Marshall n’était pas le genre d’homme à se mêler des conversations ou aux commentaires des gens qui l’entouraient au quotidien. Il se contenait de faire son boulot d’agent immobilier pour ainsi se transformer en tueur à gage le soir venu, ou simplement lors de congé…mais voilà que la blondinette qui apparemment n’était pas des plus satisfaite, posait son regard meurtrier sur lui. Qu’avait-il fait de mal cette fois pour mériter qu’elle s’en prenne à lui? James leva les yeux d’étonnement lorsqu’elle lui parla de nouveau, il avait beau être très peu sociable, il se devait d’être comme tout type normal et lui répondre…le plus évasement possible pour ne pas compromettre ses talents cachés. hmm exactement, désolé je ne vous ais pas vue… S’excusa avec latitude le jeune immobilier, affichant par le fait même une moue tout à fait normale, n’étant pas réellement attristé par la situation… franchement à la voir aller personne ne voudrait la remarquer de toute manière. J’ai bien remarqué votre manoir par contre…on n’peut pas dire qu’il est facile à perdre de vue, c’est assez imposant tout de même! Lança d’un ton douteux l’homme, plongeant une de ses mains détendue à l’intérieur de la poche de son pantalon noir, ressortant un petit sac ‘’Ziploc’’ rempli de petites céréales beiges et brune au gout de banane; des Cheerios, ses préférées. Que faisait-il avec ça? Vous ne le connaissez donc pas…ce qui n’est toutefois pas très surprenant. Les Cheerios sont quelque peu…sacré pour le jeune homme au faux nom… il en traine partout où il va, même lors de petite occasions spéciales, mettant en scène des gens qui méritent la mort selon la personne qui distribue l’argent…oui oui, il en apportait partout, en tout temps et n’en manquait jamais, jamais, jamais. Son armoire étant rempli à rebord des différentes sortes qu’offrait cette marque, Jameson se faisait des réserves rien qu’au cas où… Il plongea donc cette fois, sa main dans le sac, ressortant une petite poignée de ces céréales délicieuse et les fourra d’un seul et même geste, dansa sa grande bouche, mâchant ensuite lentement, avalant avec soin pour ne pas sembler mal poli ou pour simplement ne pas s’étouffer et mourir d’un geste aussi puéril… Puis il posa à nouveau son regard dur sur la jeune femme qui prenait un malin plaisir à faire enrager les employés, se demandant s’il devait lui en proposer…d’toute évidence elle n’en méritait pas et puis…c’était bien trop bon pour qu’il ne les partages…bien que… hu…vous en voulez? Proposa finalement l’homme à la barbe de quelques jours, approchant le sac rempli en direction de la blonde qui résinerait probablement pas sur les commentaires.
Murder Scene
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Ma candidature ♪ PRÉNOM:: Marion ♪ SÉRIES PRÉFÉRÉS:: ♪ STARS PRÉFÉRÉS::
Sujet: Re: Copier/Coller Jeu 26 Avr - 20:12
l littérature quelle soit sociologique, philosophique médicale ou psychologique montre que la perversion sexuelle est un aspect fondamentale de l'humanité toute entière. En explorant l'inconscient, la psychanalyse nous permet de constater et de dire que l'enfance ne doit être considérée ni comme une angélique innocence, ni comme une monstruosité. Elle est juste une immaturation qui contient toute les des perversions. C'est cette analyse qui a fait dire à Freud que "l'enfant est un pervers polymorphe". En ce qui concerne la genèse des perversions, la psychanalyse insiste sur la fixation à certaines formes de conduites et de relations objectales. Au stade prégénital du développement, ces conduites constitues de expériences primaires de plaisir auxquelles le sujet tend à régresser en particulier lors des conflits de la phase oedipienne.
