amouuur bonjouuuuur :

----

Dissertation : Samuel Langster est-il un homme dépressif ou bien sur une voie de rédemption. Vous avez quatre heures.

Pour un devoir comme celui-ci, il faudrait séparer le plan directeur en deux parties.

La première parlerait de celui que j’étais avant, en étant dominé par un passé terrible, des morts par centaines, et des larmes, de terribles larmes. Ces épreuves ne me faisaient plus sourire, car je ne pensais qu’au combat, à l’aide, et non à moi. Le bonheur ne signifiait plus rien pour mes larmes, qui ne se dessinaient plus comme une banane, mais comme une poutre lisse de négativité. Mes yeux étaient tristes, bien qu’ils ne versaient des larmes qu’en cachette.

Cette partie de moi-même s’appelait : la dépression…

La seconde parlerait d’une toute autre chose, bien meilleure que n’importe quel sentiment. J’étais heureux, amoureux, et non effrayé par un quelconque bonheur, car il me percutait de plein fouet. Mes sentiments étaient positifs, sincères, et c’était grâce à Rachel. Ce coup de foudre, que j’avais eu pour elle, avait transformé ma vie, pour faire de moi un homme largement meilleur, avec un cœur qui battait en rythme pour lui dire : « Je t’aime ». J’aimais Rachel. Je l’aimais réellement et il était impossible pour moi de la quitter.


Dissertation n°2 : Quelle partie de Samuel est la meilleure âme de l’espèce humaine ?

Il n’y avait pas besoin de s’étendre pendant longtemps, car la réponse était évidente. Je préférais largement la deuxième.


Dissertation n°3 : Samuel Langster pourra-il vivre son amour sans obstacle ?

Malheureusement, je n’avais pas de réponse valable à cette question, tout bêtement parce que je ne le savais pas. Beaucoup d’obstacles étaient présents dans ma vie, mais ils ne m’avaient jamais dérangé comme ils pouvaient me déranger quand j’étais avec elle. Je maudissais toute négativité car je voulais sourire. Je ne voulais pas partir car j’étais avec elle. Je ne voulais surtout pas la voir pleurer, car je le ferais aussi. Ces larmes pouvaient me briser le cœur, parce que je souhaitais la voir heureuse, sans souffrance, même si je savais que je ne pouvais pas lutter contre la conscience humaine, mais je trouvais ceci normal de vouloir son bonheur. Rachel m’avait rendu mon bonheur, et je ne voulais plus le quitter, alors je voulais en faire de même, rien que pour elle, simplement parce qu’elle le méritait sincèrement.

Pour moi tout était clair : Rachel méritait le bonheur, et j’allais lui donner, le plus possible, parce que je l’aimais.

Fin des dissertations, vous pouvez rendre les copies au professeur passant dans les rangs, et n‘ajoutez plus rien sur vos feuilles, car c‘est de la triche !

…ouf je peux arrêter mon délire et revenir dans un récit logique.


La fatigue, qui dominait mes yeux mais aussi ma tête, demeurait puissante, largement trop présente, alors que je ne souhaitais pas dormir. Mon seul souhait, en cet instant, était de continuer à vivre ce moment magique, juste avec elle.

Je pouvais très bien subir une succession impossible de nuits blanches, que je resterais quand même souriant, parce que j’étais avec elle. Une tonne de promesses naissait dans ma tête, pour définir tout ce que je devais faire pour rester avec elle. Je devais tout faire pour ne pas laisser, car il était hors de question que je parte plus d’une semaine. Une semaine sans elle ne serait qu’une horreur pour moi, quelque chose que je ne supporterai jamais, simplement parce qu’elle était devenue importante à mes yeux. Encore une fois, rien que pour le répéter : je l’aimais. Rachel était mon essentiel, et je ne voulais plus la laisser. Il était hors de question que je m’en aille.

Jamais je ne pourrais le supporter.

- Je frapperai à ta porte, encore plus vite que ce que tu crois, et tu me verras. Moi, quand j’observerai ton sourire, je pourrais revivre, à chaque fois. C’est un immense cadeau que je ne pensais même plus avoir, mais je le possède, uniquement grâce à toi. Jamais je ne partirai plus d‘une semaine…jamais…

Pendant deux secondes, mes yeux avaient voulu se fermer, mais je venais de les rouvrir, pour éviter de m’endormir, car je n’avais pas envie de quitter la vision d’un visage tel que le sien. Rachel était la plus belle, rien que pour moi, et il était hors de question d’oublier quelqu’un comme elle. Je voulais garder ce visage dans mon esprit, car son sourire suffisait à me faire revivre. Il suffisait que je plonge dans son regard, pour y découvrir une âme fabuleuse, celle dont j’étais tombé amoureux dès le départ. Rachel était mon coup de foudre, une âme sœur que je ne pensais jamais pouvoir trouver, mais elle était là.

La seule vision du visage de Rachel me rendait heureux, simplement parce qu’elle était angélique. J’étais meilleur, plus expressif, et surtout en absence de tristesse. Aucune larme de tristesse ne tombait encore, même si elles avaient envie de le faire, simplement parce que je ne voulais pas la quitter. Je ne voulais pas partir et la laisser, alors qu’elle m’avait fait le plus beau des cadeaux : une renaissance ! Personne ne m‘avait offert quelque chose d‘aussi fort qu‘elle.

- Rachel, je t’aime sincèrement, encore plus que le plus grand superlatif du monde, et je suis certain d’une chose. Jamais je ne t’abandonnerai, car jamais je ne le pourrai. Tu es trop importante.

