♫ JE SUIS : ♫ J'AI : 31 ♫ ACTEUR DEPUIS : 18/08/2011 ♫ NOMBRE D'ÉPISODES : 1321 ♫ JE SUIS NÉ LE : 03/01/1993
Sujet: Re: Copier / Coller Mar 18 Oct - 0:36
autre texte ^^
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Sous ce chapeau, que je ne portais que pour cacher des armes frontales, je cachais ce bandage, cette chose qui dissimulait cette hémorragie qui m‘avait plongé dans le coma durant deux jours. Ce calvaire avait été terrible, et je le subissais encore, en étant diminué justement par sa présence. Duran ma convalescence, j‘étais coincé ici, au sein du Serenity, sous l‘initiative d‘Amaranth lui-même. Voir à quel point il se souciait de mon état me touchait, mais je détestais le fait de rester coincer ici. Ne plus pouvoir bouger et fonctionner comme avant, me frustrait, car c’était comme si on me coupait l’herbe sous le pied. Je ne pouvais plus être moi, car je fonctionnais uniquement sous l’aide que je pouvais apporter. Ne rien faire me faisait autant souffrir que ma blessure physique. En gros, je n’étais plus rien.
Malheureusement, je venais de provoquer de l’inquiétude en Taylor à présent. Elle était au courant pour une partie de la vérité, car elle ignorait encore ce qui m’avait fait subir cela, et donc le coma dont j’avais été la victime. Rien que le fait de songer à lui dire m’attristait d’avance car, au fond, j’avais conscience d’une chose. J’allais la faire souffrir, c’était évident, mais malheureusement le fait de lui cacher n’était pas la meilleure solution, car l’inquiétude allait être largement pire dans ce cas là. Je ne voulais pas qu’elle subisse cela. Je ne voulais pas qu’elle vive un calvaire personnel rien qu’à elle. J’avais peur pour elle.
Mais je devais parler…
- Ces scientifiques n’arrêtent pas de me pourchasser, et je dois sérieusement me démener pour pouvoir leur échapper. Le fait d’être forcé à rester coincé à l’intérieur de cet endroit, est une sorte de période de répit. Pour fuir, je suis obligé d’utiliser énormément mes pouvoirs, mais à un point beaucoup trop important. Il y a quelques jours, j’ai atteint un point de non retour. Nathan était là, je venais de le trouver, mais ces scientifiques m’avaient aussi retrouvé. Ils venaient pour moi, et ils devaient fuir, alors j’ai utilisé mes pouvoirs, et cela a mal fini, très mal fini.
Mes yeux étaient de nouveau redirigés vers le sol, car je savais que le fait de parler de mon coma allait être inévitable.
- Après cela, un saignement inexpliqué est apparu, sur ma tempe, d’une manière beaucoup trop brusque. Même à l’hôpital ils n’ont pas su ce que j’avais. J’ai même eu de la chance de m’en être sorti selon eux.
*une grande chance…
- Pendant deux jours après cette histoire que je te raconte, je suis resté dans un profond coma, pétrifié dans ma douleur. J‘ai vécu un sérieux calvaire et personne ne s‘en est rendu compte. D‘un point de vue extérieur, je dormais, alors qu’en réalité, je ne faisais que crier à l‘intérieur de moi-même. Personne ne m‘entendait…personne. Je n‘en pouvais plus. Je ne voulais que de l‘aide…c‘est tout…mais je n‘ai rien eu.
*ne pleure pas…*
- Le pire c’est que ce n’est pas fini. Après mon réveil, je saignais encore, alors je ne suis pas complètement guéri, et c’est bien ce qui m’inquiète. J‘ai peur Taylor. J‘ai sérieusement peur.
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♫ JE SUIS : ♫ J'AI : 33 ♫ ACTEUR DEPUIS : 03/08/2011 ♫ NOMBRE D'ÉPISODES : 2246 ♫ JE SUIS NÉ LE : 04/03/1991
Tout ce que remarqua la rouquine en ouvrant lentement les yeux fut ; 12:00 marqué de rouge, clignotant sur son réveille-matin qui n’avait visiblement pas sonnée deux heures auparavant. QUOI ?! S’écria alors la belle rousse tout en poussant d’un bon les couvertes qui l’ensevelissaient chaudement. Mais merde ! S’exprima à nouveau la récente propriétaire du Devil’s Tail, nouvellement reconstruit. Holly s’empressa donc de se bouger, mettre les deux jambes d’un seul et unique coup au sol, se gelant les orteils contre le plancher froid de sa chambre à coucher plongée dans la pénombre. Leslee… s’interrogea mentalement la jeune mère tout en ouvrant rapidement sa porte préalablement fermé pour lui procurer un tantinet peu d’intimité, seulement aucun son ne provenait du reste de l’appartement… Soucieuse, la rouquine se laissa choir sur son matelas bien dur pour finalement enfiler une paire de bas qu’elle trouva sur sa commode principale. Lee ? S’exclama la jeune femme tout en s’approchant de la salle à manger pour y jeter un coup d’œil circulaire ; pas de mini rousse… Elle rebroussa donc chemin puis entra dans la petite chambre teinté de rose bonbon. C’était le calme plat, pas même un son ne s’échappait du logement de la nouvelle gérante du bar. Mais qu’est ce… Holly fronça les sourcils ; où était-elle passée encore ? Puis un sentiment de panique s’envouta en elle, avait-elle réussit à ouvrir la porte de l’entrée ? Si c’était le cas, peut-être était-elle en danger ? Complètement paranoïaque, Mai s’élança, pour ne pas dire jeta contre la porte de bois qui lui servait d’seuil ; le loquet était toujours présent, aucune marque d’infraction ne lui sautait aux yeux… pourtant Leslee manquait toujours à l’appel et cela agaçait franchement la rouquine encore endormi, mais nerveuse… Seulement enfin quelque chose lui sauta en plein visage ; une feuille replier sur elle-même apparaissait sur le comptoir lunch de la salle à manger. Quelque peu décontractée Hol s’y approcha, l’agrippa et en lu rapidement le contenu ; Reposez-vous, Leslee est à la maison, signé Mme Connely. Holly soupira ; Putain, tout ce qu’elle veut c’est mon argent, ouais ! Simplement elle fut contente de ne pas avoir à aller la supplier de la prendre sous son aile alors qu’elle était visiblement en retard pour le boulot. Retard… merde ! Songea la rouquine qui oubliait carrément qu’elle avait déjà pratiquement deux heures de retard. Telle une athlète, Westley accouru à sa chambre puis s’empara d’un jean qui trainait sur le coin de son lit, l’enfila à toute vitesse, frôlant de près une chute suite à un manque d’équilibre. Elle fit ensuite de même avec un t-shirt blanc qui abritait le rebord de sa fenêtre depuis plusieurs jours, mais qui sentait toujours frais ; depuis l’arrivée de Leslee, le ménage en avait pris un coup, seulement elle se félicitait de ne pas être devenue aussi bordélique que son idiot de petit ami qu’elle s’apprêtait à téléphoner. Nerveusement elle empoigna son téléphone cellulaire, composa le numéro du brunet puis actionna la cafetière alors que les sonneries résonnaient dans son oreille droite. Jayden, ouais excuses moi, la voisine n’a pas cru bon de me réveiller…ouais ouais j’arrive ! S’expliqua alors la femme tout en replissant son bug du liquide chaud qui venait de couler dans le bocal de vitre. Enfin elle raccrocha son appareil puis se dirigea vers le salon où elle fouilla le canapé afin de retrouver ses clés, objets drôlement amusant pour la mini-rousse qui avait un plaisir fou à les lui cacher. Une fois les pièces de métal en main, la rouquine se projeta à la porte pour ensuite refermer aussi rapidement qu’elle avait ouvert.
