens comme toi. Ajouta finalement Lilas avec sourire, voulant attirer l’approbation de son cousin ‘’fraternel’’.

Puis Alyson Walker pénétra dans la vaste cuisine de la salle de réception, qui servait aussi de salle de restaurant, lorsqu’il n’y avait pas d’activité de prévue, se dirigea vers le réfrigérateur, ouvrit la porte et en admira le contenu. L’électro en stainless était bondé à craquer ; une panoplie de végétaux s’y trouvaient, des tonnes de sauces préparés maison, sans parler des crustacés et autres aliments servant à la fine préparation des menues de la maison. Enfin elle trouva une bouteille brunâtre, tout au fond de la dernière tablette ; il fallait l’avouer, les Walker n’était pas tellement du genre à boire sur leur lieux de travail et rares étaient les clients qui demandaient une telle consommation, mais il était toujours de mise d’en avoir quelques-unes sous la main. Voilà! Dit-elle après avoir décapsulé la bouteille de vitre et jeter le bouchon dans la petite fente qui jonchait le panneau de travail des cuistots.

Mon Kid? Mais qui t’as appris à parler toi? S’indigna avec sourire la jeune femme perfectionniste ; elle n’avait pas du tout l’habitude d’entendre des mots en ce genre, elle reformula posément ; Mon garçon se porte à merveille ; il grandit rapidement…il me semble qu’encore hier je pouvais le bercer des heures, aujourd’hui je peux à peine le soulever de terre tellement il est grand ! Raconta la jeune mère, se souvenant qu’au tout début rien au monde ne lui donnait envie de procréer… elle aurait visiblement passé à coter de quelque chose de magique…

Aly secoua lentement sa tête, chassant ces pensées de son esprits puis retourna se concentrer sur son interlocuteur. Il te ressemble tu sais, aussi tannant que tu l’étais, je me demande bien de qui il peut tenir ce gêne ! Fit remarquer la propriétaire des lieux tout en s’appuyant contre l’ilot de bois brut, petite merveille qu’elle avait eue à 50% de rabais, un an plus tôt.

En fait c’est Jayson qui m’a fait apprécier ce domaine, auparavant il travaillait dans un petit hôtel de Rainforest, un endroit plutôt chic et il voulait tenter de faire de même en construisant son propre bâtiment, je n’y voyais pas d’inconvénients pour tout dire. Dit-elle, marquant ensuite une légère pause, regardant ce qu’était devenu son tendre copain d’enfance. Oh, un bar, vraiment… S’étonna la jeune Leigh. Elle n’était pas affriolante de ce genre d’endroits, néanmoins elle respectait les choix que commettait sa famille, en particulier ceux de Jayden Wellington. Tu ne risques pas de m’y voir bien souvent j’en ai peur… s’excusa ensuite la blondinette, certaine qu’il comprendrait son point de vue, après tout, ils étaient peut-être de famille, seulement leurs goûts divergeaient totalement, le Vintage était un bel exemple à comparer. J’espère au moins qu’il n’y a pas eu de blessés grave ? S’inquiéta la femme, regardant son cousin avec intérêt ; il ne semblait pas avoir touché personnellement, ne restait plus qu’à souhaiter que personne de bien important à ses yeux ou bien que pas trop de gens étaient présents lors de ce malheureux accident… hoo ! Prends un sous-verre je te pris! S’exclama la grande blonde alors qu’elle eue une vision de Jayden déposant sa boisson alcoolisé contre le bois foncé des comptoirs de la vaste cuisine.

Tu écris ton RP comme un roman, ça fait plusieurs fois que je le remarque.
C'est perturbant de ne pas voir l'alignement mais le texte est bien en tout cas

The Secret Circle 06
Supernatural 77
Dawson 17

Pour une énième blessure à mon encontre, je m’en étais pas mal sorti. À vrai dire, j’avais surtout eu de la chance que la balle de cette inconnue n’ait pas atterrit plus haut. Quelques centimètres de plus, et ma guérison aurait été beaucoup plus compliqué, et mes chances de m’en sortir seraient amputées d’une large partie.