La fatigue montait encore dans mes yeux, mais je parvenais à les conserver ouverts, bien que ceci était difficile. J’étais épuisé…

Ma tête contre la sienne, une boule immense déchirant ma gorge. J’avais envie de pleurer, mais je me retenais. Au final aucune larme ne coulait, et c’était tant mieux. Ce moment me rendait heureux, et je ne voyais pas pourquoi je verserais des larmes pour prouver une souffrance, alors qu’il n’y en avait aucune. Au contraire, j’étais heureux d’être avec elle, alors pourquoi pleurer ? Pourquoi verser des larmes ? Pourquoi montrer une souffrance ? Ceci n’avait aucun intérêt, aucun !

Encore du rp

[HJ: J’espère que c’est pas trop grave !, en tous cas, on est heureux de savoir que tu tiens au forum Ü ! PS: J‘adore le gif que tu mets pour le topic haha !]

**Jayden M. Wellington ne comprenait pas ce qui poussait une femme comme celle-ci à faire les trottoirs. Ce n’était pas une façon propre de se faire du cash. Quant à lui, il s’y connaissait dans ce domaine. Personnellement, il n’avait jamais demandé les services d’une d’entres elles, il trouvait ça trop sale, mais il en avait souvent hébergé dans sa jeunesse. Il n’acceptait pas tout le monde, mais lorsqu’on le payait, il ne refusait pas d’aider quelqu’un de la rue. Surtout qu’il n’était qu’un mineur à cette époque. Sa première relation sexuelle aurait pu être avec une de ses femmes. Après tout, on lui avait souvent proposé de s’envoyer en l’air avec lui pour de la drogue ou un toit, mais Wellington avait tout de même quelques principes. La première femme avec lequel il coucha était une droguée, une mère de famille célibataire qui avait de la difficulté à rejoindre les deux bouts. Il ne fit pas cela que pour le sexe, bien qu’à quinze ans, il pensait beaucoup à cela. Jay était vraiment amoureux de cette femme, mais de son coté, ce n’était que pour avoir des compensations qu’elle faisait cela. Cette histoire avait attristé le goss qu’il était à l’époque, mais désormais, il s’en était remis évidemment. L’homme baissa la tête un instant et dit en souriant.**

Étonnant ! Et au fait, c’est qui Hitler ?

**Demanda l’homme tel un idiot. En réalité, Jayden n’avait pas été très loin dans ses études. Il avait tout arrêté à l’âge de 12 ans et avant cela, il n’écoutait presque jamais en cours. L’histoire ne l’avait jamais intéressé, donc il n’était pas au courant de ce genre d’histoire. Il savait qu’il y avait eu des guerres mondiales et tout le tralala, mais de-là à savoir le nom de certains personnages historiques, c’était perdu d’avance. La révélation de la prostituée surprit l’homme.**

Tu veux dire que tu as bientôt l’âge d’une Mamie ? C’est vraiment ce que tu me dis ? En tous cas, tu es assez sexy pour une Mamie, chapeau !

**L’homme fit un clin d’oeil à la prostitué et se mit à sourire. Bien sur, il ne disait pas ça pour flirter avec elle. Jay était en couple et il était heureux ainsi. C’est ensuite qu’une autre prostituée débarqua et trébucha, la femme s’accourut pour l’aider, mais Wellington resta là, devant la scène à hurler de rire. Lorsqu’elle revint vers lui. Il dit.**

Bah, je traine, je m’en allais au boulot. En fait, je suis propriétaire du Devil’s Tail, un peu plus loin par là ! Tu dois connaître, on a ré-ouvert hier soir justement !

**Le soleil plombait en cette journée d’octobre et cela semblait aveugler encore plus le jeune barman qui revenait d’une soirée trop arrosée. Il passa sa main en haut de ses yeux, même sa casquette n’aidait pas à couper le soleil.**

Fresh Ocean

Rien de mieux qu’une bonne journée magasinage pour se changer les idées lors d’une journée pluvieuse…hm ouais, n’importe qui sauf le couple Holly-Jayden vous aurais répond un affaire dans ce genre ; pour être franche, Holly n’appréciait pas tellement la vue de toutes ces boutiques et encore moins de toutes ces personnes, se bousculant pour obtenir quelque chose. En fait l’unique raison qui la poussait à pénétrer ce genre d’endroit était plus souvent qu’autrement, les petits cafés et bistrots qu’ils renfermaient. Oui, n’importe qui connaissant moyennement Holly pouvait vous certifier qu’elle appréciait réellement ce genre de boutique qu’elle côtoyait régulièrement, pour ne pas dire quotidiennement. Simplement le café de chez Joes n’était pas le seul but de sa visite ; Leslee, mini-rousse pour les intimes commençait sérieusement à manquer de fringues, ce qui rendait perplexe la jeune mère adoptive ; que penserait les gens de la garderie en voyant qu’elle porterait les mêmes pantalons et blousons deux jours sur cinq ? Franchement Holly Mai préférait tout de suite passer à l’action et dépenser pour soulager sa mauvaise conscience. Où était Lee alors ? Eh bien justement à la garderie, c’était son premier jours et franchement cela affectait beaucoup la jeune femme ; certes ce n’était pas sa fille naturel, mais leur relation s’était amplifié depuis les quelques mois qui suivirent l’accident, tout comme c’était le cas avec Jayden, qui l’accompagnait assidûment.