Non, non nonnnn… Se répétait alors la jeune femme tout en courant vers l’arrêt de bus qui arrivait au loin, heureusement Holly eut le souffle et le temps de s’y rendre avant qu’elle ne reparte aussitôt. Soulagée la rousse s’appropria une place, puis soupira énergétiquement. Sa journée avait mal commencée… à quoi ressemblerait sa soirée ? Franchement elle se le demandait, seulement quelqu’un vint la tirer de ses pensées ; heuu, oui va s’y. Dit-elle machinalement tout en retirant son sac à main de sur le seul siège libre de tout l’autobus. Ce n’est que par la suite, une fois la jeune femme assise à ses côtés qu’une cloche résonna enfin; Holly connaissait ce visage.
La dévisageant sans gêne, Holly Mai fronça les sourcils. Bingo ; elle savait pourquoi se visage lui était familier, devait-elle l’aborder ou simplement laisser passer ? Seulement elle eut l’envie soudaine de se défouler un peu, il y a avait longtemps qu’elle n’avait pas eu la chance de se laisser aller un peu, avec Lee s’était impossible. C’est toi qu’j’ai vu avec ce Jared au show de «The flames», pas vrai ? S’étonna alors la rousse tout en tournant délicatement sa tête en direction de la brunette, attendant inévitablement une réponse positive de sa part; elle était certaine de reconnaître ce visage, elle était si jeune et lui si… Holly ne savait comment décrire Red, il était tellement egocentrique et… blasé.
Iracebeth
♫ JE SUIS : ♫ J'AI : 34 ♫ ACTEUR DEPUIS : 17/08/2011 ♫ NOMBRE D'ÉPISODES : 6829 ♫ JE SUIS NÉ LE : 15/10/1990
Que de beaux textes de RP *_______________* Gally je suis toujours aussi fan Doriane, j'adore tes textes
------ "La vie n’a qu’un seul début et qu’une seule fin. Entre les deux, il y a plein de possibilités et je vous aime trop pour vous laissez les gâcher."
Fictifs-Therapy
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"Nous sommes comme le ying et le yang. Il est reversant. Il rend ma vie incroyablement plus agréable à vivre. Il est juste génial. Je suis son protecteur pour toujours et je suis l’homme le plus heureux du monde lorsque lui est heureux." Neil Patrick Harris
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Sujet: Re: Copier / Coller Mer 19 Oct - 1:54
maaaaarchiiii beaucoup ^^
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Cette inconnue était toujours devant moi, une arme pointée vers mon visage. Il était évident de comprendre que cette pincée de confiance, que je voulais obtenir en elle, dans le but qu’elle puisse arrêter de se méfier de moi, était toujours absente, et que je n’allais probablement jamais en voir la couleur. J’avais beau essayer de lui faire comprendre que je n’avais rien de méchant, elle ne me croyait pas. Le côté destructeur des spéciaux était toujours évident pour elle, alors que je tentais de lui prouver le contraire. Tout était flagrant alors : elle avait vécu une mauvaise expérience.
J’ignorais la nature de cette expérience, qui avait bien pu secouer l’esprit de cette femme, mais il était simple de comprendre que ce n’était pas rien, et que cela l’avait probablement traumatisée. La perte d’un être pouvait définir l’explication de son état, et c’était bien ce que je craignais. Raisonner quelqu’un ayant subi une chose pareille n’était pas une partie de plaisir. J’avais essayé de le faire à plusieurs reprises la semaine dernière et, par six fois, j’avais été blessé, soit par pouvoir, soit par arme, souvent une arme à feu comme un pistolet. Et par six fois, je m’en étais sorti, bien vivant, avec cette lumière bleue qui m’avait guéri, encore et toujours.
Maintenant, j’avais un mauvais pressentiment. J’avais en effet l’impression que j’allais terminer dans le même état, et en plus face à une humaine. Oh génial ! Cette chance que je n’avais pas non de Dieu.
- Écoutez, je n’ai rien de méchant, et je ne serais pas du genre à vous tromper. Je ne fais pas semblant d’être gentil car au contraire je suis gentil. Je ne vous veux aucun mal. Si j’ai fait ce que j’ai fait, c’est uniquement pour vous aider, et il n’y a aucune arrière pensée derrière toute cette histoire, je vous l’assure.
Dans ma tête, je n’arrêtais pas d’espérer que cette jeune femme puisse m’écouter, et comprendre qu’elle n’avait rien à craindre avec moi, mais j’avais l’impression que c’était perdu d’avance. Au fond de moi-même, le pressentiment dominait encore, et je savais que cela allait mal finir. Je le sentais…sans cesse.
Voilà…l’extrémité fut atteinte. Par un réflexe rapide, elle venait d’appuyer sur la détente, et la balle traversa mon corps de part en part, pour me laisser sur le sol. Je conservais cette position pendant un moment, avant que la lumière bleue ne se mit à fonctionner, et à me ramener. J‘étais guéri mais, il fallait l‘avouer, que j‘en avais un petit peu ras le bol de me faire blesser parce que les gens ne croyaient pas en ma gentillesse ! Je me retrouvais toujours sur le sol…toujours…
Je me redressais peu à peu, et la vis, tournée vers moi, un regard bercé par la surprise, logique quand elle croyait qu‘elle m‘avait tué.
- Et maintenant, qu‘est-ce que je vous inspire ?demandais-je
Je reprenais mon souffle parce que, quand même, se faire tirer dessus sept fois, la même semaine, cela faisait un peu beaucoup.
.theperfect'cupcake.
