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Pendant un long moment, j’avais cru que j’allais mourir, aujourd’hui, et que je n’allais jamais pouvoir dire adieu à qui que ce soit.

Enfermé dans ma propre conscience, je pouvais entendre toutes leurs paroles, toutes les fois ou le personnel hospitalier avait cru me perdre, me voir mourir sous leurs yeux, alors que je me battais encore, pour ma survie, pour pouvoir continuer d’exister dans ce monde, et ne surtout pas perdre une chance unique d’être heureux de nouveau. En pensant au bonheur, je songeais à elle : cette quintessence de beauté et de sourire, qui rendait mon humanité plus grande encore. Grâce à sa présence, j’étais meilleure, et la perdre aurait été ma fin définitive.

À présent, j’étais tiré d’affaire, mais pour combien de temps ? Combien de temps allais-je pouvoir rester en vie ? Je l’ignorais. Ce saignement avait tenté de me tuer, et ceci n’allait probablement pas être la dernière fois. C’était bien ce que je craignais..à la longue.

Une chose dominait ma volonté, car je ne réclamais que Nathan, simplement parce qu’il avait assisté à ce qui aurait pu être mon dernier souffle. J’avais pu voir des débuts de larmes, de peur, et je m’en sentais sérieusement responsable. Son inquiétude avait été provoqué par ma faute.

Quand je le voyais, tout était très clair dans ma tête. Nathan était près de mon lit d’hôpital, en train de me regarder, et j’allais le rejoindre. Peu à peu, ma tête vint s’appuyer contre lui, soulagée de ne revoir que lui. J’avais besoin de rester ainsi…un moment… et je le fis.

- Nathan…tu ne peux pas savoir à quel point cela me fait plaisir…que tu sois ici, avec moi.

J’étais encore fable, et ceci pouvait s’entendre dans ma voix.

Malgré tout, mon sentiment était sincère. Le voir ici, avec moi, était un plaisir, car j’appréciais sa présence auprès de moi. Nathan me rassurait. Je n’aurais probablement pas été dans le même état si j’étais resté seul, dans ce même hôpital. Je n’aurais été qu’un être en plein désespoir, toujours effrayé par cette peur qu’il avait eue face à la mort, qui aurait pu me terrasser en un instant.

- Je suis surtout réellement fatigué…et…je crois que cela s’entend lorsque je parle, pas vrai ? Après ce qui vient de se passer, je vais avoir besoin de quelques temps pour m’en remettre…du moins…euh…je suppose.

Il était clairement établi que ma fatigue restait présente, mais autre chose secouait mon esprit.

Je n‘arrivais pas encore à me remettre de ce qui venait de m‘arriver, et ceci se vit dans quelques larmes qui tombaient de mes yeux.

- J’ai vraiment cru…j’ai vraiment cru que je n’allais pas m’en sortir cette fois-ci. Je…je ne sais pas ce qui m’est arrivé…mais cela a cherché à me tuer…j’ai eu si peur Nathan…réellement…

je pollue...j'aime polluer x)

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Ma colère et ma déception étaient immenses parce que je ne l’avais toujours retrouvé. Mon objectif primaire était de retrouver Samuel Langster, et comprendre le fondement de l’existence de mon pouvoir. Je devais comprendre ce qui me rendait ainsi, et je pourrais en avoir conscience qu’en voyant pourquoi l’autre était comme il était. Enfin bred, comprenez-vous ce que je veux dire ? Je voulais apprendre à connaître Samuel Langster, afin de savoir qui j’étais, et quel était le sens à ces pouvoirs contraires, qui nous séparaient.

Il y avait forcément une raison à tout ceci…mais j’ignorais laquelle.

Avec une envie de tout fracasser, je repartais alors de l’autre sens, pour atteindre l’ascenseur qui se trouvait au fond de la pièce, cette salle d’accueil immonde ! J’avançais peu à peu, en trainant les pieds et en marmonnant énormément.