Ils étaient donc tous les deux-là, à regarder sans réel conviction les vêtements pour enfant, parlant de tout et de rien comme à leur habitude alors qu’un couple s’approchait d’eux. Sur le coup Holly fut surprise qu’un aussi classe duo s’avançe en leur direction ; la jeune femme blonde semblait si parfaite, sans parler de son mari qui semblait sortir tout droit d’une tour à bureau, seulement la rouquine compris rapidement qu’il s’agissait de membre de la famille de son copain, Jay.

Ce n’est que plusieurs minutes ensuite que l’homme quitta la ravissante blonde pour se diriger vers l’épicerie, la laissant en leur compagnie. Holly parla donc un peu plus en profondeur avec la jeune femme qui se dirigea ensuite vers le rayon pour dames, à la recherche de robes de soirée en vue de la petite fête d’halloween qu’ils organisaient dans leur prestigieux hôtel. Toujours parlant avec cette dernière et Jayden, Holly s’aventura un peu plus loin, continuant de farfouiller pour les vêtements prochains de Lee lorsqu’on la heurta doucement. Westley se retourna d’un trait, les sourcils froncés par habitude puis s’exclama d’un ton lasse ; hey oh, attention!

Encore, on est en feu ce soir !

**Jayden Michael Wellington était dans une colère noire. Il savait bien comment pouvait agir Cassie. Après tout, c’était une droguée et ces gens agissaient toujours sous l’impulsion. Elle avait pointée une arme sur sa copine Holly et l’avait menacée de la tuer, ce qui n’était sans doute pas la chose la plus sainte que son ex amie aurait pu faire. Jay lui en voulait beaucoup et il était près à lui faire payer. Elle n’allait certainement pas s’en tirer sans rien. Elle devait payer son mauvais comportement et ça allait commencer avec cette conversation en plus de la perte de son emploi. Michael frappait avec intensité sur la porte de l’appartement 401, mais personne ne vint répondre.**

Tu as peur de moi Williams, arrête de faire la trouillarde et viens donc ouvrir pour qu’on se parle en pleine face !

**Jayden serra les dents et frappa un dernier coup dans la porte pour se retourner d’un coup sec en colère et c’est à ce moment même qu’il vit la silhouette de Cassie Williams quitter le couloir pour descendre les escaliers du bloc appartement. Jay fronça les sourcils de colère. Il n’allait certainement pas la laisser partir ainsi. Elle avait surement eue peur lorsqu’elle l’avait vu en face de son domicile. Steve ne devait pas être à la maison, sinon, elle s’aurait caché dans les jupons de celui-ci. Wellington le savait trop. Il connaissait quand même le couple depuis le temps. Il souhaitait seulement que Johnson soit trop drogué pour bouger le petit doigt, parce que si il s’en mêlait, Jay devrait officiellement se battre avec l’homme. Il avait peut-être entretenue une bonne relation lorsqu’il était lui-même drogué et dealer de drogue, mais maintenant s’était une toute autre chose. Il s’était un peu rapproché de lui lorsque Holly avait rompée. Il avait passé du temps dans une histoire de meurtre liant une droguée et avait même prit de la bière et de la drogue chez lui un soir de déprime, mais il savait très bien que ce n’était pas une bonne chose et qu’il devait cesser ses relations avec lui. Depuis, il n’avait à peine adresser la parole du brunet. Il l’avait vu à la soirée du Devil où l’incendie avait eu lieu, mais il avait préféré l’évité à tout prix et ne pas entretenir de conversation sur la soirée passée avec lui. Holly ne savait pas ça, mais ce n’était pas une information importante. Elle savait qu’il avait recoulé après leur rupture et maintenant que ça allait bien, il ne prendrait plus rien de ce genre. Il ne savait pas si Cassie était au courant, mais ça ne l’intéressait pas vraiment non plus. Jayden s’accourut d’un pas très rapide pour l’agripper. Il l’a tira par le bras en hurlant.**

Hey toi, tu ne t’en sortiras pas comme ça !

**Dit l’homme, mais en tirant la blondinette, elle trébucha et déboula carrément les marches jusqu’au premier étage. Jay afficha un regard surpris et sauta plusieurs marches pour la rejoindre. Elle ne semblait pas trop en mauvais état, donc il posa un pied sur son bras idée de la maintenir au sol.**

Est-ce que je peux savoir ce qui t’a prit putain d’idiote !

Que de la bonne lecture !!
Je suis trop fan de vos textes sérieux !
Gally coup de coeur supplémentaire pour ton RP d'amour *_________________________*
Et merci pour le compliment, ça me fait plaisir ^^

-----

The Secret Circle 20
Supernatural 46
Dawson 19
Dr. House 5
Heroes 10

Je casse un peu le rythme, j'ai pas de texte sous la main XD

NCIS VS Alias

Association « Mon Mari & Mon Amant »

Une peluche qui chante la chanson "Soft Kitty" quand on appuie dessus !

Pour les détails : ici

Contient: 1 peluche douce Kitty
Indications: Pour quand vous êtes malades Instruction: Appuyez sur Big Bang Theory doux Kitty Peluche sur la patte d'entendre la chanson, "Soft Kitty" au moins une fois par jour ou au besoin. Répétez l'opération jusqu'à disparition des symptômes.

Nial Ó Maoilrian

Pas de RP d'amour ? #SBAAAAAAFFFF#

----
The Secret Circle 20
Supernatural 47
Dawson 20
Dr. House 4
Heroes 9

Iracebeth a écrit:

Que de la bonne lecture !!
Je suis trop fan de vos textes sérieux !