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Bonjour, je voulais simplement me renseigner, vos chiens sont-ils à temps plein à l'extérieur ou rentrent-ils par moment dans la maison, sont-il éduqués ? merci beaucoup muhahah m'a me faire tapper sur les doigts si gomme voit ca XD
vala29
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Ma candidature ♪ PRÉNOM:: Marion ♪ SÉRIES PRÉFÉRÉS:: ♪ STARS PRÉFÉRÉS::
Sujet: Re: Copier / Coller Mer 19 Oct - 10:48
HotPink
Gallifrey's Madness
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Sujet: Re: Copier / Coller Mer 19 Oct - 20:16
RP d'amouuuuur :
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Pour une rare fois dans ma vie, je pouvais dire que le bonheur me souriait enfin, pour que je puisse profiter de sa saveur, et dire que j’étais amoureux, amoureux de cette belle blonde qui se trouvait juste devant moi. Rachel était devenue importante à mes yeux, au point de définir mon essentiel, quelque chose qui fixait mon sourire dans une existence logique.
Désormais il était évident que je ne pourrais jamais supporter le fait de la perdre…alors que j’avais tant attendu l’instant où je pourrais enfin revivre ce sentiment merveilleux : l’amour. Ce sentiment rafraichissait mon âme : cette bouffée d’air frais que je disais ressentir en étant avec elle. Rachel me rendait ainsi : un homme meilleur, et qui était en plus capable de sourire en étant extrêmement sincère. Et, pour être honnête, je me préférais largement ainsi, car j’en avais assez de vivre dans une sorte de désespoir constant, tout en étant conscient que ma tristesse me tuait petit à petit, et effaçait toute trace de bonheur. Avec elle, je retrouvais tout ce qui me manquait, et pour rien au monde je ne pourrais quitter ces superbes sentiments.
Quand Rachel me parlait, je pouvais très bien percevoir le ton si triste de sa voix. Elle avait beau ne verser aucun larme, j‘entendais quand même le complet opposé dans son discours. Mais, au fond, je la comprenais, car j‘adoptais en fait le même ton, sans pleurer ce qui était plutôt étrange. La tristesse des paroles n‘avait qu‘une seule source.
Je ne voulais pas partir. Pour l‘instant, je savais que ce que je vivais était, en quelque sorte, un temps de répit, pour revivre ensuite la course poursuite qui m‘épuisait tant. J‘en avais assez, car je ne voulais pas trahir ma volonté : je ne voulais pas partir, et surtout laisser cette ange que j‘aimais ! Maintenant que j‘avais trouvé une bonne raison de vivre, pourquoi devrais-je encore courir ? Pourquoi devrais-je encore fuir, alors que ma source de bonheur était là ? Ceci n‘avait aucun sens…aucun.
- Moi non plus je refuse de voir ce moment s’arrêter, car cela m’a permis de prendre conscience de beaucoup de choses, en seulement quelques instants. Je ne souhaite plus fuir, ni gâcher les moments les plus importants de ma vie, notamment ces instants magiques que je peux passer avec toi. Jamais je ne pourrais m’en aller, et rester séparé de toi aussi longtemps, pas pendant des mois…c’est impossible. Mes sentiments sont beaucoup trop forts pour rester muet pendant des mois. Je ferais attention à moi, je te le promets, mais il est hors de question que je me sépare de toi pendant si longtemps. J’ai réussi à me redécouvrir avec toi, alors ce n’est pas pour me reperdre de nouveau. Je ne veux pas. Alors je ne mourrais pas, je ne m‘échapperai pas aux quatre coins du pays, parce que je reviendrai toujours. Jamais je ne pourrais m‘absenter plus d‘une semaine sans te voir. Une semaine sans toi…ce serait dur je le pense…
Aucun sommeil n’était parvenu dans mes yeux, dans cette espèce de nuit blanche. Le sommeil s’était enfui, comme si mon corps avait déjà fait son choix, comme si ma conscience avait déjà décidé qu’il valait mieux être heureux que de dormir et rester passive. Mon esprit préférait la magie de l’amour…et je le comprenais.
Iracebeth
♫ JE SUIS : ♫ J'AI : 34 ♫ ACTEUR DEPUIS : 17/08/2011 ♫ NOMBRE D'ÉPISODES : 6829 ♫ JE SUIS NÉ LE : 15/10/1990
Je suis flippée pour le premier et complétement gaga du second *___________________* J'aime trop !!!!
----- Tiens ça sera un texte pour moi aussi cette fois comme je viens de poster un chapitre
Amorphe. Inconscient au monde qui nous entoure, on croit parfois que tout va bien, que la Terre a arrêté de tourner. Combien de personnes, ont eu envie de mourir pour ne jamais se réveiller ? Cela n'a jamais été mon cas. Et je doute que ce soit le sien. Les sensations ont parfois plus de poids que les mots. Alors, non la Terre n'a pas arrêté de tourner sauf peut être ...
" Projetant Mac sur le trottoir en face, ce fut à peine si je sentis le choc. Tout se passa très vite. J'entendis un crissement de pneus et un choc métallique. Je sentis quelque chose de dur et de froid aussi bien sous moi que sur. Je fermais les yeux. Des cris paniqués me parvinrent. A peine. ils étaient confus. Quelque chose de chaud toucha mon front. Un murmure à peine audible vînt à mes oreilles. D'un léger hochement de tête, j'approuvais une question que j'avais juste perçu. Puis avec une douceur que je n'aurais jamais cru possible, je fus soulevé du sol. L'air froid frappa mon visage que je sentis ensanglanté. J'entendis au loin des paroles, des indications. Une voix forte, puissante, assurée. Des ordres. Puis des cris paniqués, ceux d'une femme. Celle de la voiture ? Je sentis du mouvement. L'air frais qui frappait mon visage. Quelques minutes plus tard, ou peut être plus, je sentis sur moi, la chaleur d'une salle. L'odeur m'était familière, bizarre... La voix profonde ordonna de nouveau. Une porte s'ouvrit. Des pas résonnèrent, une autre porte s'ouvrit, se referma. Les mouvements se poursuivirent. Nous avions changé de pièce. Une voix familière me vînt aux oreilles et une autre porte, encore et toujours des portes. Mais où étions-nous ? On me déposa sur un bois froid, je me débattis. A peine. Des mains vinrent se joindre à mon visage et je me calmais. On me posa une question, je ne répondis pas. Je n'y arrivais pas. On me demanda autre chose, je bougeais un peu. J'entendis une exclamation inquiète mais je ne pus y réagir. Des pas s'éloignèrent et revinrent. Un tissu glacé toucha mon front et je me débattis. Le froid cessa aussitôt puis il revînt. Mais doucement, léger, presque appréciable. Je me détendis. On bougea mes jambes, je sentis des douleurs mais ne réagis pas. On détacha mon vêtement, je paniquais. Une main vînt me calmer, son contact était imperceptible et pourtant tellement agréable. On détacha à nouveau mon vêtement mais tellement plus doucement, avec fragilité, je le sentis à peine. Quelque chose de chaud m'effleura, mon cou, ma gorge, mes épaules et le haut de ma poitrine, mais il ne descendit pas plus bas. J'en fus soulagé. On m'étendit entièrement, s'occupa de mes bras, de mes jambes. Je me laissais faire. Cela aurait pu durer des heures, des minutes, je n'avais plus aucune notion du temps. Puis tout se termina et la main revint. Je me souvins alors juste d'une voix qui me conseilla de dormir.