- Mais pourquoi ? Pourquoi ne puis-je pas te trouver ? J’ai tout essayé pourtant annuaire téléphonique, internet, bouche à oreille, mais rien n’a circulé sur toi…c’est impossible. Tu es forcément quelque part mais où ? Où es-tu bon sang ? Donnez-moi un signe , permettez-moi de le trouver. J’ai besoin de lui.

Une odeur frappait mon nez fin comme une évidence. Il s’agissait d’une odeur de shampoing, assez bonne odeur d’ailleurs. Cette odeur était délicieuse, je l’appréciais réellement. Les cheveux de cette personne devaient être aussi beaux que cette dernière.

- Mais quelle est donc cette douce odeur qui me colle au train ? Si elle est plutôt brune et en plus jolie, je vous aime déjà.

Je me retournais et, en effet, cette créature délicieuse, qui me faisait face à présent, était féminine, et en plus brune. C’était la plus grosse coïncidence de ma vie là. Pour une fois que quelqu’un exauçait mes paroles ! Dieu était-il de mon côté en fin de compte ? Avais-je encore une chance ?

- Qui êtes-vous ma jolie et pourquoi me suivez-vous ?

Bonjour,
merci d'avoir actualisé ta pub !
Bonne continuation et à bientôt !

J'aime ta pollution !

le classique « Santa Baby ».

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Je ne supportais plus la mauvaise influence que le destin avait sur ma vie, en la rendant si…maudite…si…triste, et surtout insupportable.

À présent que j’aimais réellement une personne, au point d’avoir pu retrouver le bonheur, mon humanité, le destin jouait encore avec moi, provoquant en moi l’un des pires sentiments existant : un coup de poignard en plein cœur, et cette absence de choix qui m’obligeait à continuer de fuir plutôt que de vivre pleinement mon amour, comme tout couple…mais impossible. Il y avait encore ces scientifiques, qui me courraient après, dans le but unique de pouvoir scruter mon cerveau, de part en part, afin de découvrir quelle était cette chose, qui rendait mon cerveau différent des autres semblables humains.

Le monde était chaotique, avec une force évolutive selon la haine gouvernementale. Par leur faute, les destructions, méchancetés et fuites n’avaient fait que grossir, pour noircir le cœur de beaucoup de personnes, et rendre fragiles ceux de beaucoup d’autres. Ces scientifiques appartenaient aux monstres actuels de notre monde, mais leur proie n’était que moi…juste moi. Malheureusement, en me courant après, ils mettaient en danger mes proches, et j’en avais assez. Je ne pouvais même plus être heureux parmi ceux que j’aimais, et surtout auprès d’elle. Ce qui me chagrinait le plus c’était de ne pas la voir pleinement, ni de pouvoir pleinement profiter de cette beauté et ce sourire qui étaient les deux choses ranimant mon humanité

Quand je relevais les yeux, Rachel tentait d’enlever ces larmes, qui continuaient malheureusement encore bien présentes sur mes joues, car ma peine était flagrante. Mais elle montrait qu’elle était présente auprès de moi. Je voyais que je pouvais compter sur sa présence. Elle était là, mais alors pourquoi pleurais-je ? Pourquoi continuais-je à verser tant de larmes, alors que celle que j’aimais demeurait présente non loin de moi ? Tout ceci n’avait aucun sens…aucun.

La vie devenait trop compliquée à la longue, mais pourtant je continuais d’exister.

Mais je la regardais en train de sourire, un geste qui me surprenait encore, mais qui me faisait plaisir. Je préférais largement la voir ainsi plutôt qu‘en larmes, tout comme l‘état dans lequel j‘étais actuellement. Cette souffrance n‘était guère plaisante et Rachel ne méritait pas d‘avoir le cœur brisé. Supporter déjà le mien, en miettes à cause de cette fuite, mais en chantier pour pouvoir renaître grâce à l‘amour, ce puissant remède.

Selon Rachel, je n‘étais pas obligé de m‘excuser, car j‘avais le droit de me montrer faible, comme maintenant…mais quelque chose me dérangeait, et me rendait fautif. Je ne voulais pas pleurer, pour montrer l‘objet de ce que je n‘aimais pas voir chez les autres, en pensant qu‘ils pouvaient ne pas aimer la voir eux non plus. Il s‘agissait d‘une pensée échangée, un partage de sentiment dangereux.