Haha, tu lis vraiment tous les postes qu'on colle XD
Sinon, pour moi ; je viens d'arriver, donc attend un peu ^^ XD

The Secret Circle 20
Supernatural 48
Dawson 20
Dr. House 3
Heroes 9

Oui je lis absolument tout !
Je suis une grande lectrice et c'est pas dur vu que vous écrivez bien ^^


The Secret Circle 20
Supernatural 47
Dawson 20
Dr. House 4
Heroes 9

lolll

Très jolie top et ce malgré notre longue absence, je suis fanne

Après qu'il l'eut invitée à passer avec lui une longue série de soirées très ennuyeuses, au cours desquelles il lui parla surtout de lui-même et des idées fort prévisibles qu'il avait sur le monde, Pétunia se mit à rêver du moment où il lui passerait la bague au doigt.

Le seul moyen de pouvoir me faire comprendre, dans une forme animale qui supprimait mon sens de la parole, se trouvait dans mes griffes. L’humanité était en effet dotée de plusieurs manières de communiquer, et je devais les garder à l’esprit, car je ne pourrais m’exprimer que grâce à eux.

Mes griffes grattaient la terre afin de pouvoir y former de mots, sous le son de multiples couinements. J’avais en effet encore mal et le fait d’écrire ne m’arrangeait pas du tout, car la patte qui me faisait souffrir n’était autre que ma patte avant-droite, celle avec laquelle j’écrivais. Sous ma forme humaine, je restais un droitier, une personne incapable d’écrire de la main gauche, et même sous la forme d’un loup, je n’y arrivais pas…et je n’allais jamais y arriver…

À forcer de gratter la terre, je me rendais compte de ma douleur, mais je n’arrêterai pas mon geste, simplement parce qu’il s’agirait d’arrêter également de m’exprimer, et donc de vivre, simplement… Il ne fallait pas que j’arrête, même si tout ceci pouvait devenir insupportable, et me forcer à m’écrouler sur le sol, sans bouger.

"Il me prenait pour une bête féroce" était le message que j’avais pu écrire, même si ce geste avait été pénible à réaliser.

Ariel me conseillait alors de faire doucement avec ma jambe…enfin ma patte, et je me contentais de répondre par un acquiescement, toujours sous le son d‘un couinement.

Dans un sens, lors de son discours, Ariel n‘avait pas tort, en disant que les humains étaient de plus en plus inquiets. Ils avaient peur de l‘inconnu dans un sens, bien que j‘étais en fait dans le même stade, étant moi-même un humain derrière ce loup que j‘étais ce soir. L‘inconnu devenait de plus en plus effrayant avec le temps, et c‘était bien le problème.

*un gros problème…*

J’étais amené à écrire de nouveau sur le sol, pour répondre à la question d’Ariel, qui me demandait si cela allait toujours bien avec Rachel, mais aussi avec Michael.

Je griffonnais alors ce qui ressemblait à cela :

Oui, cela va toujours bien, même si quelque chose me gêne. Je n’ai pas osé dire à mon propre frère que j’ai voulu tenter de mettre fin à mes jours. Je ne voulais pas lui faire de la peine, mais résultat c’est comme si je gardais un secret capable de le faire souffrir plus tard.

Mais quand j‘arrêtais d‘écrire, mon couinement fut extrême et ma douleur de plus en plus grande…

Il faut que je rentre chez moi. Je suis si fatigué que j‘en tiens à peine debout.

Du RP *____*

Après qu'il l'eut invitée à passer avec lui une longue série de soirées très ennuyeuses, au cours desquelles il lui parla surtout de lui-même et des idées fort prévisibles qu'il avait sur le monde, Pétunia se mit à rêver du moment où il lui passerait la bague au doigt.
(Extrait de Vernon et Pétunia Dursley, JK Rowling)

Au Guinness World Record de cette année, allait figurer le nombre de fois où j’avais reçu au moins une balle dans mon corps, et que j’avais pu en sortir vivant. Quand je disais « au moins », ce n’était pas une exagération, loin de là, car je n’en avais pas toujours reçu qu’une seule. La troisième fois, j’en avais reçu, dont deux qui n’avaient pas pu ressortir de mon corps. Les retirer de mon corps ressemblait un peu à ma propre autopsie, alors que j’étais vivant, c’était pour vous dire à quel point cette troisième fois était macabre.

Lors de cette septième fois, j’avais eu entre guillemets de la chance, car la balle n’était pas restée en moi. Déjà, cette inconnue était humaine, hostile aux pouvoirs, alors comment aurait-elle pu réagir si elle m’avait vu en train de retirer cette balle de mon corps ? Probablement très mal, ou bien elle aurait été capable de m’en remettre une autre…plus près, afin que la mort soit plus rapide, et donc impossible à combattre par l’intermédiaire de ma lumière d’auto-guérison.

Les deux yeux grand ouverts par la surprise, l’inconnue venait quand même me remettre mes couteaux. Cette guérison avait changé quelque chose en elle. Son regard était bercé par la surprise, mais il y avait quelque chose de plus. Je la vis attacher le criminel à une sorte de poteau de métal, afin d’empêcher sa fuite, même s’il était plutôt agité.

Quand elle revint vers moi, elle me tendit la main pour m’aider à me relever, tout en me faisant comprendre qu’elle croyait que toute personne avec une capacité demeurait méchante, mais c’était faux. J’en étais la preuve d’ailleurs. Je vivais une situation pas possible, en fuyant les scientifiques d’une part, et en saignant parfois de ma tête, lors de temps difficiles.