Heureusement pour moi, j’avais pu être encore guéri ce soir, mais à quel prix ? Cette migraine, dont j’étais victime, était terrible, et me faisait réellement peur. À tous les coups, quelque chose de sanguin allait encore m’arriver. Peut-être allais-je encore saigner, être victime de cette hémorragie crânienne, que personne ne comprenait, y compris moi.

L‘inconnue était toujours près de moi, et elle avait réellement changé. Son expression n‘était plus brutale, bien au contraire. Celle-ci était plus simple, plus calme, et plus agréable à entendre, et j‘entendais des remords…des remords qui me paraissaient inutiles. Mais, je comprenais à présent pourquoi elle était hostile à la présence des spéciaux. Elle avait perdu l‘un de ses partenaires à cause justement d‘un spécial. Je ne pouvais pas lui en vouloir. Il s‘agissait d‘une expérience terrible, et en aucun cas simple à oublier : une mauvaise expérience.

- Ne vous sentez pas responsable pour ce qui est arrivé, avec ce que vous avez vécu, je ne peux que comprendre le fait que vous soyez en colère contre les spéciaux, et que vous les preniez tous pour les méchants de l’histoire. Maintenant c’est terminé.

*vraiment terminé…*

- Je suis sincèrement désolé pour le partenaire que vous avez perdu…sincèrement. J’aimerais réellement pouvoir faire quelque chose pour vous aider.

Ma tempe saignait, et je savais que tout ceci n’était que le résultat d’un énième emploi de mon pouvoir d’auto-guérison. Mon surmenage était finalement toujours présent. Il ne s’était guère évanoui définitivement, mais juste en sommeil durant quelques instants.

Le sang coulait et atterrissait sur mes mains. Je commençais sérieusement à avoir peur, car ce n’était pas la première fois que tout ceci m’arrivait. Bien au contraire, tout ceci m’arrivait de plus en plus, et laissait sans cesse dans le même état. La pire extrémité fut ce coma que j’avais subi durant deux jours entiers…et je n’avais pas envie de revivre ce calvaire. Malheureusement…plus j’étais surmené…plus je risquais ma vie, et ainsi de retomber dans le coma. Je ne voulais pas replonger dans le noir, car mes sens étaient éteints, et que je ne pouvais plus m’exprimer.

Je ne voulais plus revivre cela…plus jamais…

Les pertes sanguines prenaient alors une force beaucoup plus importante, et ceci teignait mes mains d‘un rouge inquiétant. Mon état s‘aggravait, à mesure que ma migraine grandissait, à cause de mon surmenage mais aussi des excitations flagrantes de ce criminel, qui n‘arrêtait pas de parler. Il devait arrêter ! Je n‘en pouvais plus !

- À l’hôpital, ils ne pourront rien faire pour moi. Je suis déjà allé les voir au sujet de ce problème, et ils n’ont pas pu comprendre ce que j’avais, alors que j’étais dans un état grave. À l’époque, j’avais même plongé dans le coma. Je sais ce n’est pas une histoire joyeuse, mais cela m’est arrivé. Ils ne peuvent rien faire pour moi.

Dans ma voix, un mélange de tristesse et de peur se faisait entendre, quelque chose si on réfléchissait par rapport à ce que j’avais.

Je souffrais…et c’était terrible.

C'est pas vraiment une réponse rp, mais c'est une petite interaction du meurtrier pour le topic de groupe fusillade au centre commercial XD

**Johnny McRay venait tout juste de quitter la boutique où il avait travaillé il y avait un moment. L’homme continua à marcher. Un employé avec lequel il avait travaillé durant son temps là-bas était partie diner un peu plus loin dans le centre où il y avait les restaurants. L’homme se rendit jusque là où il le repéra. La victime se leva pour aller faire un tour à la salle de bain, quel choix judicieux pensa t-il avec un sourire en coin. Le meurtrier le suivit. À l’intérieur, l’homme se retourna et le salua, mais John leva son fusil et lui balança deux balles. Encore une fois, il n’y avait personne à l’intérieur, mais ce meurtre serait sans doute rapidement découvert. Il verrouilla la cabine et quitta la salle de bain.**