♫ JE SUIS : ♫ J'AI : 31 ♫ ACTEUR DEPUIS : 18/08/2011 ♫ NOMBRE D'ÉPISODES : 1321 ♫ JE SUIS NÉ LE : 03/01/1993
Sujet: Re: Copier / Coller Jeu 18 Aoû - 19:20
Spoiler:
Dans ma tête, tous mes souvenirs demeuraient à l’identique, tant dans leur douleur, que dans leur exactitude. Rien qu’en y repensant, je pouvais me rendre compte de mon traumatisme, notamment de tout le mal que je me faisais en ne faisant que penser à ce qui s’était passé. Genevieve était morte, et je ne l’oubliais pas. La position, dans laquelle je l’avais retrouvé, m’avait fait terriblement souffrir. Rien qu’en la regardant, je m’étais rendu compte de toute cette torture qu’elle avait subi par ma faute. Elle ne méritait pas de subir ce sort. A vrai dire, personne ne le méritait. Cette vision d’elle avait demeuré dans mon esprit durant ces deux jours de torture dans ce laboratoire. J’y avais vécu le pire aussi bien émotionnellement parlant que physiquement parlant.
Même aujourd’hui, alors que tout relevait à présent du passé, je m’en rappelais encore. D’abord, il y avait ce dessin, que j’avais rapidement fait lorsque je me trouvais chez Alexander. Ensuite, il y avait ces rêves, ces terribles rêves. Je me voyais en train de crier, de souffrir, de me rappeler de Genevieve. Pour finir, il y avait l’état de ce bras, défiguré par les piqûres. A cause de ce que j’avais subi, uniquement par la faute de ce James Flanagan, les souvenirs avaient pu renaître dans ma tête, comme si c’était hier. En fixant mon bras, je ne faisais qu‘y penser, et je me faisais du mal, à moi-même.
Taylor était pourtant là, et elle souhaitait m‘aider, afin que je puisse sortir de l‘enfer, qui était le mien. Il fallait que tout ceci puisse changer, et je devais y mettre un peu de ma volonté. Je devais à tout prix lui parler, pour tenter de penser à quelque chose de plus positif, et peut-être ainsi pouvoir me détourner de ma peine. Il le fallait absolument.
- Cette période est de plus en plus difficile, car les souvenirs, que je pensais oubliés, ne le sont plus vraiment. Tout ce qui m’est arrivé me rappelle celle que j’ai perdue, et la torture que j’ai subi dans cet endroit. Ton soutien me touche énormément Taylor, je te l’assure. J’ai vraiment de la chance de t’avoir pour amie, ça c’est sûr. Sans toi, je ne serais probablement plus grand-chose à l‘heure qu‘il est.
*je suis toujours paralysé…*
- Je sais qu’elle n’aurait pas aimé me voir ainsi, mais je ne peux pas penser autrement. Tu aurais du voir ce que j’ai vu quand j’ai pensé pouvoir la sauver avec mon ami. J’ai été désemparé quand je l’ai vue étendue sur le sol, en sang. Je pouvais voir à quel point elle a eu souffert, et je ne peux pas oublier cela rapidement. Je me sens maudit à cause du fait qu’elle est décédée et non moi. Cette vision m’a marqué, et tout, je dis bien tout, me rappelle cette perte. A chaque problème, cette tuerie revient à moi. Je me bats, de toutes mes forces, mais les personnes autour de moi ne me facilitent pas la tâche. Tout revient en moi à cause de ces scientifiques surtout.
Taylor me demandait de la regarder afin de ne pas me focaliser sur mon bras, mais je n’y parvenais toujours pas. J’en étais incapable.
- Je n’arrive pas à oublier cette histoire. Ils n’arrêtent pas de me rappeler ces souvenirs, et j’en ai assez ! J’aimerais réellement que tout puisse cesser, afin que je puisse enfin faire mon deuil et oublier, mais ils ne l’entendent pas de cette oreille ! Tu n’es pas obliger de t’occuper d’eux Taylor. Je n’ai pas envie que tu prennes des risques par ma faute. Ils pourraient te causer des problèmes, et je n’ai vraiment pas envie que tu ais des ennuis. Je tiens à toi, et je n’ai pas envie de te voir souffrir, en tout cas pas toi aussi. J‘ai déjà fait souffrir suffisamment de monde, sans le vouloir, et je n‘ai pas envie de voir ceci continuer. J‘ai envie que la paix revienne, une bonne fois pour toutes.