- Non, ceux qui possèdent une capacité ne sont pas forcément méchants. Certains pensent à tout détruire, mais ce n’est pas le cas de tout le monde, car d’autres souhaitent sauver le monde, mais le gouvernement nous chasse tous, dans le doute.

Je prenais place sur une vieille boite de bois, non loin d’elle, bien qu’elle ne restait pas très longtemps dans cette position, car l’autre type se remettait à bouger, et à vouloir s’enfuir. Elle lui passait alors les menottes avant de se retourner vers moi, afin de savoir si j’allais rester assis en cet endroit ou bien si je souhaitais qu’elle me dépose quelque part.

- Cela va vous faire faire un sacré détour quand même…

Mais un geste de ma main contre ma tempe droite ne me rassurait pas. Du sang commençait à tomber. Ce n’était pas encore des pertes flagrantes, mais cela se voyait quand même.

L‘autre n‘arrêtait pas de parler, et cela me donnait un sacré mal de tête, probablement la source de ma douleur, dès le départ.

- Mais tu ne peux pas la fermer bon sang et accepter de te faire emmener ?! Ce n‘est pas en protestant sans cesse que vous pourrez être libéré.

Ma voix était haute uniquement à cause du sang…

et encore !

**L’école primaire et les études étaient très loin dans les souvenirs du jeune père de famille. Jayson Walker avait réussis à bien réussir, malgré la précision qu’il avait eu tout au cours de sa vie. L’homme d’affaire avait étudié en gestion et ne hôtellerie, mais ses rêves de devenir propriétaire d’un charmant et spacieux hôtel ne pouvait se réaliser. Son cinglé de père était à leur recherche et de les mettre devant la scène était trop risqué. Il pourrait les retrouver beaucoup trop facilement. Le brunet avait tout de même conserver une vie presque normal, bien que avant sa mort, il aille emprunter un faux nom de famille durant un moment ; celui de Baxter. Au moins, maintenant qu’ils étaient morts et que Jake, son père était en prison, ils pourraient redevenir les Walker d’autrefois. Jay se plaisait bien avec ce nom, même si ça lui rappelait beaucoup trop son horrible père. De plus, bien que les deux familles ; celle de Alyson et la sienne étaient très fortunée à la base, ils avaient pu continuer leur cheminement professionnel sans trop compter sur l’argent qu’ils possédaient à la base. Le couple investissait peut-être dans un tas de truc chic, mais ils faisaient toujours les meilleures choix ; ils achetaient en région, ils donnaient toujours de généreux pourboires et ne ratait jamais une chance d’aider les gens. C’est en voyant son fils continuer à jouer au loin, le sourire au lèvre qu’il se sentit bien heureux. Il aimait beaucoup savoir que Xander était heureux malgré tout. Une année s’était écroulée depuis qu’ils étaient morts et depuis, leur fils n’avait pas été trop demandant coté explication. Il connaissait la base, mais ça ne semblait pas l’intéresser plus que cela. Au moins, il avait sa maman près de lui. Ils avaient été très chanceux d’apprendre que la belle blonde avait un talent hors du commun qui lui permettait non pas seulement de communiquer avec les morts, mais aussi d’aller visiter leur monde. Le frisé longea ses bras le long de son costard et borda ses lèvres d’un délicieux sourire. L’enseignante le salua alors. Elle semblait gentille et respectable. Il hocha de la tête en signe de politesse avant de prendre la parole.**

J’ai vu juste, au moins je n’ai pas dit cela à une mère inconnue et oui, j’ai bien vu tout le plaisir que Xander prend sur ce terrain ! Je suis heureux qu’il s’amuse ! La mort n’est jamais facile, surtout pas pour les gamins, mais lui, il semble bien s’en accommoder !

**Dit l’homme en souriant. Il posa sa main sur son manteau pour se gratter poliment. L’homme aligna ensuite ses bras à nouveau le long de son corps, regardant la partie qui continuait. Il tourna le regard uniquement vers la blonde et dit.**

Vous avez des enfants ?

**Il espérait seulement qu’elle n’avait pas vu la mort avant tout le monde et que ces enfants étaient toujours en vie. Chez certaines personnes, ce genre d’événement était tragique et terriblement dur à comprendre. Il conclut ainsi sa phrase avec un sourire en coin maladroit, espérant que tout se passe bien ensuite. Il serra ses points en signe de stresse, ce qu’il faisait discrètement à chaque fois qu’il se retrouvait dans des situations comme ça.**

& again, meme si ce n'est qu'un petit post XD

Jared resta hébahit un bon moment avant de réagir adéquatement ; il avait fréquemment vu des explosions de ce genre avec son ancien boulot de garagiste, simplement maintenant il s’agissait d’autre chose, quelque chose l’avait poussé à grimper cette colline et à admirer la splendide demeure qui se perchait face à lui ; puis il y avait ce petit garçon, tout à fait innocent… était-ce son nouveau métier de faucheur qui le rendait aussi sensoriel ? C’était à ce demander, jamais habituellement l’homme dans la trentaine n’aurait osé prendre un détour pour simplement admirer une maison…encore moins s’il ne connaissait pas les habitants en question ; cela resta donc marqué dans sa mémoire un bon moment lorsqu’enfin l’homme à la chevelure frisé le remarqua. Apparemment le père ne se doutait pas du tout de son état; il croyait dur comme fer qu’ils avaient échappé à la mort, chose peu probable, encore moins lors d’un tel accident.

Avec précaution Jared s’avança à nouveau vers le duo entre-lassé, posa sa main dans son jeans à la recherche d’un paquet de cigarettes qu’il avait volé le matin même à la vieille dame aux minous, mais ne le trouva point…il avait simplement dû tomber de ses poches alors qu’il admirait le désastre qui se produisait sous ses yeux, il examina alors les lieux avec précautions mais n’y trouva aucun paquet de carton.