Lorsque je me réveillais, je n'avais aucune conscience de ce qui avait pu me mener là. Je me concentrais, paupières toujours closes, sur ce qui m'entourait. Mon toucher était tiède. Mes membres semblaient engourdis mais en bon état. Mon nez perçut des odeurs familières, une plus que les autres, à laquelle je n'aurais pas pour autant donné un nom. Mes oreilles perçurent des murmures, éloignés, peut être dans une autre pièce. Retrouvant peu à peu mes esprits, j'ouvris lentement les yeux. Un plafond blanc, lumineux m'apparut. Je clignais des paupières puis tentais de bouger, d'abord mes doigts. Ils répondirent présents. Je levais la tête, lentement, elle était lourde mais ça allait. Je la reposais et la tournais afin d'observer le reste du lieu où je me trouvais. Une partie de cette pièce était vide, seulement une porte. Je me tournais de l'autre côté. Assis sur une chaise, calé sur une table, occupé à une tache que je ne discernais pas, je le reconnus. Reykjavik VanHeidkrüger. Il était superbe. Peu à peu, les souvenirs me revinrent. Mac, la voiture, l'accident, le choc, les lumières, les cris et ... Je repris conscience et par la même m'assit brusquement, trop brusquement. Roy se tourna vers moi, avant de s'approcher. Inquiet, il m'obligea à me calmer et à faire doucement. Paniquée, je lui demandais des nouvelles de notre petite Mac. Il sourit et me répondit que je n'avais aucune raison de m'inquiéter, qu'elle allait bien, que tout le monde allait bien et que je devais d'abord me soucier de moi. Puis tout doucement, il me demanda comment je me sentais. Étourdie et rassurée, je me concentrais. Avais-je mal quelque part ? Non, hormis la tête qui me tournait. Je lui dis que tout allait bien. Il plongea son regard dans le mien. Le décor autour n'eut plus aucune importance, ni même moi. Je hochais la tête, puis il se détacha de moi, apparemment convaincu. J'étais sereine. Il m'annonça qu'il revenait tout de suite et sortit par la porte. Des cris de joie et de soulagement me parvinrent. Je souris. Quel jour étions-nous ? Roy revînt vite, comme promis. Il s'approcha de moi et me demanda si je pouvais me lever. Je posais mes pieds au sol et doucement quittait la table. Je fis quelques pas prudents et approuvais. Il parut satisfait. Il me dit qu'il m'aiderais quand même un peu et qu'il était temps de rentrer. J'approuvais à nouveau et lui demandais combien de temps j'étais restée ainsi. Il me répondit qu'à sa grande surprise, la nuit avait suffit avec une bonne partie de la journée. Il était dix-sept heures. Je fus soulagée, lui surpris. Je m'avançais vers la porte où il me rejoint en me laissant marcher seule avant de me rattraper, il sourit et m'aida à poursuivre. Il me demanda comment je me sentais et je lui répondis que seule ma tête posait problème. Il approuva puis m'aida à ouvrir la porte. Une fois de l'autre côté, je pus à peine voir ce qui s'y trouvait que j'avais déjà quelqu'un sur moi. Je reconnus vaguement une de jumelles puis les deux. Elles étaient très joyeuses et j'en fus touchée. Elles me lâchèrent enfin et je pus voir les autres. Ethan et James parurent sincèrement soulagés et j'en fus une nouvelle fois touchée. Dire que l'on ne s'était jamais inquiété pour moi ... Ayana et Sae me sourirent et je vis enfin Mac, elle avait l'air de bien se porter. J'en fus profondément rassurée. Puis dans le mouvement, nous arrivâmes dehors. Le soleil me frappa au visage mais je l'appréciais, surprise. Il n'y avait pas encore eu de soleil à New York depuis notre arrivée. Je me retournais. Nous étions finalement revenus au bar. Près de l'entrée, je reconnus Bob dans l'ombre en conversation avec Roy puis il partit. Le jeune allemand nous rejoint et invita à monter dans une voiture, sortie de nulle part, les autres accueillirent la chose avec enthousiasme. Il nous fit monter. Le véhicule était vaste. Mais à peine, avions –nous le temps de l'observer en mouvement qu'il s'arrêta. Les jumelles transmirent les réactions des autres «Déjà ?» Roy se contenta de sourire et de sortir de la voiture. Nous étions arrivés. Nous sortîmes les uns après les autres. Kennedy ne pus s'empêcher de demander si nous reprendrions la voiture. Il éluda. Nous entrâmes dans le grand bâtiment que nous faisait face. N° 613. Nous étions arrivés. "
Gallifrey's Madness
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Sujet: Re: Copier / Coller Mer 19 Oct - 20:44
awwwwwwww superbe texte ^^
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Castle 2 The Secret Circle 17 Supernatural 41 Dawson 20 Dr. House 10 Heroes 10
Iracebeth
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Showtime est un forum de séries télévisées vous permettant de comparer vos goûts,de partager vos potins et bien entendu pour vous faire découvrir de nouvelles ou d'anciennes séries. Sous une ambiance chaleureuse, nous vous invitons à nous rejoindre. Divers activités vous attendent. Des combats de séries, de personnages, des concours graphiques, des fiches descriptives sur divers sujets, des sondages et des jeux.
Nos acteurs ont tournés X épisodes Nous avons X cinéastes enregistrés Le personnage enregistré le plus récent est X Vos administrateurs sont doriiann'ee ♪ & gommeamacher Ouvert le 08 Août 2011
Iracebeth
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On ne pouvait guerre qualifier Jared comme étant un home chanceux. En effet, cela faisait quelques jours qu’il enfilait le costume de Faucheur et pourtant, une seule affaire lui avait été attribuée. Il se souvenait parfaitement de sa première fois, il s’était pointé à toute vitesse sur une route d’une immense ville pour repêcher un cadavre, mais un lèche-cul l’avait envoyé balader, prétextant qu’il l’avait vu en premier et du fait même ; premier arrivé, premier servie. Jared se souvenait la pulsion qui s’était emparé de lui lorsque l’homme plutôt fendant lui avait dit de dégager, non cette scène n’était pas de toute merveille, seulement il se souviendrait toujours de son premier jour de boulot, bon ou mauvais, comme s’en avait été le cas. Il avait par la suite compris qu’il lui fallait mettre les bouchées doubles pour gagner un mort, ce qu’il avait fait; oui, cela avait porté ses fruits, Jared avait bel et bien eux un cadavre à monter sur Skyline, seulement ce dernier n’avait pas été des plus coopérant… la guerre s’était pratiquement installé entre les deux hommes caractérielle, Red avait même songer à quitter ce boulot dévalorisant, seulement son métier de garagiste ne ferait que lui rappeler sa vie d’avant, ce qu’il ne tenait pas à mettre en lumière. Le trentenaire s’était donc motivé à garder confiance, à croire qu’il devait à quelque part dans ce vaste monde avoir des gens plus…compréhensifs que ce foutou Stanley et qu’il pourrait finalement exercer en toute tranquillité. Hm, hm…tranquillité, justement le mot qui vint à l’esprit du grand faucheur… Un peu plus tôt ce matin-là, un message texte s’illumina sur son bipper ; Heureux d’enfin bouger un peu, Jared s’était précipité à Rainforest, ville ou village ( car Red ne s’y connaissait alors vraiment pas en géographie ) pour répondre à l’appel.