J’étais sincère envers elle, et je parlais beaucoup plus qu’avant. En présence de Taylor, mon âme était meilleure, plus sereine. Avec elle, cet effet me traversait, et je parvenais à espérer de nouveau voir quelque chose de bon se produire autour de moi. Taylor était une des rares personnes, en tout cas dans le monde d’aujourd’hui, qui me redonnait le sourire en ce moment.
FOUR LITTLE DIAMONDS
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Sujet: Re: Copier / Coller Jeu 18 Aoû - 20:10
Ton bleu fait mal aux yeux.
Oxymore : Faut pas jouer la carte de l'indifférence avec ces deux filles. Sa marche pas. Faut ouvrir sa gueule, y a rien d'autre qui puisse marcher.
Gallifrey's Madness
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Sujet: Re: Copier / Coller Jeu 18 Aoû - 20:15
(c'est la couleur que j'utilise sur le forum pour qui est ce rp ^^)
Spoiler:
Citation :
Enfermé dans une cellule individuelle, Samuel se réveillait attaché sur un lit, et il ne pouvait plus bouger. Sa blessure était compressée et enfermée dans du bandage, afin de préserver sa vie. Ses scientifiques voulaient réellement le tester, à tout prix, dans un but probablement obscur et ceci effrayait Samuel. Ce dernier venait de perdre celle qu’il aimait, et il ne pouvait même pas s’en remettre correctement, parce que ces bourreaux ne pensaient qu’à la torture de son âme, et non pas à l’aider pour oublier cette vision d’horreur. Ils le considéraient comme un rat de laboratoire, juste ici pour rester sur ce lit, afin que ces types puissent enfin trouver l’objet de sa différence, ce qui le rendait si spécial à leurs yeux.
B. était avec lui, avant que ce scientifique ne lui tire dessus. Samuel ne savait pas où il se trouvait, mais ils devaient probablement le retenir dans une pièce où il n’y avait aucun ordinateur assez proche de lui, afin qu’il ne puisse pas s’échapper, et aussi sauver la vie de Samuel. A cause de cette pensée, ce dernier n’avait plus aucun espoir de s’en sortir vivant. Il ne faisait que pleurer, seulement pleurer, alors que les heures de sa solitude s’écoulaient de plus en plus vite. Après un long temps d’attente, la porte de sa cellule s’ouvrait et laissait apparaître un type, qu’il n’avait pas encore vu. Il tenait un dossier dans sa main, avec un nom en sa couverture qui ne signifiait rien du tout pour lui. Ce dossier s’appelait « Projet Bahamut ».
Le scientifique : Comment vous sentez-vous Samuel Langster ?
Samuel : Une envie sérieuse de me lever, briser mes liens et vous botter le derrière. Vous n’avez pas le droit de faire ça !
Le scientifique : Ceci vous dépasse, vous ne pouvez pas comprendre ce qui se passe.
Samuel : Je veux comprendre. Pourquoi me testez-vous ? Ce projet Bahamut, que signifie-t-il ? Vous ne faites que me retenir ici, c’est tout ce que je vois.
Le scientifique : Samuel, je ne peux rien vous dire. Tout ceci est un projet secret. Après les premiers tests, nous avons trouver quelque chose de spécial en vous, quelque chose qui vous rend particulier comparé à toutes ces personnes, qui possèdent une capacité. Vous êtes différent Samuel, gardez cela en tête.
Samuel : Que comptez-vous faire de moi ?
Ce type se tut tout d’un coup, sans répondre à sa question. Il n’en avait probablement pas le droit, mais ceci ne plaisait pas à Samuel. Ceci ne faisait que l’effrayer et le faire paniquer. Samuel n’aimait pas cette fonction de l’horreur.
Rapidement, ce scientifique revint vers lui, une seringue à la main, et il la planta dans son bras droit. Samuel se mit à crier, très fort, à cause de cette douleur très puissante.
Le scientifique : Cette douleur va passer, dans un petit moment…
Samuel avait très bien envie de déclarer toutes les grossièretés du monde, mais il ne pouvait pas le faire, car ce scientifique lui faisait du mal. En façade, ses paroles étaient dotés d’une réelle douceur, mais ce n’était plus le cas en dessous du masque. Il était comme les autres. Il ne pensait qu’au bien-fondé du Projet Bahamut, ce truc qui les motivaient tous.
Les résultats de l’analyse commençaient à apparaître sur un écran d’ordinateur, et ce scientifique était abasourdi, pensant que toute cette histoire était impossible.