Pour voir, oh ouais j’ai vu ! S’exclama avec satisfaction le brunet, fier de pouvoir être le faucheur de la situation. Seulement, j’suis désolé mais le coup de téléphone servira pas à grand-chose… Tenta de détailler le trentenaire qui ne savait pas vers quel chemin s’enligner face au gamin qui le regardait d’un drôle d’aire. Puis, justement alors qu’il tentait de divulguer l’information crucial l’homme exclama ; c’est vraiment surprenant que nous ayons survécu à ça, ouf ! Merci mon dieu ! Alors là Red se fit un plaisir d’ajouter ses paroles, peu rassurantes, mais tellement libératrices ; Alors non, justement votre dieu c’n’est que des foutaises, grâce à lui vous êtes tous les deux poussières… Dit-il avant de s’interrompre lui-même en repensant à ce qu’il venait de dire ; Wouah… je m’étonne moi-même ; vous êtes poussière, magnifique non…bien que j’déteste la poussière, ça fait éternuer et après t’as les yeux qui piquent… bref, vous êtes morts, je suis votre homme.
Jared s’étonnait lui-même, jamais il n’avait encore osé dire ce qu’il pensait tout haut, il était plus du genre à garder son sérieux, à ne pas trop rire devant publique et à être un tantinet sinistre, seulement la situation semblait plutôt cocasse, bien que fortement sombre.
Désolé pour ta bagnole mec, mais j’te promets t’en aura une encore plus performante à Skyline… S’expliqua le brunet, tentant de réconforter le moins du monde son interlocuteur qui n’en croyait pas ses yeux, sans parler de son fils qui semblait ne pas tellement comprendre ce qui venait de se produire. J’peux même te la fabriquer moi-même si c’est s’que tu veux, hein… Mouais… peut-être Red devrait-il continuer à exercer dans ce qu’il savait le mieux faire ?

L’homme se tenait près de nous capable de nous foudroyer sur place, et sa puissance allait me surpasser cette fois-ci. Si j’avais eu l’intégralité de mes forces, j’aurais pu gagner, mais malheureusement je ne me trouvais pas dans cette situation, car mon corps était davantage face contre terre plutôt qu’en domination face à l’ennemi.

Et notre choc ne tenait qu’à quelques secondes…alors qu’une espérance demeurait dans un coin de notre tête. Arthur avait crié si fort, pour que Rexia puisse entendre que nous avions un problème, et je priais en même temps que lui, pour qu’une chance de s’en sortir parvienne à apparaître devant nos yeux. Il y avait encore une chance, et il suffisait juste de la trouver.

L’homme était parfaitement en place, et même prêt à nous lancer cette sphère électrique, rien que pour nous faire du mal… Je levais mes mains aussi, bien que cette intention allait probablement être vaine. Mais si je pouvais avoir une chance de protéger Arthur, je le ferais. Ma vie personnelle, étant devenu un hybride par moi-même, ne m’importait plus tellement. Mes chances de mourir n’étaient pas inexistantes, mais elles existaient quand même, si la mort était plus rapide que l’exécution de mon pouvoir. Il m’arrivait d’ailleurs d’être plus au point sur la maitrise de ce pouvoir-ci, alors que j’avais obtenu ma pyrokinésie avant, ce qui était un comble. Mais bon, la différence n’était pas énorme…mais existante tout de même.

L’intention de cet homme fut détournée par le bruit des ailes de Rexia, mais aussi son hurlement. Elle était là…

Il pensait se mettre à l’abri, mais il n’en eut pas le temps, car Rexia venait de le frapper violemment d’un revers de la patte. Ce geste amena Arthur dans mes bras. Il avait peur…peur pour elle en se basant sur ce qu’it me disait. Il avait peur que cette scène puisse mal se terminer, mais il n’était pas le seul.

- Ne t’inquiète pas Arthur…je suis là. Tu n‘as pas à avoir peur.

- Merci papa…

Mais Rexia ne le tuait pas. Elle le gardait emprisonné. Arthur, lui, gardait sa tête contre moi, comme pour se cacher de la scène, en n’arrêtant pas de me répéter une seule et même phrase :

- Protège-moi papa…j‘ai peur papa…

En un laps de temps très rapide, quelque chose de nouveau pris place dans le décor sombre de cette ville endormie, et ceci détournait l’intention de Rexia envers sa proie. Tout, autour de nous, venait de s’allumer. Les fenêtres des chambres, les lumières de salons, mais aussi des lumières à l’entrée des maisons…tout s’allumait. La ville grouillait maintenant de vie, et c’était dangereux, car ils pouvaient voir Rexia…et avoir peur…

Oh non…pas ça…

Malheureusement, l’homme en profitait en lançant sa sphère sur Rexia… Les étincelles pleuvaient, et cela l’aveuglait. Moi, un petit peu également, mais j’y voyais un minimum.

Me retrouver souvent dans le noir m’avait en quelque sorte rendu noctambule…

Cette scène me faisait peur, mais il fallait que je fasse quelque chose. Hors de question de mêler Arthur à cela. Je ne voulais pas qu’il reste ici, et qu’il puisse risquer sa vie.

- Arthur, va te cacher. Tu ne dois pas rester plus longtemps ici. Tu risques ta vie.