La maison semblait déserte, inerte et macabre, un cas intéressant, ce disait le brunet tout en affichant un sourire en coin sur son visage barbu. Confiant il approcha enfin des lieux, jetant un coup d’œil par-ci par-là, vérifiant qu’il était l’unique faucheur sur la scène de crime, puis entra sans se gêner dans la petite et lugubre maison.
Une odeur âcre empoigna ses narines sensibles, suivit d’un haut le cœur. Dégueulasse ! S’écria donc le brunet tout en posant son avant-bras sur son nez et sa bouche, de manière à empêcher les mauvaises odeurs de lui faire subir plus de dégâts qu’ils n’en avaient déjà causés.
Continuant d’avancer, quelque chose vint le faire sursauter, mettant son cœur d’homme cadavérique en chamaille; nul autre qu’un chat venait de bondir de sur le meuble d’appoint qui habillait le long et étroit couloir de la demeure en ruine…puis un second et puis encore un autre. En effet, cela faisait à peine deux minutes qu’il avait franchi la porte et déjà trois chats s’étaient présentés… Souhaitant de ne pas tomber nez-à-nez avec une panoplie de minet affamés, Jared s’exécuta, passant à la vitesse supérieur. Il s’était donc dépêché à trouver le fameux corps, qu’il trouva...très rapidement. L’horreur à l’état pur.
Red en laissa même échapper un juron de sa gueule qu’il tenait à garder caché. Que ce passait-il ? Oh…rien de bien intéressant, simplement une vieille dame en robe de nuit, étendu sur le sol… non rien de bien traumatisant, c’était plutôt le reste de la scène qui foutait la chair de poule. Vite fait, Lee compta vingt-six chats, oui oui, vingt-six et cela sans compter ceux qui ne cessaient de se déplacer par crainte de se faire attraper probablement. La trentaine de chats miaulait donc devant l’homme terrifié et dégouté; il y en avait carrément partout, sur la dame décédé probablement par un manque d’hygiène, sur la table base, même sur la télévision qui ne faisait que sauter depuis son arrivé. Zachary en eux des vertiges, il lui fallait maintenant trouver cette femme et au plus vite, il ne pourrait rester trente secondes de plus dans cette maison répugnante, c’en était trop pour son petit cœur de mécano.
Heureusement pour lui, la femme grisonnante n’était pas bien loin, il lui avait suffi de traverser la salle à manger pour la voir agenouillé par terre, caressant l’un de ses nombreuses boules de poils, n’hésitant pas à coller ses lèvres sur la fourrure crasseuse. Merde grand-mère c’est carrément abject ! S’indigna alors le trentenaire en s’approchant. La femme ne réagit pas même aux dire du faucheur hors de lui. Il resta là, à le supplier de lâcher ses foutus chats pour le suivre, seulement elle tenait mordicus à rester là, pour le restant de sa vie ET de sa mort. Compréhensif, mais surtout à bout, Jared ficha le camp au plus vite. Pussycat Mom, ouais ! soupira le trentenaire en s’avança vers la route de gravier.
Une seconde maison se perchait sur une petite colline, un peu plus haut sur le chemin, habituellement Red s’en se serait contrefiché, simplement quelque chose l’attira dangereusement… suivant son instinct, Red se mis en marche, gravitant la cote comme si de rien n’était puis posa enfin son pied sur le terrain vague de cette ravissante demeure. Wouah la classe ! S’exprima Zach tout en hochant positivement la tête, effectuant une drôle de moue.
Une voiture s’apprêtait à quitter les lieux justement, allait-il savoir pourquoi son subconscient l’avait conduit jusque là ? Jared n’eut pas même le temps d’y songer qu’un bruit assourdissant imbiba ses oreilles; un bourdonnement incessant résonnait un long moment avant que le brunet ne comprenne réellement ce qui venait de se produire juste là, sous ses yeux de faucheur. Des flammes jaillissaient de tous les bords, il crut un instant qu’il ne s’agissait d’un simple tour de passe-passe, sorti tout droit de son imagination débordante, seulement lorsqu’il vit un petit garçon accourir vers un second homme, son cœur se serra dans sa poitrine; Il venait d’assister à la première d’une explosion… Lee sentait toujours son cœur battre dans ses tempes, ses mains tremblaient sous la pression; heureusement qu’il était mort depuis déjà belle lurette, sinon il n’y avait aucun doute il y aurait laisser sa peau.
Il mit un moment à se ressaisir, à comprendre qu’il était justement là pour ces genres de cas…c’était simplement l’enfant qu’il l’avait mis K.O… voir un petit homme mourir l’attrista, seulement il n’avait pas le temps de se laisser avoir par ses souvenirs de jeune bambin. À toute vitesse Jared s’accouru vers le duo père-fils.
Hey… commença alors le faucheur, incertain. Hey, frissou ! S’impatienta Jared tout en fronçant les sourcils, seulement encore une fois les deux victimes de l’accident ne semblaient pas l’avoir entendu…étaient-ils réellement morts ?
Gallifrey's Madness
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Sujet: Re: Copier / Coller Jeu 20 Oct - 2:24
de la lecture
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Après une semaine plongé en enfer, je ne pensais pas devoir surmonter un nouveau souvenir, réputé comme étant trop terrible pour être encore présent dans la tête d’un être humain.
Le souvenir de mon enfant demeurait encore très fort dans ma tête, à chaque seconde où je pouvais voir Arthur, et retenir mes larmes demeuraient de plus en plus compliqué. J’y parvenais encore, par miracle, mais j’ignorais malheureusement combien de temps j’allais bien pouvoir tenir dans cet état de peine largement retenue. Je n’étais même plus sincère avec moi-même.