Le discours qui allait suivre, prenait une vitesse peu à peu accélérée. Tout ceci n‘était que la déclaration d‘un rêve, une œuvre idyllique que j‘aimerais voir grandir, pour une seule et unique raison : et c‘était elle…Rachel.

- C’est bien ça le problème. Il y a l’occasion de…vivre sa vie, qui s’enferme quelque part, mais des monstres la bloquent, et c’est bien cela qui m’énerve, mais qui me blesse surtout, car je n’ai vraiment pas envie de m’en aller. J’aimerais vivre ma vie, et non la passer en train de courir, fuir, alors qu’aimer pourrait libérer mon cœur. Tu m’as aidé. J’ai retrouvé l’espoir, mais aussi une âme sœur que je refuse de perdre. Je t’aime, et je ferai tout pour que ces monstres puissent arrêter de me faire courir. Je veux que cette course puisse cesser, afin que je n’ai plus besoin de m’enfuir, plus besoin de courir, plus besoin de se cacher. Je pourrais être ici avec toi, et ils ne pourraient pas nous séparer, ils ne pourraient plus le faire, et plus rien n’effacerait nos sourires. C’est une vision utopique, je le sais, mais j’y crois encore. J’ai toujours espoir de voir les choses changer, et je ferais tout pour cela puisse être autrement, pour nous. J’en peux plus de cette vie de fugitif. Je ne suis pas cela. Je suis juste qu’un humain, comme n’importe qui d’autre, même si j’ai des pouvoirs qui, soit dit en passant, forgent un bagage réellement très étrange à transporter. Mais j’ai quand même des souhaits, et c’est toi. Je veux juste être avec toi, c’est tout ce qui m’importe.

J’avais un maigre sourire, même si je pleurais encore, parce que l’étincelle de celui de Rachel avait tenté de le faire renaître.

Rien qu‘en pensant à cet amour que je ressentais pour elle, je songeais à cette idée folle, qui avait frappé mon esprit depuis quelques temps. Je ne faisais que réfléchir à des éventuels moyens d‘arrêter toute cette procédure de chasse, et ainsi être pleinement avec elle. Je ne pensais qu‘à cette horreur, cette chose que je pourrais faire pour les dissuader de me chasser. Ils ne devaient plus le faire.

Je devais peut-être atteindre une extrémité étrange…sans savoir laquelle, car je n’étais bercé que par une idée, une volonté qui m’entrainait à penser à être heureux, plutôt que de fuir, ce qui était normal après tout, non ?

- Je garde espoir et c’est une chose que je ne pensais pas faire avant cette soirée rien qu’entre toi et moi.

J’essuyais enfin mes larmes.

La clé n‘était autre que l‘amour. Il fallait y songer, pleinement et surtout sans attendre. En pensant en ce bon sentiment, on pouvait parvenir à oublier le rester, et donc par la même occasion oublier cette douleur, provoquée par ma fuite.

Je me sentais beaucoup mieux…vraiment mieux. Mes larmes avaient disparu. Il était temps.

- Je crois que je viens de retrouver le moral. Enfin…

Une larme commençait à couler le long de l’œil gauche de Rachel, et je me servais de mon petit doigt pour la rattraper. La voir ainsi n’était guère simple. Si je devais retrouver le moral pour la revoir en train de pleurer…hors de question.

Je ne voulais plus la revoir pleurer. La flagrante évidence de cette souffrance était insupportable.

- Non, plus de larme, pas maintenant. Garde ton sourire, je t’en supplie.

pollution de retour !
(le complet opposé du rp précédent) de l'amour à la haine, c'est pas voulu !

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Ce pigeon me prenait-il réellement pour un être stupide, suffisamment nul pour être incapable de reconnaître la force de ses propres pouvoirs ? Je savais ce dont j’étais capable avec mes prémonitions assistées, mais aussi le danger qu’elles pouvaient provoquer à mes compagnons de vision. Quand on interrompait une vision, avant sa fin, surtout pour un partage aussi intense que celui, qui existait entre Sam et moi-même, dans ma tentative de partage de ma vision du monde.