Le scientifique : Mais c’est impossible…comment peut-il avoir cela en lui ?
Une chose était sure à présent. Ce type venait de faire une découverte en Samuel, mais celui-ci connaissait le nom de sa différence, contrairement aux ignorants qui l’avaient testés la première fois. Il était peut-être temps de découvrir ce qui clochait exactement dans son organisme, afin de comprendre en quoi Samuel était si différent à leurs yeux.
Le scientifique revenait vers Samuel, qui souffrait encore mais qui avait arrêté de crier. Il ne le quittait pas des yeux, toujours surpris par ces données qu’il avait vues sur cet écran d’ordinateur.
Le scientifique : Comment as-tu pu ignorer que tu étais quelqu’un d’unique Samuel ? Tu as une grande valeur et tu n’as pas idée de la mesure de celle-ci. Tu es une perle rare Samuel, quelqu’un de très important pour n’importe quel scientifique.
Samuel (épuisé) : Je ne suis pas qu’un cobaye alors arrêtez de me traiter comme tel.
Le scientifique : Tu as quelque chose que les autres n’ont pas Samuel, quelque chose qui te rend réellement spécial, et il faut vraiment être stupide pour ne pas le voir. Tu es unique, réellement unique.
Samuel (épuisé) : Quoi ? Dites-moi…
Le scientifique : Autant les organismes des autres personnes que j’ai pu voir restent figés et dépourvus de modification quelconque, le tien est différent. Il a l’air en perpétuel mouvement, comme s’il pouvait accueillir autre chose.
Samuel (épuisé) : Accueillir quoi ?
Le scientifique : Très bonne question…Tu es spécial, capable d’accueillir quelque chose, mais personne ne sait de quoi il s’agit. Tu es peut-être une révolution scientifique, quelque chose d’inestimable, mais personne ne sait pourquoi. Même le plus important des scientifiques ne pourra pas découvrir ce qui se passe en toi. Tu peux peut-être tous nous tuer, et tu es juste à côté de nous.
Samuel (épuisé) : Alors laissez-moi partir.
Le scientifique se mit à rire pendant quelques instants après ces paroles. Ceci signifiait bien la réponse négative à cette phrase, cette sorte de proposition. Il avait bien montré qu’ils pouvaient tous avoir de Samuel, mais ils le gardaient quand même enfermé dans une cellule, prenant au passage le risque de mourir. Ils avaient complètement perdu l’esprit, et personne n’allait les rattraper, personne…
Le scientifique : Je crois que tu es celui qu’il nous fallait.
Samuel (épuisé) : Qu’il vous faut pour quoi ?
Le scientifique : Le Projet Bahamut.
Et tout allait commencer le lendemain.
FOUR LITTLE DIAMONDS
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Pam s'était levée de très mauvaise humeur, cela était sûrement dû au fait qu'elle s'était inquiété pour son créateur une bonne partie de sa "nuit". Oui il était peut être maintenant en sécurité avec la jeune humaine à qui il était tant attaché mais cela n'enlevait en rien le gros doute qu'elle avait envers la secte de nécromanciens tout fraîchement débarqué à Bon Temps et qui de surcroit avait une dent contre Eric. Non ce n'était pas vraiment une bonne soirée pour elle, à cela se rajoutait le fait qu'elle ai rendez vous avec un de leurs semblables. En quel honneur ? Savoir s'il serait a même d'inverser le sort lancé a tord sur son créateur. Le vampire resta dans son cercueil longtemps comme ça a réfléchir sur tout ce qui se passait en ce moment. Enfin, s'étirant , elle sortit de son cocon tel un papillon de nuit. Coquette comme elle était, elle fila se rafraichir et se passer un coup de brosse dans ses magnifiques cheveux avant de passer au petit déjeuner. Elle manquant de vivacité pour un vampire, pour remédier à cela, elle appela tout simplement Ginger, l'humaine idiote mais non fraîche qu'ils employaient au Fangtasia mais qui assurait surtout une issue de sortie au cas où un vampire bien plus âgé pourrait avoir l'idée de les éliminer Eric et elle.