Quand je vis Rexia coincée là où elle se trouvait, aucun rire ne sortit, simplement parce que j’avais vécu la même chose. Malheureusement, dans mon cas, rien n’était accidentel, bien au contraire. Dans ce même coin, d’où le fait que cela me rappelait des souvenirs, une mission m’avait été affectée, et elle n’avait pas été une partie de plaisir. Un spécial doté du don de télékinésie, avait perdu l’esprit et commençait à mettre la zizanie un peu partout dans le quartier. Bien entendu, parmi ceux qui pouvaient se trouver dans le coin, il avait fallu que cela puisse tomber sur moi. Affecté seul dans une mission que je pensais simple, j’avais réussi à mettre le spécial hors d’état de nuire, mais cela n’avait pas été sans égratignure, car le pourri avait osé m’éjecter…et vous connaissez la suite. J’avais été coincé à mon tour, le corps coincé dans cette bouche d’égout immondes, aux odeurs qui me donnaient envie de fuir.
Il me fallu un moment avant de pouvoir sortir, mais j’avais trouvé la technique. Pour sortir de cette bouche d’égout, il fallait chauffer le métal qui la constituait, afin de pouvoir suffisamment étirer sa surface pour parvenir à dégager mon corps. Ce que je fis, et ce que je réussis, malgré une espèce d’odeur étrange, qui faisait également disparaitre les mots capable de la décrire. Tout ce dont je me rappelais, c’était d’une espèce d’odeur de fromage, qui aurait tourné voilà de cela des semaines. Pour éviter de provoquer une quelconque réaction de dégout venant de votre part, la description allait cesser ici, et cela valait mieux comme cela, pour vous comme pour moi.
Rexia prit alors le temps de dégager sa patte de la bouche d’égout, après un peu de temps passé pour ma part à l’enflammer. En observant le trou, elle dit alors qu’elle espérait que personne ne tomberait là-dedans. Pour se faire, il fallait tout remettre en place, ce que je fis. Je pris le temps d’attraper le cercle, et le lançait pour qu’il puisse rester en place. Je le fis à distance, pour éviter de tomber moi-même à l’intérieur.
- J’espère aussi que personne ne tombera là-dedans car, pour y être tombé moi-même, je sais que c’est pénible. C’est en y tombant moi-même que j’ai compris comment il fallait faire pour sortir d’ici.
Rexia se tournait vers moi et me donnait un coup de langue sur ma joue, pour me remercier, et également me dire qu’elle allait se reposer.
- De rien. Je n’allais pas te laisser coincée là-dedans, alors que je sais ce que cela fait par moi-même. Repose-toi bien également. On sera prudent, ne t’inquiète pas.disais-je avec un sourire.
Je la vis s’éloigner sur ces quatre pattes en direction de la forêt, tandis que moi je revenais vers Arthur. Le regard perdu dans une tristesse terrible, j’étais conscient que le fait de rester avec lui, rien que pour m’assurer de sa sécurité, n’allait pas être une tache bien facile, et j’en savais quelque chose à la longue.
- Tu viens ? On va se coucher ?
- Oui, j’arrive. J’ai dit que je restais avec toi, et je le fais. Je respecte ma parole, sans te trahir.
- Merci Papa. Je vais te montrer où est-ce que l‘on peut dormir
Pa…pa ? Il venait de m’appeler Papa alors que je n’étais pas son père ? Était-ce mon esprit qui se faisait des idées ou bien quelque chose n’allait pas ? Je ne savais pas quelle solutions était la meilleure, mais cela devait forcément être l’une de celles-ci, bien que j’ignorais encore laquelle.
Alors que nous entrions dans la chambre d’ami, je me tournais vers lui. Il fallait que je lui demande.
- Pourquoi m’as-tu appelé Papa ?
- Je ne pensais même pas que tu l’entendrais. En fait, j’ai du dire cela parce que tu me rappelles qui il était. J’ai l’impression de le revoir en face de moi quand je te vois.
- Pardon…
- Tu n’as rien à te reprocher. Au contraire cela me rassure…enfin rassurait. C’était quoi ce bruit ?
Quelque chose était tombé dehors, ou bien quelque chose s’était cassé, mais ce bruit n’était pas anodin. Je pris l’initiative de sortir seul, mais je ne le restais pas longtemps, car Arthur ne put s’empêcher de me suivre. Nous étions à la recherche de la source de ce bruit, incapables de la trouver dans un premier temps. Mais que s’était-il passé ? Il ne s’agissait pas de Rexia, sinon nous l’aurions vus, mais qu’est-ce que c’était alors ?
- Papa, rentrons…cela me fiche la trouille…
- Tu as raison, rentrons…
Mais ce fut un peu tard. Quelqu’un de peu commode était là, mais je savais qu’il ne venait pas pour ma tête. Cela se voyait dans son regard. Contrairement aux scientifiques, qui m’avaient torturé, il me voyait pour la première fois. Il s’agissait d’un être à problèmes.
- Pars devant. Rentre d’abord. Je ne veux pas que tu souffres en étant ici avec moi.
- Non je ne veux pas. Je veux rester avec toi Papa. Tu es le seul qui me rassure depuis longtemps. Papa…
- Je te rejoins après. Je ne te laisserai pas tomber. Vas-y et sauve ta vie.
Le perturbateur sortait une large boule d’électricité, mais Arthur ne bougeait pas.
- Vas-y ! Maintenant !
Arthur commençait à se retourner pour pouvoir faire demi-tour et entrer dans la maison de sa mère, mais son mouvement se stoppa net, car le bruit de l’impact de la boule d’électricité se fit entendre.
- Papa !! Non !! cria-t-il avec une extrême violence, hauteur qui ne faisait même pas fuir le perturbateur, qui restait là pensant même menacer Arthur à présent.
En pensant revoir la scène que j’avais vécu dans mon passé, je venais de commettre une erreur. J’avais peur de voir Arthur décéder également sous mes yeux, comme lorsque j’avais perdu mon propre enfant. Je ne voulais pas revivre la même expérience, mais j’avais eu tort. J’avais eu largement tort malheureusement. Cela ne ressemblait en rien à la scène que j’avais vécu autrefois.
La preuve, celui qui se trouvait à terre n’était autre que moi.
- Tu ne toucheras pas à un seul de ses cheveux c’est clair ?
- Papa ne fais pas ça. Je ne veux pas te perdre toi aussi…disait-il d’un ton plutôt triste
- Ce type est fou, et il faut l’arrêter. Il est hors de question que tu sois blessé. Un exemplaire suffit.
Le perturbateur lançait ses projectiles vers nous, mais j‘eus le temps de permettre à Arthur, ainsi qu‘à moi-même de les éviter, en roulant sur le sol. Nous avions eu de la chance, mais cela s‘était joué à un cheveu près.
La deuxième chance allait-elle être aussi simple ? Probablement non, car ce type dirigeait déjà un truc vers nous, et j‘avais également du feu en main. Conscient que nous allions être touchés quand même, il fallait faire quelque chose.