- Mais papa ! Je ne veux pas partir ! S’il t’arrive quelque chose, je…

- Ta vie est plus précieuse que la mienne Arthur. Tu es jeune, tu as toute la vie devant toi. S’il t’arrive quelque chose ici, je m’en voudrai. Va te cacher, je t’en prie.

A contrecœur, en voyant la scène, Arthur décidait de partir, mais il tint une autre parole envers moi, qui me touchait.

- Je t’aime papa.

Je n’ étais pas son père, mais je lui disais quand même que je l’aimais, avant qu’il ne parte courir pour se cacher plus loin. Je l’avais observé, pour savoir où le retrouver une fois tout terminé.

J’y allais…pensant l’aider, mais quelque chose me percutait, un débris de quelque chose qui s’était brisé sous l’impact de sa queue. Sur ma tête, j’avais reçu des débris de verre, qui venaient de la vitre d’une voiture, qui n’en était plus une maintenant… Cela m’entaillait sur plusieurs endroits mais plus rien n’avait d’importance là.

J’étais en colère, et le feu surgissait de moi. Sans le rater, la vague de flamme partait vers lui, tandis que l’homme lançait de l’électricité. Nos deux vagues se percutaient l’une contre l’autre, à forces quasi égales. Mais l’une d’entre elle pris le dessus, et il s’agissait de la mienne. Beaucoup d’énergie en peu de secondes avait amené mon essoufflement, mais Rexia et Arthur m’importaient davantage, alors cela m’aidait à oublier ce qui m’arrivait, notamment le sang qui tombait des entailles de mon visage.

Les éclairs avaient cessé. Mais Rexia allait-elle mieux à présent ?

- Les éclairs sont partis maintenant, tout va bien ? disais-je quand même un peu essouflé…

Certaines personnes nous observaient encore. J’aimerais bien leur crier dessus et leur dire de… « dégager » vite fait bien fait de cet endroit, mais si je tentais de leur faire peur, je n’imaginais pas les problèmes que je pourrais avoir par la suite.

Arthur était au moins un minimum en sécurité, en étant parti un peu plus loin. Mais c’était mieux ainsi, car s’il n’était pas écarté de la scène, il risquait sa vie.

Petit post moi aussi ! XD

**Aaron Thomas Webber continuait la passionnante lecture de son magasine à potin. Le jeune rouquin était heureux de pouvoir en savoir un peu plus sur la vie des artistes de la télévision toujours en vie. Il découvrit quelques trucs étonnants, mais le jeune homme était un fan de ce genre d’histoire. Il avait une incroyable collection de film et de cartable sur divers célébrités où il aimait coller la plupart des articles et entrevue qu’il trouvait d’eux. Ce qui poussa l’infirmier à en acheter à chaque fois qu’il allait en ville, ce qu’il allait sans doute faire avec ceux qu’il avait emprunté. Le rouquin afficha un regard plutôt étonné par l’information qu’il venait de lire. Lindsay Livingston, une actrice américaine qu’il admirait beaucoup avait été percuté par un camion il y avait quelques mois. La pauvre brunette était désormais dans le royaume des morts. Il se dit aussitôt qu’il pourrait sans doute la rencontrer maintenant qu’elle était morte. Il allait faire quelques recherches prochainement à ce sujet. Il se sentait immédiatement toute hâtif de faire cette trouvaille. Il aimerait bien une autographe. C’est parce qu’il était perdu dans son magasine qu’il n’avait pas remarqué une présence près de lui. Il s’agissait de la jeune Sarah Adams, celle qu’il attendait justement. La médium avait fait des études à l’université de médecine de Los Angeles avec lui. Il l’appréciait beaucoup et le fait de la revoir l’autre jour, suite à l’incendie du Devil, l’avait rendu heureux. Elle avait donc proposer un diner un de ses quatre pour discuter, ce qu’il avait choisis d’accepter. Donc, c’était désormais le temps de la rencontre. Lorsque Sarah prononça son nom. Aaron sursauta, mais colla immédiatement un sourire sympathique sur ses lèvres. Il était plutôt heureux de la voir. Il déposa donc à l’aide de ses deux mains le magasine qu’il était en train de lire. Le rouquin dit.**

Oh, Sarah ! Je ne t’avais pas vu arrivé, aller assis-toi ! Je suis très heureux que tu ailles acceptée mon invitation ! Ça me fait réellement plaisir de te voir !

**Le rouquin jeta un bref coup d’oeil autour de lui. Il conservait tout de même son grand sourire sur ses lèvres. Il était heureux de pouvoir avoir une connaissance ou plutôt une amie pour discuter un peu. La vie au Skyline pouvait paraître assez longue par moment et avec la complexité de la personnalité étrange du rouquin, beaucoup de gens le craignait. Il toussa un coup et dit alors.**

Tu savais toi que Lindsay Livinston était morte ?