Cette ordure me prenait pour un être stupide ! Mais quel toupet ma parole ! Ce président avait décidément toutes les qualités nécessaires pour me faire chier, crier, partir dans une spirale infernale de haine ! Mais quel primate, quelle cruche, quel fromage qui pue ! Je le détestais du fond du cœur ! Nathan Petrelli avait peut-être tué celui que je refusais de quitter au point même de vouloir l’emmener avec moi, et à part ça ? J’étais le responsable selon lui, mais bien sûr, et la marmotte où mettait-elle le chocolat encore hein ?

*Mais qu’il ferme sa grande gueule qu’on en finisse enfin !*

- Je suis quand même le mieux placé pour connaître mon don espèce de président sans cervelle ! Quand je partage mes visions, et qu’elles vont jusqu’au bout : tout va bien ! Malheureusement, quand elles sont interrompues, cela se termine mal. Je dis cela parce que la seule fois où elles ont été interrompues, en plus à cause d’un raid de l’Etat, Sam a perdu la mémoire à cause de l’interruption, alors ne dit pas que ce que tu as fait ne peut pas provoquer de dommages car ce n’est pas forcément vrai. Je sais ce que je dis quand même ! Tu crois que tu m‘as empêché de nuire, mais tu viens peut-être, justement de lui nuire, t‘en rends-tu compte, toi qui considère Sam comme quelqu‘un d‘exceptionnel et d‘important pour lui-même ?

J‘approchais peu à peu de sa carcasse de schtroumpf, et je continuais à lui parler, à tout lui balancer en pleine poire.

- Je crois que tout est de ta faute, et que tu n’oses rien voir ! Tu as lancé cette chasse, ce virus, tout ! Est-ce que la sécurité nationale méritait un virus, qui a pratiquement exterminé toute la race humaine ? Tu me prend pour qui toi ? Me prends-tu pour un demeuré qui te prend pour un demeuré alors que tu es ce demeuré ? Stupide pourriture va… Tu ne peux pas comprendre ce que j’éprouve pour Sam. Je veux l’emmener avec moi car je ne veux pas le combattre. La voix du mal est la seule solution pour moi, mais je ne me vois pas l’emprunter seul ! Je veux qu’il soit avec moi ! T’affronter me fait plaisir, mais ce n’est pas la même chose pour lui ! Alors arrête tes menaces espèce de camembert et réfléchis un peu pour une fois ! Cela te changerait et ce serait génial, non ?

Quand il tentait de lui parler, pour que Sam puisse écouter sa voix plutôt que la mienne, ,j’étais terrifié mais aussi en colère, car il aggravait les choses. Dans la tête de Samuel, il ne faisait qu’entretenir le dilemme ! Il ne l’aidait pas !

- Tu ne fais qu’aggraver le dilemme qui surgit dans son esprit Nathan ! Arrête tes conneries ! Un dilemme, quand un esprit est faible, devient trop puissant et insupportable ! Tu veux le faire souffrir ou quoi ? Mais es-tu réellement stupide au point de ne pas voir la vérité en face ?! Tu lui fais du mal !

Je criais, très fort, parce que je savais que j’avais raison.

- En plus j’ai l’impression de le perdre. Je ne reçois pas de signal venant de lui, c’est comme s’il ne se réveillait pas, ou bien qu’il ne souhaite plus se réveiller. Tu te rend compte de ce que tu as fait Nathan ?! Es-tu toujours certain que le fait de m‘interrompre était la meilleure solution ?! Je ne pense pas à présent… J‘ai beau tenter de plonger pour écouter son esprit, je ne l‘entend pas. Il est inactif, et donc en sommeil.

Bonjour !
Merci d'avoir actualisé ta pub.
Très joli le logo ! Hate de voir le reste du design ! ^^
Bonne continuation.

J'adore vraiment tes RP d'amour Gally ! Mais le second est bon aussi

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Sirène Loreleï

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je trouve qu'il chante trop bien