Quand Pam sortie de ses pensées, Ginger venait tout juste d'arriver, assise, elle lui désigna simplement la chaise a coté d'elle et l'humaine s'assit sans broncher. Ne voulant pas perdre son temps à essayer de calmer son casse croute, Pam Swynford DeBeaufort plongea son regard dans celui de sa future victime et se concentrant un peu, il lui suffit de quelques secondes afin de persuader sa victime de se laisser dévorer sans opposer la moindre résistance. En même temps quand on voit le nombre de fois que cette malheureuse fut hypnotisée au cours des 2 dernières années, on ne s'étonne pas. Sortant ses crocs non sans satisfaction, la progéniture d'Eric les planta avec hargne dans le cou fripé mais sans graisse de Ginger. Le nectar qui coulait dans sa bouche était chaud, avait un gout de lavande salée et un peu de renfermé. Il serait peut être temps de la remplacer cette pauvre fille. Mais pour cela Pam n'était pas prête, son créateur lui avait donné pour consigne de la transformer a un moment donné. Ce qui pour elle n'était pas envisageable, déjà qu'elle avait a subir ses jérémiades chaque jours depuis plus de deux longues années alors s'il fallait que cela devienne éternel hors de question. Finissant tranquillement son repas, elle réfléchit en même temps a son habillement. Le vampire s'était dégoté une perle rare, un combi-pantalon Chanel ocre, une belle pochette a sequins brodés délicatement dessus ainsi qu'une magnifique paire de Jimmy Choo qu'elle ne pourrait hélas pas porter ce soir, faisant le tour de sa garde robe, elle pensa immédiatement a ses Zeke platform wedge de Jeffery Campbell, elles lui avait couté $208 et seraient parfaite pour la rencontre. Excitée a l'idée d'avoir enfin une belle occasion de se vêtir de cette parure, elle oublia presque qu'elle se nourrissait. S'arrêtant à temps, elle manqua de peu de tuer Ginger, quelle bourde.
Laissant l'humaine se remettre de ses émotions, elle fila se laver. Tout en se déshabillant, elle réfléchit par quelle route, elle allait passer afin de mettre le moins de temps possible. Il était exclu qu'elle perde son temps et son énergie. Elle remarqua qu'elle s'était lavée, habillée et se tenait devant un miroir avec du rouge a lèvres Dior prête a se maquiller. Sortant de sa pochette du fard a paupière ainsi que du blush, elle se maquilla à une vitesse vampirique et sortit. Se retrouvant en moins de temps qu'elle ne le pensa a Bon Temps, la Suédoise se remémora l'adresse exacte que lui avait donné le jeune homme qu'elle eu au téléphone la veille. Sachant alors qu'elle était a deux minutes de chez Ryan, elle ralentit le pas et se tapis dans l'ombre guettant les moindres faits et gestes du jeune homme. Il faisait les cents pas, ce qui prouvait que cette rencontre l'effrayait, elle aimait ça. Sortant des ténèbres, elle alla sur le pas de la porte, de là elle pouvait entendre le tambourinement du cœur du sorcier. Au moins ça, ceux de sa race n'avaient pas trouvé le moyen de cacher, il serait si facile a traquer. Souriant a cette idée, la blonde savait qu'il était là pourtant il ne semblait pas s'approcher afin d'ouvrir la porte d'entrée. - Bien qu'attends tu pour m'inviter a entrer chez toi ? Dit-elle exaspérée.
Il est vrai qu'il devait bien se douter qu'elle ne pourrait en aucun cas entrer chez lui sans invitation. Il était plus con que ce qu'elle s'était imaginé. Un sorcier qui avait soit disant un plan afin de redonner la mémoire a Eric et qui au final se montrait décevant. A ce rythme là Sookie avait le temps de mourir de vieillesse avant que le Viking n'ai retrouvé sa mémoire. Reculant d'un pas afin d'être mieux éclairée par le lampadaire qui se trouvait a cinquante mètres du bungalow du sorcier, l'ancienne prostituée examina son vernis. IL semblait avoir complètement séché depuis qu'elle l'avait mis vingt minutes plus tôt. Un bruit se fit soudainement entendre, bruit que seul une créature surnaturelle pouvait percevoir, Pam commençait a trouver le temps long, que pouvait bien t-il faire ? Sa prière ou alors s'était-il ravisé ? Questions que Pam n'eut besoin d'y répondre, la porte s'ouvrit a la volée laissant paraitre un homme brun plutôt sexy que le vampire se taperait bien. Lançant un bref sourire en coin puis croisant les bras, Pam le dévisagea se disant qu'il n'était pas trop tôt. Levant un sourcil, cette dernière attendit que le sorcier l'invite a entrer chez lui.
Gallifrey's Madness
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Sujet: Re: Copier / Coller Jeu 18 Aoû - 21:27
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