Arthur me précédait bien que très hésitant, dans un cri qui était pourtant très clair. Il avait trouvé la même solution que moi. Cela me dérangeait un peu de la réveiller, alors qu‘elle devait se reposer, mais il était évident que nous n‘allions pas nous en sortir seuls. Je ne savais pas comment ce spécial faisait, mais son don électrique était très fort…trop fort.
Arthur criait alors, en priant pour qu’elle puisse l’entendre :
- Rexia !!
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Sujet: Re: Copier / Coller Ven 21 Oct - 0:21
et toi aussi tu l'es ^^ en plus t'es super gentille
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Contrairement à tous les préjugés, que les humains pouvaient adopter sur les loups, ils n’étaient pas tous féroces. À la base, je demeurais quand même humain, mais la bête était là. Pourtant, pouviez-vous dire qu’un visage tel que celui de ma forme animale, serait celui de la méchanceté ? Pouviez-vous dire que je souhaitais tuer quelqu’un, avec un regard aussi humain ? Non…car je n’étais pas comme ça. Je n’étais pas du genre à vouloir tuer quelqu’un, alors qu’il ne méritait pas de subir ce sort. Je ne voulais pas commettre une injustice, alors que je n’étais pas garant des crimes de sang. Mon corps de loup était certes doté d’un instinct animal très fort, qui me dominait très souvent, mais ma conscience avait encore suffisamment de force pour se battre.
Ce soir, aussi surprenant que cela puisse paraître, j’avais pris le dessus, en étant moi, simplement moi. Ce corps de loup n’était qu’une apparence physique, car la conscience de son regard n’était autre que la mienne. J’étais encore là, et j’allais rester là.
Après cette blessure, provoquée par quelqu’un qui m’avait mal jugé, je pensais resté allongé dans un coin de rue, dans mon sang, jusqu’au lendemain matin, où j’allais redevenir humain, mais j’avais tort. Ariel m’avait sauvé en utilisant une sorte de guérison sur ma plaie, et celle-ci avait disparu. J’étais libéré d’un large poids, mais je n’étais encore qu’une bête. Mon simple souhait serait de pouvoir lui parler, et lui dire tout ce que je ressentais en étant ainsi.
Malheureusement, je n’étais capable de faire que quelques bruitages, des couinements ou bien hurler à la lune.
Pourtant assise sur cette souche, Ariel était auprès de moi. Elle me demandait ce qui avait bien pu m’arriver, mais je ne pouvais pas lui parler. Au moins, elle me rassurait tout de même. Je n’avais pas le sentiment de partir dans une dérive profonde, et de me laisser submerger par l’instinct animal, qui avait l’air d’être en sommeil dans un coin de ma tête. Mais, elle me disait que je ne pouvais pas lui faire de mal, et ceci me rendait plus serein. J’étais certain de rester moi-même, surtout avec elle.
Il fallait que je puisse lui parler, bien que j’ignorais comment m’y prendre. Quelques secondes après, une idée me venait.
Je marchais sur mes quatre pas, poussant quelques fois des couinements de douleur, parce que je n’y arrivais pas très bien… Je levais alors l’une de mes pattes, afin d’utiliser mes griffes pour écrire sur le sol, écrire ce que je souhaitais lui dire.
Je venais de trouver un autre moyen de communiquer. Avec insistance, je parvenais à écrire des mots, pour former ce que je souhaitais lui dire.
« Il me prenait pour une bête féroce »
Dernière édition par Gallifrey's Madness le Ven 21 Oct - 0:21, édité 1 fois
gommeamacher
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Sujet: Re: Copier / Coller Ven 21 Oct - 0:21
Et pour faire monter la cause, ma réponse rp que je viens de faire XD
**Depuis qu’il était gamin, Jayden n’avait jamais résister à l’envie d’aller énerver les gens autour de lui. Soit avec de petites phrases énervantes ou bien par sa présence non désirée. Wellington n’était pas fanatique des ragots, mais il aimait bien se mêler de ce qui ne le regardait pas. Le brunet avait cette manie depuis toujours et ce n’était pas demain la veille qu’il pourrait l’arrêter. C’était sans même avoir réfléchis une seconde qu’il s’était avancé près du jeune inconnu pour lui balancer des propos moqueurs qui ne semblaient pas faire fondre de rire l’homme en question. Jayden perçut même une dose de dégout dans sa façon de répondre, ce qui le repoussa aussitôt. Wellington recula d’un pas, conservant tout de même un bref sourire sur ses lèvres. Il ne savait pas ce que l’homme allait ajouter, mais il n’avait pas envie de partir. Après tout, il était mort et lorsqu’il venait chez les vivants, c’était bel et bien pour errer, ce qu’il était amplement en train de faire. Cet homme avait du culot de lui demander de partir et de lui répondre avec autant de méprit. De toute manière, ce n’était pas le genre de chose qui faisait peur au brunet. Il leva les sourcils en se mordillant la lèvre du bas, amusé plus qu’autre chose par la situation.**
Non, mais on se calme Johnny ! Je voulais pas te faire monter les nerfs à bloc ! Je suis là pour sympathiser, Peace mon gars ! Tu es vraiment trop tendu ! Je connais une bonne massothérapeute ! Elle a peut-être un duvet trop prononcé, mais je te le dis, ces doigts, c’est des bâtons magiques !
**En même temps qu’il concluait sa phrase, le barman leva les bras pour faire bouger ses doigts tels des serpents dans un pot. Le brunet poussa un grand rire et tapota l’épaule de l’homme devant lui. Bien que cela l’aille fait rigoler un peu, cela ne semblait pas être le cas de son interlocuteur qui semblait dur comme fer vouloir qu’il dégage le plus rapidement possible. Wellington avait toute la vie devant lui, il n’allait pas se faire marcher sur les pieds et s’empresser de partir. Il aimait bien le comportement de l’homme malgré tout. Il allait continuer la conversation un peu, peut-être allait-il se calmer un peu.**
On est plus ami maintenant ? Je trouve que tu y vas un peu fort mon cher ! À ce que je sache, tu es autant mort que moi, alors j’ai le droit de regarder ta minette si ça m’enchante ! Mais avant que tu montes sur tes grands chevaux, ne t’imagine rien. Je suis en couple et heureux de l’être, pas besoin de ta barbie pour me donner le sourire ! Je te la laisse !
**Jayden conservait son sourire amusé sur ses lèvres. Il jeta un autre coup d’oeil à la jeune femme et dit.**
Elle n’a pas l’air dans son assiette ta miss ! Elle devait drôlement t’aimer pour être dans cet état ! Mais, si tu viens encore l’admirer par la fenêtre, c’est que tu dois pas être mort depuis bien bien longtemps ?