Lui est plus gros par contre XD

**Jayden Michael Wellington venait de vivre une année assez lourde en émotion. À la base, tout allait pour le mieux pour le jeune barman. Il avait une charmante copine qu’il aimait énormément. Jamais il n’aurait cru qu’il aurait pu trouver quelqu’un d’aussi bien que la rouquine. Il avait connu le grand amour une seule fois auparavant et ce fut avec Amy, sa femme, mais le destin avait choisis qu’ils devaient se séparer, choix qui avait finalement été accepté par l’homme. Les clés d’un bar en main et Hop ! Le tour était joué ! Jay avait donc partie sa propre affaire, le Devil’s Tail n’était sans doute pas le bar le plus chic, mais c’était un lieu convenable pour ceux qui souhaitaient passer une bonne petite soirée devant une pichet de bière et quelques amis. La vie se portait bien, mais un jour, sa vie passée revint le hanté. Tout commença avec sa rencontre soudaine avec ses nouveaux voisins ; Cassie et Steve. Le couple était des anciens amis du brunet. Il les avait connus dans la rue parce qu’il se trouvait à être en réalité son dealer. Bien sur, Jayden ne prit pas cette retrouvaille avec plaisir. Il le prit même comme une honte. Il essaya de les repousser, mais il apprit ensuite que Holly Mai avait engagée nul autre que Cass comme serveuse. Bref, une situation malhonnête vu que la belle rousse n’était pas au courant de ses prouesses du passé. Elle ne savait pas non plus qu’il était marié et l’était toujours à l’heure qu’il était. Lorsque le tout se révéla avec l’arrivée surprise de Amy, le couple Jaylly partit en fumée. Holly balança son poing en pleine figure du rebelle qui ne le prit pas bien du tout. Les semaines qui suivent le coup ultime, Jayden tomba dans une dépression profonde. Il engloutissait toute l’alcool qu’il trouvait et peu importe l’heure de la journée. Ce genre de situation était encore plus facile lorsqu’on possédait un bar; alcool à volonté. Michael avait même eu record à la drogue à nouveau, histoire qui le rendait honteux lorsqu’il y songeait. Steve avait été là lorsqu’il avait besoin d’aide et évidemment, ce n’était pas la personne la mieux placée pour l’aider. Par contre, Johnson lui demanda si c’était vraiment ce qu’il souhaitait, au moins, il avait été sympa dans cette histoire, mais bien sur, le caractère de Jayden Michael Wellington avait prit le dessus. Les jours suivants, il éprouva un retour en arrière, sentant déjà le désir de consommation à nouveau, mais il se reprit. Il laissa de coté cette histoire avec quelques difficultés, mais il y arriva. Ensuite, Jayden reparla peu à peu avec la belle déesse rousse. Il se rapprocha même malgré les circonstances, mais il l’a découvrit avec une petite fille dans les bras. Holly avait causé l’accident d’une mère célibataire et la petite se trouva à devenir orpheline. Le grand coeur de Westley ne put qu’adopter ce bambin, ce qui contraint Jay à devoir accepter de jouer le rôle d’un père si il souhaitait retourner avec elle. Pourtant, Jayden n’avait jamais désiré d’enfant de son vivant, pourquoi maintenant ? Wellington eut finalement une bonne nouvelle, le groupe The Flamme accepta de jouer pour une soirée au Devil, ce qui mit le propriétaire dans une joie folle. Il organisa la soirée qui sembla se dérouler à merveille sauf que il constata que Amy était présente tout comme Holly. Le combat ultime avait-il pensé, mais non, elles semblaient même copine ? C’était quoi cette putain de joke avait-il pensé à ce moment-là ! L’homme laissa cette impression de coté lorsque l’incendie prit. Le feu jaillit de partout et cette catastrophe ne détruit pas seulement son commerce, mais beaucoup de gens et de vies. Jayden avait déjà supporté un accident de voiture la semaine d’avant, il n’avait pas besoin d’une brûlure en plus pour venir compléter son malheur. Le brunet avait tout perdu, surtout que l’accident de voiture avec Julia lui avait fait acheter une Camaro jaune vif payé une petite fortune. Au moins, il y avait les assurances, mais lorsqu’il obtenue une réponse, ce n’était guère à quoi il s’attendait. La moitié de la somme espérée allait lui-être redonner, Holly lui proposa finalement de payer la somme manquante et devenir la Co-propriétaire du futur resto-bar : The Devil’s Tail. Jay accepta avec joie et la construction se fit. Pendant ce temps, les médicaments prescrits par son médecin le rendit dépendant. Il en prenait beaucoup plus que demander et lorsqu’on lui coupa sa prescription, il visita directement les vivants pour aller en dérober chez les pharmacies un peu partout sur Terre. À présent, Jay avait bien caché son jeu, mais ce matin-là, lorsqu’il se réveilla et déjeuner, un mal de dos lui vint aussitôt. Il alla prendre ses calments, mais Holly débarqua chez lui en panique. Madame Connely, leur grosse et répugnante voisine et gardienne n’était pas disponible pour garder Leslee et la belle rousse avait un rendez-vous très important qu’elle avait omis de dévoiler au brunet. Il devait donc s’en charger pour l’avant-midi. Encore une merde en plus, Wellington avait peut-être accepté le faire de vivre avec elle, mais de là à faire le gardien, il ne savait pas si il en serait capable. Elle lui proposa de l’amener un peu prendre l’air en ville ce qu’il fit après avoir prit ses médicaments. Il l’installa convenablement dans sa poussette et prit chemin vers le parc, mais rendu là-bas, il constata qu’il y avait beaucoup trop de bruit et de petits enfants hurlants et courant dans tous les sens, il se décida alors d’aller directement au Coffee Pub s’acheter une boisson pour passer le temps. Il entra alors dans le petit café et se commanda un cappucino. Le brunet s’installa sur un banc et le but, observant l’enfant avec un sourire idiot.**

Reste calme et tu pourras peut-être manger un truc en revenant à la maison !

**Le brunet berçait tranquillement le berceau pour finalement s’écraser contre le banc du café. La salle était presque vide mise à part un vieil homme assit au comptoir et le serveur.**

C'est un véritable plaisir de vous lire vous avez pas idée **______________**

-----

The Secret Circle 20
Supernatural 50
Dawson 20
Dr. House 2
Heroes 8