La crise oedipienne est culminante entre 4et 5ans tant pour la fille que pour le garçon. Le personnage du père revêt une importance capitale dans la résolution et le dépassement de l'oedipe. Pour le garçon, le personnage du père est d'bord celui qui s'oppose au regard incestueux alors que pour la fille il est celui qui peut combler ce désir donc l'inceste renvoie à la question de l'interdit qui s'intègre autour de la problématique oedipienne. Lorsque le complexe d'oedipe est correctement dépassé, l'enfant renonce à ses désirs incestueux par l'intégration psychique de la fonction paternelle c'est a dire par l'intégration de la loi du nom du père. Cette fonction paternelle est fondamentale, elle introduit sur la plan psychique, la dimension triangulaire par le dépassement de la relation duelle. L'enfant passe donc de la symbiose avec la mère à un espace psychique à 3. La relation symbiotique entre l'enfant et sa mère va pouvoir s'ouvrir, à une tierce personne sinon il y a forclusion du nom de père et risque de psychose. Cette fonction paternelle va signifier à l'enfant que la mère ne va pas et ne doit pas fonctionner dans la symbiose que l'enfant désigne car la mère a aussi un autre désir, celui qu'elle est supposé éprouver pour le père de l'enfant. L'enfant devra donc comprendre et accepter l'expérience du manque,de la frustration et du renoncement sinon il ne peut être que névrosé ou pire. L'enfant doit accepté u'il n'est pas seul dans le désir de sa mère et si la mère ne joue pas ce rôle là, il y a toutes les chances pour que l'enfant devienne psychotique. L'ouverture à 3, va permettre l'ouverture au groupe c'est à dire à la socialisation,à la construction du lien social pour que l'enfant apprenne peu à peu à investir le groupe social en référence au groupe familiale. C'est donc là que va se situer la période dite de latence, pendant cette période, les pulsions sexuelles vont être détournées de leu but originel, elles vont s'investir dans d'autres voies socialement acceptables, par exemple dans la compétition scolaire, sportives, culturelles ect... C'est la curiosité intellectuelle qui va remplacée pour un temps la curiosité sexuelle c'est ce que Freud appelle la sublimation. Elle permet à l'enfant d'atteindre d'autres satisfactions en décharnelisant la relation aux parents. Ce sera l'amorce des apprentissages des conduites de la vie adulte. Cependant, les poussées sexuelles vont se réactivées à la pré-adolescence, c'est ce qui explique toutes les difficultés que rencontre les ados en général.
Les désirs d'origine sexuelles connaissent des destins différents, ils peuvent être satisfaits, insatisfaits, sublimés ou transformés en satisfactions substitutive imaginaire c'est ce que Freud appelle le travail de fantasmatisation. Le sujet se construit une auto-légende à laquelle il va s'accrocher car les fantasmes sont des éléments nécessaires à la constitution de la vie psychique. Ils sont à l'origine des conduites répétitives, des mises en acte des rêves et des symptômes. L'accession à la dimension psychique groupale et à la socialisation suppose 3 ouvertures préalables:
- sur le plan affectif - sur le plan psychosocial - sur le plan intellectuel Dans le cas de l'inceste, cette ouverture est ambigue, elle est défaillante car le père incestueux n'est plus le garant de la loi et des interdits. La mise en acte de l'inceste ne peut pas avoir lieu dans des familles structurées ou la différence entre les générations est délimitée et ou la loi reste soumise à la vigilance des 2 parents. Donc, pour qu'il y ait inceste il faut que la cadre familial soit défaillant: il y a du manque, du désir et de la permissivité.
Dans un ouvrage intitulé " la sexualité criminelle en milieu carcéral" SCHERRER, dresse 2 portraits de pères incestueux: - dans le 1er groupe, l'inceste est considéré comme un problème socio-pathologique, ici les père remplace leur femme par une "nouvelle compagne" avec laquelle se noue des liens amoureux plus ou moins chargés de tendresse. Ces relations sont plus ou moins durables selon l'évolution de la fille "maitresse". - dans le 2ème groupe, ce sont des pères à la sexualité domestique frustrée par la mère, la femme est souvent autoritaire et le mari faible. Lorsqu'il passe à l'acte,il s'arrange pour se faire dénoncer et exprime masochiquement leur peine. Abandonnés par leurs familles ils répètent très souvent l'abandon maternelle dont ils avaient été les victimes.
.theperfect'cupcake.
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