**Questionna l’homme en arquant le sourcil droit. Il retira ensuite sa casquette pour se gratter le fond de la tête et il l’a replaça immédiatement après, en attendant une réponse.**
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La matinée était vachement déprimante il fallait se l’avouer ; Jared, un homme de garage s’occupait à regarder la pluie déverser le long de sa fenêtre embuée… pourquoi ne se levait-il pas pour tenter de s’occuper un peu ? Il n’en savait rien, la pluie l’empêchait de sortir Fibee tout comme elle l’empêchait d’aller marcher jusqu’à ce que la raison le prenne en pitié. Certes, il aimait la pluie, simplement il détestait ne rien faire et mixer les deux n’était finalement pas très fameux… Devait-il se magner et sortir son gros derrière d’homme trentenaire pour aller prendre un petit café au restau du coin? Évidemment pas, Jared détestait le café, pas comme cette rouquine dévergondée qui empestait ce parfum chaque fois qu’il la croisait hasardement… mouais, que pouvait-il faire de plus ‘’ amusant ‘’? Inconscient, Red attrapa son veston de cuire, le posa sur ses épaules carrés puis s’avança jusqu’au couloir de la sortie de son appartement. Où allait-il ? Aucune idée, mais il y allait.
Zachary enfourcha finalement sa moto, ce malgré la pluie, s’il mourrait…bah il revivrait, non? Il s’en balançait donc royalement. Hésitant il agrippa son casque et l’enfouit sur sa tête poivre et sel ; Red n’avait pas tellement l’habitude de porter ce genre d’engin, seulement la chaussée devait être glissante et se fendre le crâne à nouveau ne lui tentait guerre. C’est par la suite qu’il donna un bon coup de pied sur la pédale et fit grincer ses pneus fraîchement changés. Lorsqu’enfin son moteur ronronna comme il se devait, Red conduit droit devant lui, ne vérifiant pas même si des objets encombraient le chemin.
Trempé jusqu’aux os, Jared compris qu’il était temps de s’arrêter et de rentrer, simplement la chair de poule s’empara de tout son être… rentré à la maison pour continuer de fixer la fenêtre le rendait malade y’avait pas à dire… Fronçant les sourcils à travers son casque noir comme sa précieuse moto, Red songea un instant ; Ali devait forcément être au boulot à cette heure-là…ouais d’accord c’était pas du tout son genre de se balader tranquillement pour aller voir sa ‘’copine ‘’ travailler, mais la température l’obligea à s’exécuter.
Étrangement mal à l’aise Zachary s’approcha de la salle de cinéma, remarquant au même moment sa douce entrée en pas de course, s’affairant à nettoyer et à remplir des bidules forts peu intéressant, ce qui accrocha un sourire à l’homme âgé. Jamais il ne travaillait de la sorte pour qui-compte, les engins l’animaient, le faisait vibrer…ce n’était pas des boules de gommes et du popcorn écrasés sur le sol qui lui ferait cet effet.
Un temps d’chiotte qui m’a poussé à venir t’agacer ! S’exprima le trentenaire, souriant toujours aussi passionnément, ce qu’il n’avait pas l’habitude de faire non plus. J’te dérange p’t’être ? Questionna le brunet tout en retirant son casque de sur sa tête, dévoilant ses cheveux grisonnant et décoiffés à le reste de la population. Il déposa ensuite son seul outil sécuritaire sur le comptoir caisse, bloquant l’allée à quelques personnes mécontentes. Avec colère il retira l’objet d’un trait, reportant son attention sur la brunette qui le regardait, mais qui finit par détourner les yeux. Perplexe Red fit de même, apercevant malheureusement son frère, trop idiot, agenouillé par terre, ramassant son popcorn blanchâtre. Pas vrai… soupira l’homme qui n’avait pas revu le rouquin depuis leur dispute chez leur mère…tout ça pour une stupide rumeur, franchement Jared n’en pouvait plus des enfantillages de son petit frère et ce ne serait pas demain la veille qu’il lui adresserait à nouveau la parole ; Si Aaron tenait à faire jasette, alors ce serait à lui de prendre le taureau par les cornes et d’assumer ses faiblesses, Jared en avait royalement marre cette fois.
Toujours aussi agile à ce que j’vois… t'as peut-être besoin d'aide? Rigola ironiquement le brunet vis-à-vis de son frère toujours parterre, piétinant du même coup quelques grains jaunes qui trainaient sur le tapis rouge vif de la salle bondé. Évidemment Alice n’allait probablement pas apprécier, simplement Jared n’allait pas se plier cette fois, c’était hors de question; la dernière fois qu’il avait tenté d’aider son frangin il avait été abandonné suite à une colère inimaginable par le roux de service, cette fois il ne se ferait pas berner, ohh non !
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Sujet: Re: Copier / Coller Ven 21 Oct - 0:39
**Jayson Owen & Alyson Leigh Walker ne devait pas travailler au Vintage Hôtel, mais évidemment, le couple ne put s’empêcher d’aller faire un arrêt dans leur splendide hôtel pour être certain que tout se passait pour le mieux, mais comme prévu, il y avait des trucs à faire. Pour ne pas perdre leur journée de congé, Jayson conclut le boulot et proposa un peu de shopping avec sa femme Alyson. Ayant prévu de garnir leur réfrigérateur avant le retour de l’école de Xander, le couple se rendit directement au supermarché, mais en route. Alyson tomba sur une boutique qui offrait divers vêtements de hautes qualités. En ces lieux, ils tombèrent sur Jayden Michael Wellington, le cousin de la belle blonde. Owen le connaissait bien, mais sans conserver une relation très proche de lui. Aly lui avait parler l’autre jour qu’elle était tombée sur lui, mais il n’avait pas eu la chance de le revoir avant ce jour-ci. Il le salua. Jayden était accompagnée de sa copine, une certaine Holly. Ravi de les revoir, la discussion continua, mais le brunet remarqua l’heure. Ils se devaient de continuer leur emplette. Il n’avait pas seulement l’épicerie à faire, mais d’autres achats ; des items pour l’hôtel et une robe qu’elle portera pour la soirée d’Halloween organisée la fin de semaine qui arrivait. Donc, pour avoir le temps de tout faire, l’homme d’affaire quitta sa femme et s’occupa de l’épicerie. À l’intérieur, il se prit un panier et commença à le remplir. C’est alors qu’il vit au loin une jeune femme trébuchée et perdre la totalité de ses œufs, scène horriblement gênante. Étant un homme bon, Jayson crut bon d’aller l’aider, mais d’autres gens s’en occupa. C’est alors qu’il déposa sa main sur une pomme, mais une jeune femme toucha le même item en même temps. Il s’agissait d’une jeune femme brune ‘’Julia’’ qu’il ne connaissait pas. L’hôtelier fit un sourire timide et retira sa main.**
Oh, mais pardonnez-moi très chère ! Vous pouvez la prendre..